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par Jean-Jacques Gangnant

LES SONS FONT RÉAGIR NOS CELLULES ?
Pour comprendre comment la musique agit sur nous, il faut savoir qu’elle n’a rien d’immatériel et ne passe pas directement des instruments à notre cerveau. Son support, c’est l’air, celui qu’on respire.

Qu’il s’agisse du tintement apaisant d’une cloche ou du vacarme assourdissant d’un marteau-piqueur, tous les sons déplacent de l’air, exerçant une « pression acoustique » qui vient caresser ou frapper nos tympans.
Par ailleurs, tous les sons ont leurs propres fréquences, leurs propres vibrations : trop aigus ou trop graves, on ne les entend pas. Or ces dernières n’ont rien d’immatériel non plus.

Des chercheurs américains du Jet Propulsion Laboratory de Pasadena ont constaté qu’en envoyant des ultrasons très puissants dans une boule de verre remplie d’eau, on voyait se former de minuscules bulles émettant des éclairs bleuâtres.

Ce phénomène de « sonoluminescence » est bien la preuve que les sons ont une action physique sur la matière.

Ainsi, même si notre oreille ne perçoit, en apparence, que les fréquences « moyennes », la première influence de la musique s’exerce sur tout notre corps.
En réalité, notre organisme est un véritable orchestre à lui tout seul : battements du cœur, rythme cérébral, respiration des poumons, vitesse de circulation du sang, vibration des cellules, pulsations du système nerveux…
Si les rythmes et les fréquences extérieurs sont trop rapides, trop agressifs, les interprètes de notre orchestre intérieur sont perturbés. Ils essaient alors de s’adapter en « suivant le mouvement ».

Résultat : le stress et la tension montent. À l’inverse, si la musique entre en correspondance avec nos rythmes biologiques, l’harmonie règne…

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DES VIBRATIONS QUI SOIGNENT
En partant de ce principe, le chercheur français Fabien Maman, fondateur de l’Académie de tama-do (la « voie de l’âme » en japonais) à Londres, a fait sa propre synthèse de l’univers vibratoire (sons, couleurs, odeurs, mouvements) et a mis au point une technique très originale :
pour soigner, il pose des diapasons – ces petites fourches qui servent à accorder les instruments – directement sur les points d’acupuncture. Les vibrations courent le long des muscles, des nerfs, des os… et « raccordent » notre corps et nos énergies.

Hélène d’Hennezel, musicothérapeute formée au tama-do, travaille aussi avec des sourds : « Leurs oreilles ne fonctionnent plus, mais leur corps entend les messages qui lui sont envoyés.

Au cours de certaines séances, j’arrive presque à voir le parcours des ondes sonores tant leur présence est palpable. »

Voilà pourquoi certaines fréquences musicales – ou des sons de notre environnement quotidien – entrent en résonance avec celles de notre système nerveux et procurent une sensation d’apaisement, de bien-être. Tandis que d’autres vibrations entrent en conflit avec nos fréquences intérieures provoquant de « fausses notes » qui malmènent notre système nerveux.
Ce phénomène physique explique aussi l’effet calmant des musiques dites de relaxation : les rythmes du cerveau s’adaptent à ceux de la musique, ralentissent leur intensité et nous font parfois plonger dans un profond sommeil.

JjGVibrasons utilise des fréquences ayant des harmoniques apaisantes, savant mélange entre solfège sacré, fréquences de « Rife », la Nature & ces éléments, etc.

Tu veux en savoir plus ???
Site: jjg-vibrasons.com

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