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par Laurence SIMONNET

La crainte, la peur, les doutes te torturent et t’emmènent loin de la paix intérieure.
Ton attachement aux personnes, au matériel, à ton corps te dessert. Cela te parle de perte, de séparation, de douleurs, de deuil… de manques, de souffrances. Tout ceci t’attire loin de ton centre.
Il te lie, t’attache, t’enferme alors que tu œuvres en parallèle pour la liberté, la joie et la légèreté.
Pourquoi ne pourrais-tu pas tout à coup prendre conscience, profondément, que tu ne peux rien « perdre » puisque rien ne t’appartient ?
Ni une personne ni une maison, une voiture, et surtout pas ce corps !
Ce corps t’est confié le temps de ton incarnation terrestre.
Tu en as la responsabilité et tu as pris l’engagement d’en prendre soin le temps de cette vie pour traverser au mieux cette expérience et vivre ces propositions.
Alors pourquoi cela te met-il dans tous tes états le fait de « perdre ou de lâcher la maladie, la souffrance « ? À quoi ou à qui résistes-tu à ce point ? À quoi t’accroches-tu encore ?
Tu t’accroches à un passé, à un état, à des illusions, à des projections.
Qui serais-tu sans cela ?
Peux-tu envisager pourtant que cela t’est possible de lâcher la souffrance, le poids, la maladie ?
Peux-tu ressentir que tu portes une ancre si lourde, si amarrée qu’elle t’empêche de prendre ton envol ?
Alors tu essaies de vivre avec : tu portes des masques, tu dissimules ce que tu vis à l’intérieur par peur, par honte…
Malgré tout, « ça » se voit, car le corps t’envoie un SOS comme une bouteille à la mer afin que tu lises son message : il a un grand besoin d’Amour !
Qu’as-tu si peur de perdre, d’abandonner, de lâcher et de vivre ?
L’abandon que tu pourrais vivre est celui de ne pas t’aimer.
Même là, le mot « perdre » fait que tu les retiens inconsciemment.
Personne ne veut perdre son amour, son temps, sa voiture… son téléphone !
Peut être qu’un premier pas serait de se dissocier de cette possession, ce besoin d’ « AVOIR », de posséder !
Cela deviendrait un téléphone, une maison, une voiture, un amour… Sans attachement possessif, sans chaîne ni pouvoir.
Pour le corps, ce serait pareil : « ce poids ou cette maladie ou cette souffrance n’est pas le mien. Je ne m’identifie pas à lui. Je ne suis pas ça. Il ne me définit pas.
Je ne le rejette pas. Je ne le nie pas. Juste je ne m’attache pas à lui. Je suis donc libre de choisir, de décider, de mettre en place ce qui me résonne pour être dans le véhicule sacré idéal dans l’instant. »
Il est cependant présent dans ta vie pour t’enseigner et te transmettre un message. Il t’appartient de le recevoir et d’oeuvrer afin de réajuster ce que tu vis à ce que tu devrais vivre !
Demande-toi à quelles croyances, à quelle interdiction tu réponds en étant limité, lourd, coincé… ?
Tu es Lumière et Amour !
Tout dans ta vie vibre au gré de ces fréquences.
Partout où il en manque, ajoute-les en conscience, avec bienveillance !
Pour que cet être de Lumière que tu es, cette légèreté, cette liberté, cette simplicité puissent se respirer, se ressentir dans ce corps.
Pour que l’amour qui rayonne de ton âme, de ton coeur, répare, restaure à nouveau le meilleur en ton corps !
ÊTRE en parfaite Harmonie, dans l’Unité de ton Être, dans l’Amour et la Joie de qui tu es.

auteure Laurence Simonnet
Semeuse au Grand Jeu de la Vie
Source: laurencesimonnet.com