« Regardez de près l’attachement à votre souffrance. Soyez très vigilant. Observez le plaisir curieux que vous tirez de votre tourment, la compulsion que vous avez d’en parler ou d’y penser. Tant et aussi longtemps que vous vous créerez une identité quelconque à partir de la souffrance, il vous sera impossible de vous en libérer. L’identité de victime est fondée sur la croyance que le passé est plus puissant que le présent. »
Ce livre est gratuit pour les abonnés de la PG (format PDF) – Cliquez ici !