par Norbert Clémencet
En cherchant à élever toujours plus notre niveau de conscience, nous nous laissons progressivement imprégner par des énergies de hautes vibrations. Et nous finissons alors sans nous en rendre compte, par nous identifier à la dimension que nous sommes parvenus à atteindre et en devenir les représentants au quotidien, et même peut-être si ce n’est pas trop prétentieux, à en devenir en quelque sorte les porte-parole. Et pouvant alors se considérer alors comme un intermédiaire, un transmetteur au service des deux dimensions.
Et à l’inverse d’ailleurs, en abaissant de plus en plus nos énergies dans les basses vibrations, nous pouvons tout aussi bien dans le même ordre d’idée, finir par nous aligner sur ces dernières, et nous mettre ainsi à la portée des représentants de diverses entités de l’ombre. Et se mettre ainsi à la merci des vibrations négatives dans lesquelles ils évoluent et dont ils ont besoin pour exister. En se jouant de nous, nous devenons alors les marionnettes de toutes leurs manigances sans même nous en rendre compte.
En relisant certains messages que j’ai pu écrire, je dois bien avouer en toute humilité, avoir la sensation de ne pas en être complètement l’auteur. Je ne suis que le porte-parole, la plume d’une conscience supérieure qui me guide et me dirige dans leur rédaction. Car je dois bien reconnaître, que ce n’est pas mon seul petit moi égotique terrestre de troisième dimension, qui se sent capable de les rédiger. Chacun partage une connexion plus ou moins profonde avec la création, ce qui permet de se laisser imprégner par les vibrassions provenant de cette source sur laquelle chacun de nous est plus ou moins aligné.
Je n’ai pas la sensation de canaliser directement une entité particulière, ou une sorte de guide ou tout du moins je n’en ai pas conscience ! mais je dois bien reconnaître en toute modestie que quelque chose de plus haut hiérarchiquement m’anime dans ces moments d’écriture.
Donc je dois bien l’avouer pour être honnête, je ne suis pas l’auteur exclusif des textes. Et donc le (je) employé a la première personne du singulier comme étant le moi impliqué, quand il m’arrive de l’employer pour écrire les messages concernés, n’est pas vraiment la bonne personne. Il serait plus exact de se servir du (nous) première personne du pluriel comme étant beaucoup plus approprié pour désigner le fait de deux personnes participant en commun à l’écriture d’un texte. Ces messages sont donc co-écrits. L’un des deux auteurs est mon petit moi terrestre, situé sur ce plan interne de troisième dimension, celui qui tient la plume. L’autre est un moi astral, situé sur un plan de conscience extérieure bien plus vaste et élevé, c’est celui qui tient la main de celui qui tient la plume.
Le (je) s’il continu alors à être employé doit plutôt être perçu comme l’expression de la source dont je fais moi-même partie, ainsi que nous tous qui peuplons la terre entière, la galaxie, l’univers et au-delà. Je ne suis alors rien d’autre qu’un tout petit facteur de quartier, qui transmet les messages que l’on veut bien lui délivrer, à des gens qui veulent bien les entendre. Voilà, cela fait du bien pour (moi) de le préciser.
Remis par l’auteur à la Presse Galactique