Savez-vous que les aliments ont une énergie vibratoire importante pour notre santé ?
C’est dans les années 1930 qu’André Bovis détermina une échelle de valeur afin de quantifier l’énergie vitale contenue dans les aliments. Pour cela, il commença par observer une pomme dans un pommier, puis le lendemain de sa cueillette, puis 1 semaine après la cueillette, 3 semaines après sa cueillette etc.
[widget id= »custom_html-12″]
Il constate que lorsque la pomme est encore dans l’arbre, elle contient le maximum d’énergie vitale. Ensuite, cette énergie diminue d’intensité à partir du moment où le fruit est séparé de son arbre, et ceci continue au fur et à mesure des jours et des semaines qui passent. C’est pourquoi, il est toujours conseillé de manger des légumes de saison fraîchement récoltés.
Pour rester en bonne santé, notre corps et notre esprit ont besoin de vivre dans un lieu sain et d’avoir une alimentation saine et équilibrée qui vibre dans une certaine fréquence.
Sachant qu’aujourd’hui la vibration d’un lieu situé en zone neutre correspond actuellement à 12 000/13 000 unités Bovis (UB) ou à 12 000/13 000 Angström. Il est donc important de consommer le maximum d’aliments et de boissons qui atteignent cette vibration.
Tous les aliments et boissons qui vibrent à 12 000 UB et plus vont nous apporter de l’énergie, alors que tous les aliments ou les boissons qui vibrent en dessous de cette limite vont nous enlever de l’énergie.
Il a été également constaté que l’on pouvait dynamiser les boissons et aliments grâce au citron. Le jus de citron frais vibre à 12 000 UB. En pressant du citron sur votre poisson qui lui vibre à 5 500 UB, celui-ci est dynamisé et prend automatiquement la vibration du jus de citron pour vibrer finalement à 12 000 UB.
Prendre en compte la vibration de vos aliments et de vos boissons vous permettra de manger à votre faim sans pour autant prendre du poids et la cas échéant perdre des kilos superflus.
Grâce à André Simoneton, spécialiste de la vitalité des aliments, nous obtenons une classification des aliments en 4 catégories – (extrait du site buddhaline.net) :
Les aliments supérieurs qui vibrent entre 6 500 et 10 000 UB
- Fruits crus : raisin, orange, citron, pamplemousse, pêche, pomme, framboise, poire, prune, melon, ananas, abricot, fraise, groseille, figue ; et, à un degré moindre : figues sèches et dattes.
- Jus de fruits : ananas, raisin, orange, citron, pamplemousse, pêche, pomme, cerise, framboise, poire, melon, prune, abricot.
- Légumes crus (frais, voire très frais) : ail, carotte, tomate, poireau, oignon, haricot vert, champignon, chou, radis, salade verte.
- Légumes cuits : soupes (de pommes de terre, chou de Bruxelles, navet, carotte), pommes de terre en robe des champs cuite au four, légumes cuits à l’étouffée (petits pois, carotte, pomme de terre, salade, haricot vert), ratatouille niçoise, farine de manioc.
- Céréales (à consommer en flocons, grains complets, ou à moudre ou broyer chez soi, juste avant l’emploi) : flocons d’avoine, blé (farine fraîche, blé broyé, blé germé, blé entier, pain maison, gâteau de semoule à l’eau, crêpe, galettes soja/blé, biscuits, clafoutis), farine de sarrasin, maïs… Les autres céréales ne semblent pas avoir été testées par Simoneton, mais sont très probablement tout à fait recommandables.
- Oléagineux : noix fraîches, olives noires, amandes, noisettes, noix de coco.
- Produits laitiers : beurre sortant des barattes, gruyère frais, cantal, port salut, lait frais.
- Viandes : jambon fumé “ à l’ancienne ” (de moins d’un mois).
- Poissons : poissons de mer et fruits de mer frais et crus, ou crabe, langouste, maquereau, thon, sole, rouget, sardine, barbue (grillés ou cuits au four uniquement).
- Autres : sel frais des salins, miels extraits à froid, mélasse noire.
[widget id= »custom_html-12″]
Les aliments de soutien qui vibrent entre 4 000 et 6 000 UB
- Fruits crus : cassis, fruits déshydratés (raisin sec, pruneau, abricot sec…), compotes de fruits.
- Légumes crus : légumes déshydratés.
- Légumes cuits : gros artichaut, purée de pomme de terre.
- Céréales et farineux : galette de sarrasin, tapioca au lait, semoule au lait, biscottes (récemment fabriquées).
- Produits laitiers : fromage de Hollande, oeufs (de 8 jours), beurre (de 8 jours), fromage crémeux, crème (de 4 jours).
- Viandes : viandes tuées du jour ou de la veille et de préférence crues (ou à peine saisie), ou porc tué de 4 jours.
- Poissons : poissons de rivière.
- Autres : vin doux naturel, crème renversée, confiture de prune au sucre roux.
Les aliments inférieurs qui vibrent entre 1 000 et 3 000 UB
- Fruits crus : tous les fruits lorsqu’ils sont verts, blets ou en voie de pourriture, tels qu’ils sont vendus dans les grandes villes.
- Légumes crus : artichauts crus, pomme de terre crue, légumes fanés.
- Légumes cuits : tous les légumes trop bouillis.
- Céréales et farineux : farines (de quelques mois), farine de châtaigne, biscottes (vieilles), crèmes au lait.
- Produits laitiers : lait (tel qu’il arrive dans les grandes villes), crème (de 6 à 10 jours), beurre (de 12 à 15 jours).
- Viandes : petits animaux tués de 4 jours, rôtis.
- Poissons : tous les poissons de plus de 3 jours.
- Autres : sel gemme, vins ordinaires, vins d’apéritif, confitures ordinaires.
[widget id= »custom_html-12″]
Les aliments morts – 0 UB
D’une manière générale :
- toutes les conserves
- les fruits ou légumes pourris
- les pâtes
- les farines de plus de 6 mois
- la margarine
- les pâtisseries industrielles
- les fromages fermentés
- les oeufs en poudre
- les viandes cuites et les abats
- les alcools
- le café, le thé
- le chocolat
Information sur les huiles :
L’huile qui vibre le plus est l’huile d’olive extraite à froid – 9 000 UB
Elle aussi a un intérêt vibratoire important car sa radiovitalité dure plus de 10 ans et associée à un autre aliment sa vibration s’ajoute.
Pour les autres huiles de première pression et datée de l’année en cours, elles vibrent de la façon suivante :
- Huile de noix : 8500 A°.
- Huile de foie de morue (du Codex) : 7500 A° (ne pas confondre avec des huiles de foie de morue de marque x ou y, qui titrent 0 A°).
- Huile d’arachide : 6500 A°.
- Huile de Colza : 5000 A°.
- Huile de navette : 5000 A°.
- Huile de pépins de citrouille : 3000 A°.
- Huile de ricin : 3000 A°.
- Huile d’œillette : 1000 A°.
- Huile de noyaux (abricot et pêche) : 0 A°.
- Huile d’amande douce : 0 A°.
- Huile de poisson : 0 A°.
Source: http://lithogaia.over-blog.com/
[widget id= »custom_html-12″]