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Suite de la partie 1…

Selon Pastor

Que faire avec cette réalité, puisqu’elle existe depuis si longtemps et ne peut être abolie en un seul jour ?

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C’est une réalité dont nous sommes conscients. Il faut en tirer un certain positif, y voir en tout cas le moindre mal et essayer de changer la chose pour qu’elle soit utile, comme mettre une semelle à un boiteux pour rectifier son pied, et qu’ainsi, sa démarche ne soit plus boiteuse.

Ayez, face à l’argent, le même comportement que vous auriez face à vous-même, et vous serez sûr de bien vivre l’argent ou de bien le gérer. Que feriez-vous de votre propre sang, que feriez-vous de votre propre langue, de votre propre foi. Si vous respectez toute chose comme étant vous-même, automatiquement même si la chose n’a pas de réalité cosmique, elle ne sera pas un crime face aux réalités cosmiques.

Mais pour déclencher ce respect, il faut savoir ce qu’est se respecter. Car beaucoup d’hommes maltraitent les valeurs, même artificielles, comme celles de l’argent ou de la puissance, la politique ou l’économie, simplement parce qu’ils ne connaissent pas ce qu’est le respect. C’est un des grands points où je voudrais éduquer l’homme s’il accepte de m’entendre.

Le respect : le respect de tout, que ce soit le respect d’une pièce d’un sou, le respect d’un fruit qui pousse, le respect de soi, de la façon dont il se donne aux autres, dont il se traite, dont il pense, dont il se nourrit, le respect dans tous les aspects de la vie. Or, la preuve est faite que l’homme ne se respecte pas lui-même.

Ce ne sont pas les valeurs qui sont à remettre en cause, même si elles sont artificielles, c’est plutôt le genre humain. Ce qui fait qu’en parlant de l’argent, il n’est pas nécessaire d’analyser ce qu’est l’argent, puisque pour nous cela n’a aucune réalité et n’en a que pour vous dans le système social. Il faut analyser ce qu’est l’être humain, ce que fait l’être humain de lui-même et immédiatement vous saurez comment vivre les valeurs artificielles de la société.
Tant que l’homme n’a pas découvert des valeurs, je dirais supérieures, dans un champ de conscience beaucoup plus haut que la majorité des autres préoccupations, il ne saura pas vivre toutes les autres valeurs. Mais dès qu’il aura découvert ce champ de conscience supérieure, il saura vivre même la relation avec la mort, ou avec le fait de devoir tuer certaines fois, de devoir abattre une forêt pour faire des maisons ou faire du feu pendant tout l’hiver. Car il est un fait, et on ne le soupçonne pas souvent, qu’abattre une forêt puisse représenter un crime. Mais suivant comment l’esprit de l’homme accomplit la chose, le geste reste un crime ou devient un geste d’abondance que la nature fait à son enfant qu’est l’homme. Tout dépend donc comment on approche les lois de la terre et les lois sociales.

La société devrait être une projection plus dense des lois de la nature. Or que se passe-t-il ?

La société est au contraire une cristallisation des lois de la nature, et c’est pour cela que la société meurt, parce que la nature ne peut pas envoyer ses influx nourriciers. Lorsqu’une société est constituée de manière à ne représenter aucune densification des principes même de la nature, alors la nature peut continuer à envoyer ses flux et elle peut faire de cette civilisation, une civilisation éternelle, donc parfaite.

Au contraire, si la société se cristallise, comme elle se cristallise pratiquement chaque fois, ou du moins tant que l’homme ne sera pas dans des états de conscience supérieure, comme il devra les atteindre plus tard, la terre ne pouvant pas pénétrer ce noyau, le laisse mourir et récupère l’enfant qu’est l’homme.
Chaque fois qu’il y a chute d’une société, de ses artifices, de ses valeurs, donc chaque fois qu’une tour est démolie, la nature reprend son enfant et l’envoie redevenir berger, redevenir jardinier, ne dépendre que des fruits de la terre et ne s’intéresser qu’à la vie des saisons et de la culture.
Chaque fois que l’enfant s’éloigne trop de la mère, la mère le laisse fuir parce qu’elle ne peut pas faire autrement, mais lorsqu’il tombe, elle vient le récupérer. C’est ce qui se passe à chaque cycle, et ceci se passera tant que l’homme n’aura pas compris qu’il doit vivre d’abord en rapport harmonieux avec les énergies de la terre, qu’il doit se nourrir à la terre, et non pas se nourrir de ses propres productions. Je n’ai pas peur de le dire.

