Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron.
Retrouver cette évidence que la matière est lumière. Retrouver cette évidence et l’inscrire dans la structure du corps.
Vous le savez n’est-ce pas, le corps est créé à partir des pensées. Au niveau le plus fin, le plus réel, de la lumière naît le verbe et le verbe se fait chair. La chair alors est lumière. Cette réalité s’applique à tous les corps.
Pour ceux qui ont établi la transparence, le verbe est lumière. Pour d’autres, le verbe reste lumière et autour se crée comme une cage des pensées désordonnées. Et ce sont les pensées qui créent la structure du corps.
Notre société a accepté le concept que la pensée est créatrice. Pourtant trop peu savent appliquer ce concept dans la réalité. La pensée est créatrice et la pensée génère l’état du corps. Affiner la pensée qu’elle soit le miroir de l’intellect le plus fin. Et ainsi, naturellement, en sous-produit, raffiner la structure corporelle.
On peut dire que le corps est la précipitation ou la manifestation des pensées, des croyances, des crispations ou des fluidités. Le corps humain naturel est corps de simplicité et de lumière, corps infiniment vital ne connaissant ni maladies, ni vieillissement parce que la graine qui est sa source est infiniment vitale et pure lumière.
Il est une humanité dont les corps sont pure lumière et dont les structures corporelles ne connaissent que l’éternelle jeunesse, la vitalité, la vibration de la joie. Beaucoup parlent des sociétés d’harmonie. Dans ces sociétés, l’être humain naturel a un corps vibrant de lumière. Le sang est fluide et couleur d’or. Le sang est amour et dévotion. La frontière est presque inexistante entre les sentiments et la projection des sentiments dans la création. Plus les sentiments sont purs, plus la création est pure.
Lorsque les sentiments deviennent émotions lourdes, la création est lourde, crispée, tendue et régie par des lois telles que le vieillissement, la maladie, la cause et l’effet même. Lorsque seule est la lumière, la seule loi régissant la vie est la grâce.
Œuvrer sur le corps implique donc œuvrer sur toutes les structures émotionnelles, égotiques, mentales. Cultiver la simplicité, la noblesse de ce regard qui naturellement ne voit que le beau et le bon. Ainsi naturellement la structure corporelle est affectée et se fluidifie…
Ce qui est prépondérant est de pacifier la structure émotionnelle par une attention tout offerte au beau et au bon. Cela a la plus grande puissance pour transfigurer la structure corporelle.
Vous le savez, la dimension de lumière ne connaît pas le temps linéaire, seulement le temps simultané. Effacer du système de compréhension ou de croyances la notion du temps linéaire. Cela paraît impossible au sein de la troisième dimension, pourtant c’est le changement de regard qui permet de basculer dans une autre dimension.
Auteur : Agnès Bos-Masseron
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