par Marie Dulout
Une certaine curiosité m’a poussée a me documenter sur les peuples vivant dans la terre, sous la croûte terrestre.
Notre mère la Terre nourricière
Notre mère la terre nous porte, nous nourrit, met sa sagesse et son abondance à notre disposition. Pourtant nous oublions sa présence lumineuse et recherchons frénétiquement ce qui est sous nos yeux depuis le début. Je pense que nous nous sommes de la même façon rendus aveugles à l’enseignement d’êtres très évolués qui peuplent ce monde. Quel est leur message ? Des ouvrages éclairés le transmettent, et je vais tenter d’en faire une modeste synthèse qui se voudra la plus représentative possible.
La terre serait donc non seulement creuse mais habitée? Voici ce que nous dit Willis George Emerson dans l’introduction de son ouvrage, La Terre Intérieure : « Reconnaître que la Terre est creuse c’est accepter qu’il y a, à l’intérieur de soi, un espace infiniment vide, un espace merveilleux, infiniment lumineux, que l’on pourrait habiter. Reconnaître que la Terre est creuse c’est accepter de faire une démarche intérieure, une démarche vers soi, pour la découvrir, l’appréhender. Notre Terre est comparable à l’intérieur d’une maison où l’on vit à l’abri des tempêtes, du froid, de la chaleur intense et des intempéries que l’on vit à la surface. Beaucoup, consciemment ou inconsciemment, recherchent ce Paradis Terrestre. Mais ils se perdent dans les sous-sols de la matérialité d’où seule une ouverture sur ce monde intérieur permet de sortir. L’accès à ce Paradis terrestre passe par soi, par son cœur ; le chemin, hélas, le moins fréquenté. »
Nos yeux sont parfois rivés ou sur notre nombril ou sur les étoiles à un tel point que nous pouvons oublier que des êtres évolués résident juste là, sous nos pieds, à nos côtés depuis toujours, pour ne pas dire en nous-mêmes. L’humain a cette tendance à ne pas voir qu’il est Lumière entouré de lumière. Cette tendance à se mépriser lui-même ainsi que tout ce qui l’entoure, cette tendance à nourrir et faire croître le doute et la peur plus qu’il ne nourrit la foi, la confiance, la joie. Heureusement, le processus s’inverse. Nous avons expérimenté la dualité, la souffrance, nous n’en voulons plus. Nous sommes parvenus à la fin des temps, la fin de l’ego, du mental, du pouvoir des uns sur les autres. La route a été longue n’est ce pas ? Les peuples de la terre vont enfin marcher main dans la main, dans le respect et l’harmonie.
Les maîtres de la Terre intérieure
Les maîtres de la terre intérieure nous appellent en nous-même. Ainsi, chacun d’entre nous peut percevoir cet appel : celui qui appelle, c’est nous-mêmes, c’est le divin en nous. Le maître de la terre intérieure, c’est le maître qui réside dans votre cœur, dans notre intériorité. Que vous dit-il ? Vous n’avez rien à lire, rien à faire pour l’entendre. Vous n’avez qu’à vous écouter et vous aurez tout ce dont vous et le monde avez besoin. La paix sur terre, l’amour, la beauté, tout cela, c’est vous-même. Le seul drame qui existe est d’avoir oublié sa propre nature divine, mais tout va bien puisque nous sommes en train de nous souvenir de qui nous sommes ! Nous sommes divins, chacun d’entre nous. Intégrons cette conscience, cette réalité en permanence et nous aurons créé le nouveau monde que nous espérons car nous sommes ce nouveau monde.
Notre intériorité est celle de la terre. Quiconque est connecté à son monde intérieur, à sa beauté, à sa divinité originelle est connecté aux maîtres de la terre intérieure.
Les intra-terrestres
Il va sans dire que les intra-terrestres ont une forme physique, certes moins dense mais tout aussi réelle que la nôtre. Ils ont élevé leurs vibrations comme nous le faisons en ce moment même. Ils font preuve d’une infinie patience et soutiennent notre évolution. Cela dit pourquoi ne les entendons-nous pas plus nettement ? Pourquoi l’appel semble-t-il difficile à recevoir ? Il ne l’est pas. Nous avons oublié d’écouter. Nous ne sommes plus à notre écoute, à l’écoute du dieu ou du bouddha qui réside en nous-mêmes (peu importe le nom qu’on lui donne !). Comment entendre, comprendre et sentir un appel émis en soi si l’on ne se met pas à l’écoute de ce Soi qui appelle ? N’y a-t-il pas une contradiction dans notre attitude ?