Que fait l’homme dans son imbécillité magistrale et dans son orgueil ?

Il s’imagine que ce sont ses productions qui le nourrissent. Il se dit : « Si je ne travaille pas la terre, je n’aurai pas de fruit. Si je ne fais pas tel ou tel travail, je n’aurai pas l’argent, je n’aurai pas les relations nécessaires, je n’aurai pas ceci, je n’aurai pas cela. » C’est toujours : « si moi je ne fais pas. »

La loi cosmique n’a pas été créée de cette manière.
Le principal travail de l’homme n’est pas de gagner son pain, de remplir son estomac. Quelle évolution cela représente-t-il je vous le demande ? Quel est l’intérêt que Dieu crée les hommes afin qu’ils passent leurs jours à remplir leur estomac ?
Tout a été créé pour que chaque forme puisse recevoir pleinement les esprits, et qu’à travers cette forme, l’esprit puisse pleinement se révéler et se manifester. La terre est prévue pour cela, donc pour nourrir son enfant avec abondance et dans tous ses besoins, et l’homme n’a ensuite qu’à transformer.

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Mais voilà que se passe-t-il ?
L’homme devenant fou, devenant aveugle, ne voit pas qu’il marche sur un sol qui n’attend que la graine de sa pensée pour donner du fruit. Alors forcément, il est obligé d’aller prendre une graine bien physique, venant d’une véritable plante, de la semer, et attendre que la pluie veuille bien venir l’arroser, que le soleil veuille bien venir la faire mûrir, parce qu’en plus, sans ces deux actions, il n’y a pas possibilité d’obtenir un fruit.

Alors l’homme commence à dépendre en plus, et ceci à cause de sa folie, des impondérables des saisons, donc des caprices des esprits, qui vivent dans les nuages, pouvant apporter la sécheresse ou la pluie, qui sont dans la terre, car le sol lui-même est régénéré et sert de corps à une multitude d’esprits appelés gnomes.

De la même manière qu’un homme peut être capricieux, si ces gnomes, pour des raisons X, ne veulent plus s’occuper du sol, le sol devient aride, et n’est plus fertile. Que l’homme sache diriger d’abord son esprit, donc sa semence, et il pourra ainsi diriger les esprits de la nature. C’est aux esprits de la nature de cultiver la terre, et ceci depuis toute éternité. Mais l’homme n’étant pas encore un Roi, le chaos existe et personne n’a pris sa place dans la hiérarchie de la création. Les gnomes régénèrent tout au plus. Or il a été dit dans la Bible que vous devez devenir des Rois qui commandent à toute chose sur la terre.

Pourquoi ce verset-là vous a-t-il été donné ?

Réfléchissez à cette vérité. Est-ce que Dieu vous a donné le pouvoir sur toute chose de la terre simplement pour que vous ayez le bonheur d’être puissant ?

Dieu ou tout simplement la conscience cosmique, le créateur, ne donne jamais quelque chose sans raison, gratuitement ou pour la beauté du geste. Jamais. Tout est équilibre dans le cosmos, donc tout a une raison profonde.

Pourquoi l’homme doit-il être un Roi sur chaque chose, régner sur tous les animaux, sur tous les éléments, sur l’eau, le feu, la terre, l’air ?

Dans son habitacle qu’est la terre, et non pas le petit deux pièces qu’il habite, il doit pouvoir ordonner à tout ce monde invisible de travailler pour lui. Il a une chose beaucoup plus sainte à effectuer que le labour ou le crépi des maisons, il a sa réalisation spirituelle à effectuer.

Alors vous voyez dans quel décalage vit l’humanité, lorsque l’on pense que des gens pendant des vies et des vies n’ont de souci que pour le cours de la bourse, ou la valeur du lingot d’or, ou pour extraire des pierres précieuses dans les mines. Ce n’est pas un reproche que je vous fais. C’est tout simplement pour montrer le décalage qui existe et où doit tendre l’humanité.
Ce n’est pas une remise en cause de la société telle qu’elle est aujourd’hui, car si elle est comme cela aujourd’hui, c’est parce que l’humanité vient d’un certain germe et que l’humanité ne peut pas être parfaite du jour au lendemain. Les cycles sont là pour effectuer la perfection.

