contribuer2

par Lulumineuse

Quand l’humain a peur, il ressent une émotion qui peut se décliner en diverses sensations s’ajoutant parfois les unes aux autres, telles que le souffle court, les membres qui se crispent, les mains qui deviennent moites, etc. La peur fige, la peur paralyse, la peur nous maintient dans un état hypnotique où le corps mental produit une quantité de scénarios potentiels plus traumatisant les uns que les autres.

Alors, quelle utilisation de l’imagination faisons-nous là ?

La peur est une énergie de basse fréquence à laquelle nous pouvons devenir réceptifs dès lors que nos questionnements restent sans réponse. Surtout sans les réponses que nous désirons entendre. Alors, dans un réflexe de surprotection, notre moi inférieur peut nous prévenir du pire, comme si de le savoir pourra nous y préparer…

Mais c’est là une habitude qu’il ne faut pas chercher à développer ni même à conserver. Car rappelons-nous, que toutes les habitudes ne sont pas saines pour l’humain qui se construit, ni pour sa santé et les conditions de vie dans lesquelles il se destine à évoluer. De même que l’humain conscient s’émancipe petit à petit de ses réactions de colère, d’orgueil ou encore de jalousie, l’humain doit peu à peu transformer sa réaction face à la peur en prenant conscience dans l’instant qu’il a le pouvoir de tirer de cette information une utilité, un but transcendantal qui l’invite dès lors à puiser plus de Lumière en lui-même.

Alors, il peut choisir de converger ses pensées au profit d’un imaginaire empreint de sagesse et de paix, lorsque les réponses qu’il attend ne sont pas immédiates. Il contribue ainsi au rôle de gardien de son propre sanctuaire, le gardien de la Lumière et de l’Amour, sa demeure véritable.


Avatar photo

Lulumineuse

Bienvenus(es) sur mon site web : www.lulumineuse.com ! Vous pouvez télécharger mes outils GRATUITS en cliquant ici ! et lire mes chroniques ici...