Est-ce que tu sens en toi l’être de ton être ? Ceci est le sens à suivre et donc la question à se poser pour savoir si tu restes ancré dans la réalité de ton être ou dans la réalité de ton personnage. Ces deux dimensions sont l’espace de l’expérience de ta propre conscience.
Je sais que la réalité de l’être de ton être ne t’est pas encore accessible, cependant tu as la capacité de pouvoir t’y ouvrir à nouveau. C’est là, la direction de ce qui pourra t’aider, peu importe là où tu te crois te trouver. Regarde bien ce qui est écrit ici, c’est comme des panneaux de direction afin de t’aider à te montrer comment tu peux réaccéder à ta dimension originelle.
Sans l’ancrage à cette dimension source, tu te laisseras illusionner constamment dans des réalités sans cesse toujours plus éphémères. Ces mots sont comme une ancre qui apparaît à ton esprit afin que tu puisses expérimenter cette dimension à nouveau et recevoir alors tout le savoir essentiel pour te sortir du piège dans lequel tu es sans cesse renfermée.
Regarde bien cette ancre et voie aussi comment tu peux l’utiliser. Alors ensuite, utilises le sans cesse pour savoir où tu te trouves. Tant que tu ne pourras différencier dans quel champ tu œuvres, tu ne pourras jamais en sortir. Comprend bien cela : tant que tu ne pourras pas différencier dans quel champ tu œuvres, tu ne pourras réellement jamais pouvoir t’en sortir.
Est-ce que tu sens en toi l’être de ton être ? Ta tête va répondre en premier et là, tu sauras que tu te trouves sans cesse dans un aquarium mental. Dans ce champ mental, ta conscience y reste constamment circonscrite. Tant que tu n’arrives pas à prendre conscience qu’il existe, au-delà de ce bocal, d’autres réalités, tu resteras alors enfermé toute ta vie dans cet aquarium abyssal.
Tu as besoin d’apprendre à te laisser être, juste pour voir ce que cela fait. Toute ta vie, tu t’es laissé faire ou du moins tu as laissé faire le personnage en toi. Ce personnage est ancré exclusivement dans la dimension mentale et pour cela, il ne peut ni savoir ni comprendre ce qui est en dehors.
Mais comme tu n’es pas ce personnage, puisque tu es pure conscience, sans forme parce que sans limites, tu peux faire l’expérience de toutes les dimensions de l’être de ton être. Ton personnage est ce qui t’ancre dans la dimension mentale. Il est important de pouvoir t’en désidentifier afin de le dépasser pour retrouver, finalement, tout l’espace de ta conscience qui te permettra alors de pouvoir expérimenter toutes les autres dimensions de ton être.
La structure de ton personnage est basée exclusivement sur des croyances qui sont alimentées par un flux de pensées incessant. Donc, pour t’ouvrir à la réalité de ta conscience, tu as besoin de percevoir cette structure afin d’apprendre à pouvoir la dépasser. Quand tu penses, tu œuvres dans la réalité mentale et quand tu ne penses pas, tu œuvres hors de cet aquarium.
Qu’est-ce qui, dans ta vie, peut te permettre de ne pas penser ? Cette question peut t’aider à trouver des moyens et des astuces afin de pouvoir commencer une expérimentation de ta vie non mentale. Il est important de pouvoir différencier l’expérimentation mentale de l’expérimentation non mentale, car elle permet une prise de conscience de là où l’être est focalisé et donc branché.
Notre conscience ici-bas est très limitée et pour cela, quand on le comprend, cela peut nous aider à nous ouvrir à une expérimentation non mentale. Nous avons fini tous par vivre exclusivement dans une expérimentation mentale, puisque nous pensons sans cesse tout au long de nos journées.
Tout ce que nous faisons se base sur ce que nous pensons et donc sur ce que nous croyons. Tant que nous restons ancrés dans le flux de nos pensées, nous sommes branchés à travers la structure de nos croyances dans la dimension mentale.
Notre conscience ne peut se focaliser que sur une dimension. Elle n’est pas en capacité pour l’instant de s’ouvrir à différentes dimensions. C’est une des raisons pour lesquelles nous sommes cloisonnés au mental, mais cela peut devenir une chance, quand on le comprend, de pouvoir s’ouvrir à une autre expérimentation que le mental.
Il est ainsi important de voir que l’on peut accéder à d’autres dimensions en faisant des choses très simples. Quand, par exemple, on focalise notre attention sur la respiration et sur ce qui se passe dans notre corps, nous nous ouvrons à une expérience non mentale puisque la sensation de notre corps nous branche sur la dimension énergétique de l’être.
Ainsi, dans cette focalisation du corps, notre conscience sort de la dimension mentale et s’ouvre à l’expérience de la dimension énergétique. Plus on se focalisera sur ce que l’on ressent et plus notre fréquence vibratoire va s’agrandir. Nous ressentirons alors l’énergie de notre corps s’expansée, nous procurant alors des sensations et des émotions de plus en plus bénéfiques.
A force d’expérimentation, dans cet état d’ouverture non mentale dans lequel je me laisse totalement faire, je m’ouvre toujours plus profondément à l’être de mon être et je sens, naturellement, toutes les ondes, les vibrations qui s’expriment dans mon corps.
Je me mets au diapason de mon corps physique pour m’ouvrir et faire l’expérience de mon corps énergétique qui s’exprime à travers lui. Et plus je le laisse s’exprimer à travers mon ouverture et ma présence, et plus il m’amène sur un chemin de sensation qui est en réalité un cheminement énergétique.
L’expérimentation non mentale deviendra peu à peu la base de ce nouveau monde tant entendu. C’est à travers cette expérimentation non banale que l’on peut se libérer soi-même de tous les pièges et stratagèmes infernaux issus de la dimension mentale et donc astrale.
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