Ce qu’il faut donc, c’est connaître la destinée et les forces de cette destinée, et que chaque individu, à l’intérieur des exigences sociales d’aujourd’hui et des exigences du plan d’évolution, puisse trouver petit à petit la réalité, même s’il est encore victime de certains artifices, mais il ne doit pas en être dupe. Car utiliser certaines énergies artificielles, comme la puissance, l’argent, la politique, la finance, le commerce, n’est pas un péché comme on pourrait le croire, mais il ne faut pas être dupe de la chose. C’est là où l’artifice devient un obstacle à la réalisation de l’esprit.

Donc, comme je vous l’ai dit tout à l’heure, lorsque vous avez à faire à des vérités artificielles, mais qui sont vérités quand même, parce qu’elles font partie de la vie sociale, donc de l’institution, il faut que l’individu considère la chose comme son propre être, que cela déclenche en lui le respect.

Donc, vis-à-vis de l’argent que faut-il avoir comme première réaction ?

Le respect. Ce qui ne veut pas dire que vous ne devez pas toucher à l’argent, que vous ne devez pas monnayer l’argent, et que vous ne devez pas spéculer avec l’argent. Non, ce n’est pas un interdit. Si vous le faites dans un esprit correct, je ne veux pas parler d’honnêteté car tout de suite l’homme va déclencher des concepts qui ne sont pas faux, mais qui ne sont pas ceux que je voudrais éveiller. Le respect est la meilleure appréciation que vous pouvez faire, et ainsi toutes les valeurs vont reprendre leur place. Quand vous êtes en communication, avec respect avec un autre individu, la communication va immédiatement avoir lieu.

Cela veut dire quoi ?

Cela veut dire que vis-à-vis de l’autre vous allez être tolérants, à l’écoute, attentifs. Vous allez avoir de la compassion, mais aussi en même temps de la justice, parce que s’il engendre une erreur, vous allez pouvoir la lui montrer. Le respect est un regard neutre. L’important, c’est la neutralité, et vis-à-vis de l’argent, c’est ce qui manque justement.

Un individu est souvent prisonnier du mirage de l’argent, de la griserie, de la puissance ou tout simplement de la sécurité que cela apporte. Beaucoup d’individus y voient une sécurité, plus que de la puissance. Certains ne se sentent jamais assez sécurisés.
Le besoin qu’ont les hommes de sécurité est un grave problème sur la terre. La peur intérieure les fait agir au-delà de ce que leurs défauts les conduiraient à faire. Rien ne fait plus peur que le lendemain, de ne pas savoir de quoi vivre, se chauffer, manger. C’est pour cela que l’argent a pris une telle importance, et qu’il est le centre de tant de soucis dans la vie de la société, dans la vie de chacun. C’est parce que chacun a cet instinct de survie, « de quoi vais-je vivre » ?

Votre interrogation est normale et je ne vais pas vous répondre comme il est écrit dans le livre, « Mais qu’importe, regarde, les oiseaux sont nourris par le père, ils ne se soucient pas de demain. » Car si cela est vrai pour une certaine espèce d’individus ayant un certain rayonnement, cela n’est pas vrai, pour la majorité de l’humanité, qui justement ne peut pas déclencher ce rayonnement, donc faire germer une graine qui ne se trouve qu’à l’état éthérique, puis la transporter dans le sol physique de terre afin qu’elle donne un fruit parfaitement physique.

Donc, ce qu’il faut, avant tout, c’est remettre les choses à leur place, déjà sur un plan psychologique. C’est pour cela que je ne peux pas parler de l’argent comme étant une vulgaire monnaie, car cela met en jeu tous les rapports sociaux et toute la nature humaine.

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Je pourrai vous demander pourquoi l’argent existe ?
Si vous voulez savoir comment l’utiliser, demandez-vous pourquoi il existe et vous connaîtrez mieux sa nature et en même temps vous connaîtrez mieux la faiblesse humaine, et si vous connaissez les faiblesses humaines qui ont donné lieu à l’argent, vous saurez immédiatement de quoi vous devez vous méfier dans votre démarche à propos de l’argent, et jusqu’où vous pouvez négocier avec l’argent. Donc, si vous voulez avoir une relation claire avec l’argent, premier réflexe, le respect.

