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Par Yvan Poirier

« De nombreux expérienceurs d’EMI ou de sorties de corps sont capables de relater avec exactitude des conversations entre les médecins ou les membres de leur famille, ou encore de décrire avec précision des objets ou des scènes ayant eu lieu dans ou en dehors de l’hôpital. « Cela veut donc dire que ces patients ont vu sans leurs yeux, entendu sans leurs oreilles et compris sans leur cerveau ! », s’exclame le Dr Charbonier.

Comment est-ce possible ? Cela vient contester le concept fondamental de la science occidentale selon lequel la conscience est produite par le cerveau et ne peut donc exister sans lui. Selon le Dr Pim van Lommel, « il paraîtrait même exister un rapport inversé entre la clarté de conscience et la perte des fonctions cérébrales ». Après 20 ans de recherches sur les EMI, ce célèbre cardiologue néerlandais dit en être arrivé à l’inéluctable conclusion selon laquelle le cerveau aurait une fonction de facilitation et de réception et non une fonction de production de la conscience.

« Au vu des expériences rapportées dans le monde entier, nous pouvons supposer que les champs d’informations de notre conscience ont leur source dans un monde invisible au-delà du temps et de l’espace. Dans mon idée, la conscience n’est pas physiquement ancrée, elle est non locale », partage-t-il dans l’enquête de Leslie Kean.

Ses conclusions corroborent celles du chercheur Emmanuel Ransford, spécialiste de physique quantique, pour qui il existerait une grande toile suprale, sorte de double invisible de notre univers visible, dans laquelle résiderait notre métaconscience et où toutes les métaconsciences seraient reliées entre elles. Selon lui, les données captées par les médiums proviendraient de cette grande toile où elles sont archivées. « Quand le cerveau s’arrête, comme un poste de télé ou une radio, les ondes de notre conscience demeurent, poursuit Pim van Lommel. En d’autres termes, nous avons un corps, mais nous sommes conscience, et celle-ci n’a ni commencement ni fin. »

Ainsi, pour ces éminents scientifiques, la mort ne serait pas notre fin, elle sonnerait simplement notre passage ou notre retour vers une dimension plus élevée. Et d’après leurs recherches, il ne s’agirait pas d’une quelconque fusion impersonnelle dans un grand bain de conscience universelle, mais bel et bien d’une survivance individuelle, dans laquelle notre personnalité, avec ses traits distincts et ses souvenirs, serait conservée.

« Par-delà la mort du corps, notre métaconscience crée une forme de survivance psychique propre à chacun d’entre nous. Elle est ce petit bout d’âme qui nous appartient et qui se fond dans l’âme globale du monde pour l’éternité…

Avec tout mon Amour !


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Yvan Poirier

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