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Message de Babaji reçu par Agnès Bos-Masseron

Cette compréhension que seule est l’énergie, que seule est la lumière, que seul est l’amour, doit amener déjà une transformation profonde de la structure du corps.

Bien que les êtres humains croient que la fatigue, la maladie, le manque d’énergie font partie des normes de la vie humaine, comprendre que cela n’est pas le cas. Il est un art de vivre, un art d’entrer en relation avec tous les aspects de sa vie, et de par cet art, chaque interaction, chaque choix intensifient l’énergie dans le corps.

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Le corps est énergie, la matière est énergie. Il est un art de vivre, un art d’être écoute du rythme de la vie, un art de respecter ce rythme qui fait que la vie devient la danse du don continu. A travers mon incarnation, j’offre la vie à la vie. A travers l’écoute que j’offre à la vie et le respect profond des lois de la vie, de l’univers, des rythmes, la vie donne de l’énergie à mon corps. Ce don continu est la grâce. Encore faut-il choisir d’être écoute et de se démarquer.

Comprenez-le, la grosse majorité des êtres humains ignore l’écoute et croit devoir imposer ses propres lois. Qui respecte les rythmes du soleil, ceux de la lune, ceux des étoiles ? Qui se place en enfant de l’univers qui sait écouter, se taire et créer à travers son incarnation une réplique parfaite de la vie divine ?

Comprenez-le, on ne peut être sur deux bateaux à la fois. Certains croient que leur ego, leur obstination, leurs fausses croyances, peuvent imposer un rythme séparé du rythme de l’univers. Très peu sont les sages qui savent écouter et se taire, qui savent embrasser la terre de leur respect, qui savent embrasser l’universelle bonté de leur respect, qui savent écouter les rythmes universels comme on écoute le cœur cosmique et les battements du cœur cosmique à travers les rythmes des journées et des nuits, les rythmes des saisons. Très peu savent écouter les chants des étoiles.

Et qui sait que les étoiles, non seulement résonnent avec la structure du corps, mais font partie de la structure du corps ? Qui sait que le corps est cosmique ?  Qui sait respecter ce rythme juste qui laisse la place à la pulsation des étoiles au sein de la pulsation du cerveau ?

Il est vrai, on ne peut respecter deux rythmes. On peut suivre la folie collective et braver les lois, ou l’on peut se démarquer et se faire le dévot de la joie, le dévot de la vie.

Il faut comprendre, soit l’on programme sa liberté, soit l’on est programmé par l’esclavage du collectif. L’on ne peut avoir les deux à la fois.

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Certains diront peut-être qu’ils aiment le collectif, et cela est beau et juste, et qu’ils ne veulent peut-être pas se démarquer, mais comprenez-le, l’on ne peut que soit programmer sa liberté soit être programmé par l’esclavage collectif. Aimer le collectif, cela veut dire l’aider à se réveiller à travers chaque choix, à travers l’écoute, à travers la passion d’être membre de la fraternité du vivant et de ramener le choix juste, le rythme juste.

Hors des histoires, hors des drames, à travers sa structure corporelle, à travers sa structure mentale, égotique, émotionnelle, être le dévot de la joie. A chaque choix, être écoute et remercier. Écouter et respecter les rythmes des saisons, les rythmes des journées et des nuits, les battements du cœur cosmique, les rythmes corporels. Offrir la nourriture saine, l’eau saine et surtout les sentiments sains.

Beaucoup comprennent que la terre a atteint un trop grand degré de pollution, mais qui comprend que la plus grande pollution vient des émotions humaines, du manque de respect et du simple fait d’affaiblir son corps à travers des choix qui ne sont que le reflet de l’esclavage du collectif ?

Choisir d’être le berger, l’amoureux du collectif, en étant le berger, l’amoureux du divin, car l’humain est le divin. Aimer le collectif, c’est lui rappeler cela à travers chaque choix. Il n’est pas besoin de mots, il n’est besoin que de l’exemple d’une vie vécue dans la simplicité de l’être qui choisit d’écouter, de se taire et de choisir les voies de sa propre divinité et de sa propre unicité.

Nous aimons vous ramener les voies de la liberté. Nous vous saluons.

Source : http://anandamath.org

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