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par Jean-Jacques Gangnant

Une nouvelle façon d’aborder et de comprendre la maladie émerge…

Il est un fait entendu pour beaucoup, maintenant, que l’essentiel des dysfonctionnements physiques et psychiques de l’être humain trouve leur source dans une émotion très intense et profonde, un choc émotionnel…

 

Le son dans notre culture occidentale

Essentiellement visuelle, notre culture occidentale n’a pas suffisamment pris en compte le monde sonore et l’importance de son implication dans la société, d’où une cacophonie ambiante. Avec le développement industriel et la mécanisation généralisée, l’environnement s’est considérablement dégradé,  notamment sur le plan acoustique.

Les équipements mécaniques actuels produisent des sons agressifs et déstructurant qui ont progressivement envahi l’espace professionnel, privé et environnemental.

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Nos habitats, généralement dépourvus d’isolation phonique efficace, font office de « caisse de résonance » aux nuisances sonores internes et externes. Quant aux immeubles de bureaux, commerciaux et industriels, construits sur la base d’une structure métallique, ils constituent une véritable « cage de Faraday », isolant ses occupants des énergies cosmiques et telluriques, nécessaires à une vie en santé.

De plus en plus de musiques s’apparentant plus à des « bruits » qu’à des œuvres musicales harmonieuses, s’immiscent dans nos vies au travers des diffusions sur les lieux publics, les médias audiovisuels, les magasins… Toute cette musique « bas de gamme » est diffusée en boucle à des fins exclusivement commerciales. Quant à la musique “haut de gamme”, elle a en grande partie perdu sa capacité à mettre en résonance les personnes et les lieux depuis l’arrivée de la musique à gamme tempérée et le choix d’un diapason trop élevé.

Les oreilles n’ont pas comme les yeux des paupières protectrices, et leur surmenage produit toutes sortes de surdités physiques et psychiques. Devant l’étendue des dégâts, quelques mesures d’urgence ont été prises (limitation du niveau maximum des baladeurs, port du casque obligatoire avec certaines machines, meilleure isolation phonique…).

Mais il reste beaucoup à faire pour que le facteur sonore soit reconsidéré dans ses aspects à la fois nocifs et bénéfiques, afin qu’une écoute et une utilisation conscientes des sons puissent finalement émerger.

La musicothérapie

Dans ce contexte, la musicothérapie, longtemps occultée par l’allopathie, réapparaît à l’hôpital, à l’université ou en cabinet… et une nouvelle musique à la fois plus technologique (synthétique. informatique) et naturelle (acoustique, concrète), commence à porter ses fruits. Des albums “News-Âge” propices à la détente tissent des toiles de fond masquant les bruits ambiants, et les instruments “harmoniques” d’hier (bols tibétains, guimbardes, didgeridoo, cithare, tambour indien…) et d’aujourd’hui (bols en cristal de quartz, didgeridoos de verre…) sont de plus en plus présents lors des séances de relaxation, de méditation ou d’harmonisation.

La clef des sons

Un retour aux sources est amorcé pour retrouver “la clef des sons” détenue par les antiques traditions. Le succès grandissant des pratiques orientales, et notamment du yoga a apporté une conception élargie de l’homme-énergie et des lieux de vibration corporelle des sons. Avec Marie-Louise Aucher, la voix, porte-parole de l’âme humaine, est devenue voie de guérison, tandis que Iégor Reiznikof remet en jeu les lois de résonance des églises romanes et du temple de l’homme en chantant dans les anciennes gammes naturelles.

Les sciences expérimentales apportent peu à peu des explications sur le mystérieux pouvoir des sons (travaux de Jenny, Emoto, Sternheimer) et des confirmations sur leurs effets grâce aux tests Kirlian et Aurastar.

Si les cacophonies internes (tensions psychiques…) et externes (pollutions sonores, conflits relationnels…) ont tendance à nous “désaccorder”, les séances d’harmonisation holistique par les sons offrent l’opportunité de vibrer de nouveau au diapason de l’harmonie universelle.

La seule différence entre notre dimension d’existence et les autres est la longueur d’onde sinusoïdale de base. Si on pouvait changer la longueur d’onde de notre conscience, puis mettre en cohérence toutes les parties de notre corps avec cette même longueur d’onde, nous disparaîtrions instantanément de cette réalité pour réapparaître simultanément dans le monde suivant vers lequel notre Âme est automatiquement attirée. C’est certainement ce qui a dû se produire avec le peuple Maya qui a disparu soudainement sans que nos scientifiques puissent expliquer la disparition instantanée de tout un peuple.

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