par Véronique Rauzy
Chers amis, nous avions été prévenus que 2020 serait une année d’épreuve !
La déferlante de stress concernant l’épidémie de coronavirus est une épreuve mobilisant une très grande proportion de l’humanité aujourd’hui. Avant d’être extérieure, elle est aussi intérieure, nous permettant de démasquer le parasite prédateur qui tente de nous influencer du dedans à chaque instant.
Une épreuve, c’est quoi ? C’est une expérience à traverser, durant laquelle on s’éprouve soi-même, on se confronte à des expériences qu’on ne connaît pas encore, on est amené par les situations à mobiliser nos ressources profondes et à découvrir de nouvelles facettes de l’interface humaine.
Ces facettes, ce sera peut-être, au début, des rengaines connues :
L’urgence de la survie, la résurgence des mémoires de manque, les peurs ancestrales ataviques qui se découvrent et crient pour être entendues, écoutées et suivies.
Ce sera peut-être, aussi, la pulsion de mort, le prédateur, l’usurpateur astral d’ordinaire bien planqué, celui qui profite de la situation pour se nourrir insidieusement de nos peurs, de notre attention et qui a pour objectif de nous faire basculer dans la confusion et l’illusion. Celui qui va nous raconter et nous faire raconter / partager des histoires invraisemblables, toutes plus effrayantes et jusqu’au-boutistes les unes que les autres, nous parlant une fois de plus de subir la fin du monde dans la tragédie, le vice et le drame, et se nourrissant des pressions, stress et détresses occasionnés.
Heureusement, l’être humain n’est pas borné par ces tristes conseilleurs.
En lui résident un centre, un Cœur, un espace de paix et de foi, une connexion profonde à l’Un qui permettent de traverser tout, depuis la conscience d’être à sa place, en train de vivre exactement ce qui nous correspond, et que tout est ok, pour peu qu’on s’aligne correctement et qu’on garde la justesse du Cœur comme boussole directionnelle…
Ne nous laissons pas embarquer dans des délires qui ne nous font pas du bien, ni à notre psyché ni à notre immunité.
Cette épreuve peut nous aider à voir que quand nous sombrons dans la peur, nous offrons notre trésor émotionnel à des prédateurs internes/astraux qui sont des parasites de notre interface, qui tentent en permanence de nous influencer et de nous faire faire et dire n’importe quoi, nous déconnectant et nous tondant comme les moutons qu’ils aimeraient que l’on soit.
Nous sommes holistiques, un tout : prenons soin de nos expressions, de nos actions et réactions, de ce à quoi nous accordons notre attention et des intentions que nous nourrissons parfois inconsciemment.
L’expérience humaine actuelle est celle d’un changement global de paradigme, l’effondrement de la prédation et la naissance de la coopération.
Il faut bien comprendre que les prédateurs les plus hauts sur la pyramide ne vont pas lâcher le bébé si facilement, et qu’ils n’ont aucun scrupule. Mais rappelez-vous bien de ne jamais leur donner votre pouvoir ! C’est grâce à cela qu’ils dominent depuis si longtemps.
Récupérez votre pouvoir-de, honorez votre puissance créatrice et ne déléguez plus votre responsabilité et vos croyances à des systèmes qui n’honorent pas le vivant.
Surveillons nos paroles, notre expression, qu’est-ce qu’on nourrit ?
Quel est notre maître ? La survie, la mort, la vie ?
Où est notre centre, notre Cœur, notre courage, notre acceptation de traverser ce qui se présente en préservant notre calme ?
Les 5 fréquences d’Unité aident en ces temps où les offensives chaotiques et structurantes se déploient.
Observez en vous, dès que vous vous sentez déstabilisé :
Suis-je aligné sur le Respect ? de moi-même, des autres, du vivant, du divin en moi…
Suis-je en Équanimité ? Centré, observateur, dans l’œil du cyclone avec tout qui bouge autour et ce centre qui reste serein, quelles que soient les circonstances…
La Joie sans objet me soutient-elle ? Cette fréquence ressource aide pendant les épreuves, elle est le jaillissement intrinsèque de la force de vie, de la puissance créatrice dont nous sommes dotés et appelés à redécouvrir.
Suis-je engagé dans l’Œuvre commune, depuis ma fréquence unique et mon apport inestimable ? Ou basculé sur l’intérêt individuel que l’ego et le prédateur me font miroiter comme le seul important et le prioritaire ?
Suis-je souverain en mon royaume ? Dans ma responsabilité, ma capacité de me positionner depuis l’humain divin et d’agir en interdépendance avec mes semblables ? Ou une fois de plus en train de déléguer mon pouvoir, mes croyances, mon attention… en refusant d’assumer la Présence, Conscience, Puissance ; dans « mes » fantasmes, « mes » désirs, « mes » projections et « mes » dépendances, bien englué dans « mes » illusions et « mes » souffrances auxquelles « je » tiens tant… à côté de la plaque encore et encore ?
Nous sommes à la croisée des chemins ! Mais nous avons tout ce qu’il faut pour accomplir ce moment et soutenir le vivant, nous sommes venus pour ça !
Avec courage, le Cœur à l’ouvrage.