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COMME LES DISQUES DURS, DE TEMPS EN TEMPS IL FAUT FAIRE UN RESETCOMME LES DISQUES DURS, DE TEMPS EN TEMPS IL FAUT FAIRE UN RESETCOMME LES DISQUES DURS, DE TEMPS EN TEMPS IL FAUT FAIRE UN RESET

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron.

La fraternité l’a toujours dit, elle marche dans la joie d’accompagner. Leur regard, leur vie, est la norme. L’humanité l’a toujours su, les maîtres l’ont toujours dit, alors qu’attend-t-elle ? Il ne s’agit pas d’améliorer, il s’agit de transfigurer. La vie divine a des critères totalement autres, à découvrir, à écouter, à entendre, comme on découvre un bébé divin.

Il faudrait que l’humanité ose enterrer son histoire, qu’elle soit celle des sociétés ou des individus, pour écouter, embrasser, honorer la seule histoire, celle du Divin. Cela veut dire effacer les modes préétablis. Comme les disques durs, de temps en temps il faut faire un reset.

La base, vous l’avez compris, encore et toujours est d’intensifier la présence, de prendre comme bâton de marche, la splendeur de son essence, en la découvrant éternellement de nouveau, tout comme l’on découvre la beauté d’un bébé nouveau-né.

Ne pas s’enfermer. Ne pas enfermer l’innocence de l’essence, dans le fait de croire savoir. L’on ne sait jamais. L’on ne connaît jamais. L’on est l’insaisissable qui toujours s’autodépasse. L’on ne connaît jamais et pourtant on suit cette image si claire de la divinité, parce qu’au-delà de savoir ou de connaître, l’humanité entend dans le battement de son propre cœur, le cœur cosmique de l’humain divin, ce cœur qui résonne au même rythme que celui des Elohims, du Grand Créateur, des Êtres cosmiques, parce que seul est Cela.

Le mental ne peut appréhender. En intensifiant la présence, l’on choisit d’enterrer le monde mental pour embrasser la vie divine. Cela ne peut se faire selon des critères mentaux.

La base reste d’intensifier la présence encore et toujours. Accepter d’être écoute, écoute de la beauté. La solliciter partout. La rencontrer partout, cette beauté qui transcende la dualité. Le moteur est la passion d’être le dévot, la dévote, car la maîtrise a sa base dans la dévotion, cette dévotion qui est l’incarnation. Non un sentiment, l’incarnation.

 

Auteur : Agnès Bos-Masseron

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