contribuer2

Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron

Nous l’avons dit et le redisons, les clefs sont l’union de l’attention, de l’intention et de l’amour. Beaucoup cherchent des raccourcis, des techniques, des magies peut-être, les clefs sont l’union de l’attention, de l’intention et de l’amour.

[widget id= »custom_html-12″]

Nous l’avons dit et le redisons, la base reste l’intensité de la présence, et l’intensité de la présence a sa source dans l’inévitable de Je Suis l’amour que Je Suis… Le souffle vous aide et le souffle est l’amour.

Vous le savez, vous ne pouvez mettre vos pieds dans deux barques à la fois. Choisissez-vous la barque des habitudes de dispersion, des habitudes de jugement, des habitudes d’indolence ? Ou choisissez-vous la barque de la joie, la barque de la vie ? Cette barque est construite à partir de détermination, d’ouverture à la pleine présence.

Comprenez-le encore une fois, il ne s’agit pas d’une personne qui voudrait s’appliquer à être présente ou à s’extirper d’une apparente réalité qui semblerait coller. Rien ne colle à l’amour. L’on peut choisir de suivre les errances des créations de ses propres histoires, l’on peut choisir de s’apitoyer sur le poids de l’hérédité, du collectif, de la société ou de quoi d’autre encore… L’on peut choisir de se démarquer.

Se démarquer implique sortir de la ligne du temps linéaire pour retrouver l’évidence de la simultanéité du temps. Tout est là maintenant, le passé et le futur générés par l’attention maintenant. Nous vous ramenons l’art de l’attention, l’art de rassembler son énergie, l’art d’être écoute.

Encore une fois, quitter la cage de l’identification à la personne car la personne, comprenez-vous, n’est qu’identification. Sortez l’identification, la personne laisse place à l’Être unique, l’Être exprimé de façon unique à travers l’essence de l’individualisation.

Et naturellement, inhérente à cette essence est la détermination, maintenant. La détermination n’est point crispation, la détermination est le choix conscient maintenant de sortir des fausses identifications et des grandes illusions.

[widget id= »custom_html-12″]

Il vous a été dit quelles sont les grandes illusions, vous le savez. Le temps, l’espace, le déterminisme et la souffrance, les grandes illusions. Le jeu des illusions est de paraître bien réelles.

Comprenez, le réel est construit d’identifications. Vous identifiez-vous pleinement au vénérable silence, à cette flamme d’amour et de dévotion qu’est la pure transparence de l’Être qui s’offre éternellement à son au-delà ? Voyez-vous le réel se manifester à l’image de votre identification, cela jusque dans la structure corporelle ?

L’humain cherche à retrouver sa mémoire d’être immortel, il suffit d’offrir la totalité de l’attention à l’immortalité pour qu’elle s’inscrive dans la structure corporelle, non par désir d’une personne égotique mais par la simple nature de la conscience qui se sait immortelle. Il ne peut en être autrement, n’est-ce pas ? Le temps n’est qu’une illusion. L’espace n’est qu’une illusion. Le déterminisme n’est qu’une illusion. La souffrance n’est qu’une illusion.

Alors bien sûr, l’humain va dire « mon ressenti est autre ». Quitter l’esclavage au ressenti. Le ressenti, comprenez-le, n’est pas la donne initiale, il n’est que la conséquence de l’attention…

Vous le savez, sur les plans simultanés, il est un plan qui semble régi par la loi de cause et d’effet. Il est un plan qui n’est régi que par l’infinie liberté d’être créateur de sa réalité. Ce plan est le plan de l’être humain.

Les laxistes aimeraient bien quelque méthode simple et clairement expliquée, quelques points clairs. Nous donnons quelques points clairs, pas forcément ceux qui répondent à l’appel du laxisme. Intensifier l’attention…

Comprenez-le, nous jouons là sur deux plans simultanément car nous vous honorons, chaque être humain, nous vous honorons dans votre divinité et dans cette multidimensionnalité du fait que chaque être est déjà l’être cosmique et ascensionné qu’il ou elle aspire à devenir. Nous honorons cela, et grande est la joie de la fraternité qui se réunit dans ce partage de divinité.

Simultanément nous redonnons les clefs pour que l’humain se souvienne de sa propre divinité. Là, nous disons et redisons et redisons avec joie et gratitude pour cet Être éternel qui se reflète dans ces milliers de formes et ces milliers d’expressions, exprimant à travers chacune des formes la gloire du divin.

Source: http://anandamath.org

[widget id= »custom_html-12″]