Message de Douce Mère reçu par Agnès Bos-Masseron
La Douce Mère exulte. Ramener à l’humanité cette vision du corps, le corps cosmique. Chaque chakra est porte ouvrant sur une réalité physique, énergétique, spirituelle. Et l’attention offerte à tous ses chakras, lorsqu’elle a sa base et son ancre dans le cœur, cette attention offerte éveille d’autres centres, d’autres vortex. Celui ou celle qui connaît le corps humain connaît tout le cosmos, les mondes célestes, toutes les couches de création, toutes les planètes. Le corps est cosmique.
La clef reste la simplicité du cœur. Et la simplicité ouvre à la pleine connaissance. La clef reste le don total de tous les aspects de soi au Suprême. La clef reste cette attention offerte, avec dévotion et donc intransigeance, à déposer, à offrir tous les attachements, les fausses identifications. Et attention avec toujours plus d’acuité à ce que l’on peut nommer les farces de l’ego.
Trop souvent, il fait semblant de se taire pour prendre une autre voie. Et nous parlons là au niveau de l’individu, car cette passion, cette dévotion, cette intransigeance de traverser toutes les farces pour se retrouver dans la simplicité de la pleine ouverture, déjouent et enlèvent du poids à l’emprise de ce que l’on pourrait nommer « le grand ego cosmique ».
Vous le savez, l’on pourrait dire, à la porte entre le un et le deux, résident les opposés, le monde le plus subtil, le plus céleste, le monde de l’emprise que l’on pourrait appeler la plus sournoise. Ne donner de l’emprise à aucun des deux, traverser. Le cœur sait le Un. L’être ainsi dévot de la joie d’ananda qu’est le Un. De l’autre côté des fréquences de joie ou d’anti-joie, l’inévitable d’ananda, le Suprême.
Le cœur tout offert à cela initie l’éveil de la totalité du corps. Ce corps auquel nous faisons allusion n’est limité en aucun dévot. Corps d’éternelle Lumière, corps de dévotion, corps ascensionné, peu importe le terme : le corps. Le corps du dévot, de la dévote, infiniment vaste est ce corps. En chaque cellule pulse la création, la création-offrande, la création-temple. Les battements du cœur sont les cloches de ce temple.
Nous ne parlons pas là du plus céleste, mais de son au-delà. Traversez le plus céleste. La tête ne peut se préoccuper des détails de la physionomie de ce corps, seul le cœur révèle, sans aucun questionnement. Nous initions cet éveil par les dons, recevez les dons.
Souvenez-vous, cet éveil du corps cosmique, cet éveil cellulaire, cette reconnaissance de la cellule dans sa nature de lumière divine, cela est le plus beau don que l’on puisse faire en tant qu’être incarné, quel que soit le plan de l’incarnation.
À la totalité de l’humanité, souvenez-vous, ne gardez l’attention que sur ce qui est nommé la vision, la vision de l’être humain divin dans sa réalité corporelle, dans sa réalité du sentiment d’adoration, de dévotion.
Traversez les mondes les plus célestes, ils sont l’antichambre !
Auteur : Agnès Bos-Masseron
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