Par Peter B Meyer
L’énergie illimitée
Une civilisation très avancée, connue aujourd’hui sous le nom de Grande Tartarie, a disparu de nos livres d’histoire il y a moins d’un siècle. Ses vestiges sont encore visibles partout. Cette civilisation maîtrisait des technologies plus avancées que les nôtres aujourd’hui.
Par exemple, leur béton géopolymère était éternel et se renforçait avec le temps. Leurs gigantesques structures de fer et de verre, surmontées de dômes et d’aiguilles métalliques, se retrouvent sur tous les continents.
Combinées au mercure, elles distribuaient gratuitement de l’énergie sans fil tout autour du globe, jusque dans les zones les plus reculées. Leurs tours et leurs stations sont encore utilisées aujourd’hui. Malheureusement, la cabale a « verrouillé » l’énergie gratuite de l’éther et l’a remplacée par la très ancienne technologie des câbles et des fils afin de réaliser de gros bénéfices.
L’histoire raconte que Nikola Tesla a « découvert » la technologie permettant de se connecter à l’éther et de fournir une énergie illimitée à n’importe qui, n’importe où et n’importe quand. Vous pourriez voyager gratuitement en bateau, en voiture ou en avion, simplement en exploitant l’énergie magnétique omniprésente dans la nature.
Cette énergie gratuite, générée par les champs magnétiques autour de la planète Terre, aurait éliminé les émissions de carbone et le réchauffement climatique !
Encore plus intéressant ;
Une personne transcende les limites de son corps sous la forme de champs physiques qui brillent de différentes couleurs et que l’on appelle « l’aura lumineuse ».
En 1939, le scientifique russe Semyon Davidovich Kirlian et sa femme Valentina découvrent une mystérieuse luminescence autour des doigts humains. Ils installent un laboratoire dans leur maison et, pendant vingt-cinq ans, mettent au point un équipement qui leur permet d’observer et de photographier la luminescence vacillante de feuilles de plantes, de points d’acupuncture ou d’articulations des mains et des pieds.
Ils ont découvert que la couronne électrique autour des doigts changeait de couleur et de dimension en fonction de l’état psychologique et émotionnel de l’individu. C’est cette caractéristique de l’aura lumineuse qui a attiré l’attention des chercheurs, donné lieu à une série de publications et rendu les deux inventeurs de Krasnodar célèbres dans le monde entier.
Le nom de Kirlian est indissociable des auras bleues vibrantes et a solidement établi le concept de l’effet Kirlian dans le monde. Malheureusement, après des recherches approfondies et trente brevets d’invention, SD Kirlian lui-même est mort d’une maladie pulmonaire, car il n’avait pas les moyens de se rendre à l’étranger pour se faire soigner.
Au cours des vingt dernières années, les chercheurs ont accumulé une énorme quantité de matériel scientifique sur cet effet. Ils ont découvert un certain nombre de cas intéressants, comme le changement de luminescence des feuilles lorsque des polluants apparaissent dans l’environnement.
Les photographies Kirlian ont été utilisées pour démontrer l’interaction des plantes ; les images montrent clairement comment l’aura d’une plante supprime l’aura d’une autre, comment ses dimensions et sa couleur changent à proximité de la feuille d’une voisine plus active.
Les résultats les plus intéressants et les plus prometteurs concernent évidemment la luminescence de la peau humaine.
En 1961, le couple a réussi à observer et à photographier la peau du corps humain sous l’effet de courants de haute fréquence, montrant que les courants partent d’un point et vont vers un autre. Ils ressemblent à des décharges de type corona et ont des teintes différentes. La couleur et l’intensité de cette luminescence dépendent de l’état psychologique et émotionnel de l’individu. Dans des circonstances normales, le rayonnement est équilibré, alors que, par exemple, lorsqu’il s’agit de résoudre la tâche la plus simple, il se met à bouger intensément.
Les époux Kirlian ont remarqué que lorsqu’ils photographiaient des personnes sur un film couleur, les différentes parties du corps apparaissaient différemment : la région du cœur devenait bleue, les avant-bras verts, les cuisses olivâtres. Les expériences émotionnelles soudaines et les maladies se reflètent également dans la couleur obtenue.
De tous ces faits, les scientifiques ont tiré des conclusions assez importantes :
L’énergie utilisée par l’organisme est émise par des courants de haute fréquence.
Chaque organe, tissu et cellule émet des courants dans un spectre spécifique qui lui est propre dans des conditions naturelles.
En cas de changements soudains et inattendus, le spectre des fréquences se modifie brusquement, un déplacement d’un côté ou de l’autre du spectre peut être observé (selon que l’activité de l’organe rayonnant est activée ou supprimée).
Une personne pleine de force et de santé rayonne de façon nette et régulière, tandis que les perturbations de l’équilibre énergétique ou les processus inflammatoires provoquent des fissures, des trous et des blocages dans le rayonnement.
La future maladie, qui ne s’est pas encore manifestée au niveau du corps physique, se fait connaître par un rayonnement faible, irrégulier et intermittent. Le médecin allemand P. Mandel a créé des modèles basés sur une énorme quantité de données statistiques, qui clarifient la manière dont les différents types de luminescence sont liés à un état physiologique spécifique.