Ce n’est pas en espérant passivement un changement de dimension qu’il aura lieu. Ce sera simple, ce sera rapide, mais cela ne se fera pas sans que notre attention ne soit portée sur ce point essentiel : la nouvelle dimension est en nous. Elle ne demande qu’à ce que nous la percevions. Nous pouvons vivre au paradis, maintenant.
Comment ?
En réalisant que nous avons le choix d’y vivre ou non et en assumant ce choix. Qui nous oblige à regarder des informations manipulées qui abaissent notre fréquence vibratoire ? Qui nous oblige à fréquenter des personnes négatives, sombres ? C’est nous et uniquement nous. C’est notre mental qui nous affirme : « tu dois être informé », « tu ne dois pas abandonner ces êtres »… Notre mental veut que nous restions en 3ème dimension, ce qui est compréhensible, puisqu’il n’existera plus dans la 5ème.
L’appel d’Adama
Voici l’appel d’Adama (Telos, Vol. II) : « J’aimerais souligner, notamment pour les artisans de la lumière qui souhaitent transcender la lourdeur des circonstances de vie actuelle sur terre et passer à un mode de vie éclairé et extatique, qu’il est temps de vous mettre tous à élaborer, en votre cœur et en votre âme, la vision de ce monde nouveau que vous souhaitez vivre. […] Maintenant que resplendit le flambeau de la liberté, il vous revient d’inventer le monde que vous souhaitez habiter. »
Car en effet, nous sommes prêts pour la transition. Nous sommes prêts depuis toujours. Nous sommes venus expérimenter la dualité comme on vient jouer à un jeu, tout cela n’est qu’une illusion et le voile de cette illusion se déchire : nous pouvons désormais passer à travers. Nous avons toujours eu le choix de vivre ou non la densité. L’endroit où nous sommes et nos émotions résultent d’un choix que nous avons fait.
À l’aube du changement qui va transfigurer la face du monde, les Êtres de Lumière que nous sommes sont en place, prêts à dérouler ce tapis rouge qui mènera l’humanité au paradis qu’elle a sciemment quitté et qu’elle regrette aujourd’hui. L’Eden a rouvert ses portes et attend le retour de ses enfants égarés. Ceux qui sont prêts entreront bientôt, car l’époque le permet. Ceux qui ont décidé de ne plus être esclaves du mental, de l’argent, du pouvoir, ceux qui sont dans l’espoir d’un monde de paix… Ceux-là construisent la terre de demain, déjà présente dans leur esprit. Dans ce monde, l’humanité communie avec les êtres du peuple minéral, végétal et animal dans une divine danse d’amour. Chacun reconnaît la valeur et l’autonomie de l’autre et la respecte comme sacrée.
Nous sommes co-créateurs…
Puisque nous sommes des co-créateurs conscients et divins, ce monde n’existera que lorsque nous l’aurons créé. Une clef qui nous est donnée par les habitants de la terre intérieure, ces autres nous-mêmes, est la confiance.
« La première chose que vous avez délaissée fut la confiance, et aujourd’hui, c’est ce qu’il vous faut adopter. Voilà la racine de toutes vos difficultés, de vos peines et de vos souffrances. Celles-ci paraîtront moins pénibles quand vous vous direz enfin : »Je renonce à mes fausses conceptions de peur et je fais confiance au processus, peu importe l’intensité de la douleur que j’ai à endurer. Je sais que ce processus va me conduire à la maison, où je pourrais enfin voir la fin de toutes mes souffrances et lacunes. » Une fois que vous avez conquis cette peur, tout s’ouvre à vous, vous obtenez tout, sans limites. Tout vous est dès lors accessible et vous savez avec une certitude absolue que cet univers tant craint vous procurera dorénavant l’objet de vos désirs et comblera vos besoins. » (Telos, Vol. II).
Avançons donc avec la plus grande confiance que nous ayons jamais manifestée, et dans la joie : l’ère de paix est face à nous, et la seule façon de nous en fermer la porte est d’en douter.
Marie Dulout
Praticienne en massages Ayurvédiques, Annemasse – France
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