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La médecine actuelle réalise des prouesses et est capable d’accomplir des opérations très pointues, de greffer des organes… Il y a de quoi être admiratif !

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   Pourtant, est-ce pour cela que nous devons écouter aveuglement les médecins, leur prêter nos corps sans réfléchir, courir consulter pour un oui ou pour un non, accepter de prendre des médicaments sans même savoir à quoi ils servent ni quels sont leurs effets secondaires, recevoir 11 vaccins parce qu’on nous dit que c’est obligatoire, sans étudier le rapport bénéfices/risques ni se demander si cela est pertinent dans notre cas ?

   Non ! Notre corps nous appartient ! Comme le disent si bien les bouddhistes, notre corps est le temple de l’âme. Cela signifie qu’il est nécessaire d’en prendre soin, car il est le véhicule qui nous permet d’exprimer notre talent sur Terre et de réaliser notre « Légende Personnelle ».

    Il est donc insensé de l’envahir de produits toxiques, aux nombreux effets secondaires pour des soucis de santé qu’on aurait certainement pu régler avec des médecines plus douces. Renseignons-nous, soyons adultes, ne laissons pas les laboratoires et le discours officiel nous manipuler en nous apportant une information que nous ne prendrions pas la peine de remettre en cause !

   Notre corps est un miracle de perfection ! Tout le monde est d’accord là-dessus, les croyants comme les athées, les spiritualistes comme les matérialistes ! Comment alors imaginer qu’il ne contienne pas en lui des ressources tout aussi incroyables pour le réparer ? Le corps est une merveille et bien souvent (en dehors des pathologies graves), il suffit de « laisser faire la nature » pour que tout rentre dans l’ordre.

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   Pourquoi se précipiter sur un Advil si on a de la fièvre (au risque de ne pas bénéficier des effets bénéfiques de celle-ci), sur un anti-inflammatoire pour des douleurs… il y a aujourd’hui tant de médecines holistiques (Reiki, fleurs de Bach, shiatsu…) connues qui sont capables d’accompagner la guérison d‘une grande majorité de maux ! Gardons l’allopathie pour les cas qui résistent aux médecines douces (en fonction évidemment de ce que nous sentons juste de faire).

   Et pourquoi ne pas concentrer d’abord nos efforts sur la prévention des maladies (vie saine, équilibre travail/repos, sommeil…) puis, quand la maladie arrive, nous centrer sur la recherche et la compréhension de ce qu’elle vient nous dire ? Notre corps n’est pas une machine, il est le reflet de notre intériorité. Quand nous sommes face à la maladie, allons voir en nous ce que nous pourrions changer dans notre manière de penser, agir, parler… La maladie, si on veut bien l’accueillir, et non la combattre, devient alors une formidable occasion de connaissance de soi et d’évolution de notre conscience (grâce à un travail intérieur par des techniques d’écriture, d’art-thérapie, de rêves éveillés…).

   Comme le disait si bien Platon :

« Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l’esprit ».

Bon cheminement !

Sabine

Source: https://epanews.fr/

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