Cette méthode informatisée permet un diagnostic précoce de la maladie et est désormais largement utilisée dans la pratique clinique.
Le professeur KG Korotkov, docteur en sciences techniques, commente :
« Les caractéristiques enregistrées déterminent non seulement l’état du corps physique, mais aussi et surtout l’état de l’ensemble des informations énergétiques. La structure du rayonnement Kirlian des doigts reflète un large spectre de ses particularités énergétiques, psychologiques et émotionnelles. L’apparition d’une nouvelle génération d’appareils informatiques de type Kirlian a ouvert la possibilité de « pénétrer beaucoup plus profondément dans le mystère de l’être humain ».
L’éclat ne provient pas seulement de l’enveloppe extérieure, les anciens sages indiens savaient déjà que chaque organe brille, de même que chaque goutte de sang, et que dans le cœur, il y a un point qui commence à vivre en premier et qui meurt en dernier. Ce point brille d’une petite flamme violette.
En 1981, le scientifique soviétique PJ Yegorov a utilisé des sondes photo à haute fréquence pour photographier l’aura des organes internes d’une personne.
Le professeur KG Korotkov a perfectionné les instruments de Kirlian en numérisant l’appareil et en développant une nouvelle méthode de recherche appelée visualisation des décharges électriques dans le gaz. Il a réussi à créer un appareil capable d’afficher l’aura humaine dans son intégralité.
« La nature complexe des images visualisées, c’est-à-dire la nature multicouche des informations qu’elles contiennent, permet de relier ces images aux idées concernant l’aura humaine en tant que carte la plus générale de la distribution des champs d’un objet biologique dans l’espace ».
L’appareil de Korotkov a été utilisé par le groupe du professeur de médecine E. Muldashev lors d’une des expéditions dans l’Himalaya. En 1999, un article intitulé « Pourquoi les yogis vivent-ils des centaines d’années ? » a été publié, et deux photographies de l’aura du professeur Muldashev ont été prises à l’aide de l’appareil de Korotkov.
Dans la littérature ésotérique et occulte, on trouve très souvent des images de l’aura humaine telle qu’elle est perçue par certaines personnalités dotées de pouvoirs psychiques. La correspondance parfaite entre l’aura dessinée et l’image de la photographie est littéralement choquante.
L’effet Kirlian a prouvé de manière irréfutable l’existence d’une lueur intérieure invisible de l’individu, qui réside sous la surface de son enveloppe physique.
Dans son livre Sensibilova – Myth or Reality, AN Perevozchikov affirme ce qui suit :
« Des recherches récentes ont montré que les champs physiques d’une personne, situés dans l’espace et le temps, présentent des nuances de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, grâce auxquelles ils peuvent fournir des informations sur les processus biochimiques d’un organisme donné.
Par conséquent, une personne transcende les limites de son corps sous la forme de champs physiques qui brillent de différentes couleurs ».
Le docteur en philologie AK Manějev, dans sa publication intitulée « Analyse philosophique des contradictions scientifiques », décrit la différence entre la physiologie et le psychisme de l’organisme humain comme suit :
« La physiologie représente des structures fonctionnelles qui peuvent être fondamentalement épuisées comme un système de processus physiochimiques qui se déroulent en présence d’un biochamp ; la psyché comprend les fonctions d’un autre niveau de l’organisme, c’est-à-dire les tâches du niveau propre du biochamp, et représente un système de processus non entropiques du plan de réflexion-information. Il ne s’agit donc pas d’un plan physico-chimique ou physiologique ».
Sur la base de tout cela, deux questions se posent :
L’existence d’une forme de vie protéine-noyau est-elle possible sans l’action d’un biochamp (champ d’énergie-information) ?
Un biochamp peut-il exister seul, sans être relié à un corps physique ?
Les chercheurs ont mené une série d’expériences pour répondre à la première question.
Selon les conclusions de PP Garyaev, membre de l’Académie russe des sciences médicales et techniques, des aberrations chromosomiques se sont produites dans des embryons isolés, des molécules héréditaires ont été déformées et désintégrées, le développement a été empêché et les organismes sont morts.
Des poussins et des souris d’un jour, que les chercheurs ont placés dans des cages spéciales blindées qui ne pénètrent pas le champ externe, indépendamment de conditions de vie optimales, sont morts en l’espace de quelques jours. Leurs organismes ne pouvaient pas se développer sans l’influence du champ d’énergie et d’information de la Terre.
Des expériences similaires avec des chambres hypo-magnétiques ont été menées par des chercheurs dirigés par VP Kaznacheev, membre de l’Académie russe des sciences médicales et de l’Académie russe des sciences naturelles.
Sur la base de recherches approfondies, les scientifiques sont parvenus à la conclusion suivante :
« La forme de vie protéine-noyau ne peut exister sans un environnement électromagnétique normal.
Cet essai nous rappelle tout ce qui est déjà disponible pour une vie saine !
English version : https://eraoflight.com/
Traduit et partagé par la Presse Galactique