Second réflexe, éliminer la peur du lendemain qui est en vous, sinon vous ne pourrez pas avoir de respect pour l’argent. Même si vous le respectez de manière mentale en vous disant, je ne ferai jamais de choses malhonnêtes, ce qui est très bien, vous aurez malgré tout une démarche viciée ou parasitée, parce que vous allez sentir que vous avez besoin d’argent à cause de la peur du lendemain.
Il ne s’agit pas de vous mettre un bandeau sur les yeux et vous dire, qu’importe ce que sera demain, Dieu m’aidera, les anges y pourvoiront. Je ne suis pas partisan de cette thèse. C’est au contraire un véritable travail alchimique, un véritable effort énergétique que je vous demande de faire, et ce n’est pas de l’insouciance. Demandez-vous : Pourquoi ai-je peur du lendemain ? Pourquoi ai-je peur de cette survie qui m’est nécessaire ?

En analysant et en descendant tout au fond de cette peur, jusqu’à sa racine, à l’instant où elle jaillit pour en découvrir sa noirceur, vous verrez que ce n’est pas la peur du lendemain qui nécessite votre besoin d’argent, votre besoin de confort, votre besoin de trouver un compagnon, une compagne, d’être aimé. Vous serez étonnés de rencontrer le non-être que vous êtes.

C’est en descendant profondément dans cette peur, qui est significative de la partie inconsciente de l’individu, que cette partie peut à tout moment devenir consciente, lorsque l’individu en fait l’effort. Et ainsi pour quelqu’un qui est la présence, donc pour quelqu’un qui a un alignement avec l’âme et qui fait rayonner l’âme, la peur n’existe pas. Elle n’existe pas, non pas parce qu’étant inondé des sphères divines il n’a pas peur de ne pas manger, il n’a pas peur d’avoir froid, de dormir dehors. Mais la réalité veut que, lorsqu’un individu est à ce point immergé dans son rayonnement, l’homme ne manque de rien. Cela ne veut pas dire qu’il vivra au crochet de quelqu’un. Cela veut simplement dire que la terre, la mère, va donner spontanément ce qu’il faut à son fils.

Là, intervient une troisième notion :
Quels sont les véritables besoins de l’homme ?

Est-ce le fait d’avoir des éléments électroniques, une voiture, un chauffage qui marche avec de l’énergie à transformer, des vêtements d’un tel ou de telle mode, de telle qualité ? Est-ce que ce sont ces besoins-là qui comptent ?
Vous allez me dire : « Cela fait partie de la nécessité. Le simple fait d’être en hiver nécessite qu’il y ait des manteaux. » C’est vrai.
Quand l’homme se sera aligné comme je vous en ai parlé au début, quand l’homme aura fait alliance aussi bien avec sa mère qu’avec son père, (ce que je regrette que l’on taise, on ne parle pas beaucoup de la mère des hommes pour ne parler que du père des hommes), il s’apercevra que sur la terre le printemps sera éternel, comme dans ces pays qui bénéficient d’un climat propice où les fruits viennent à longueur d’année, et une monnaie d’échange pourra même exister.

C’est certain, il faut du respect entre les hommes. Un travail mérite un autre travail, et comme on ne peut pas toujours se payer, se rembourser en tant que notion de travail, il est normal qu’il existe un moyen terme qui peut être une notion telle que l’argent.

Une société ne doit pas nécessairement retourner à l’état de la nature. Une société peut être poussée très loin techniquement, très loin dans tout ce qui est électronique, scientifique, mais sans pour cela qu’elle soit une société artificielle comme elle l’est à l’heure actuelle.
À l’heure actuelle la société n’est ni à l’état de la nature, ni a l’état de la science, puisque la science ne fait que ses premiers pas. Et c’est son problème justement, c’est sa grande transition à l’heure actuelle. Si en allant très loin dans la science, la société redécouvre avec une grande énergie sa relation avec la nature, alors elle va comprendre ce que sont les relations telles que l’argent et la puissance.

C’est à ce monde idyllique auquel on croit tous. Le monde parfait de l’âge d’or, où les initiés dirigeront les choses, bien qu’ils ne soient pas là pour diriger. L’initié n’est là que pour garder, car comme je le dis souvent, nous ne considérons ni le maître, ni l’initié, comme quelqu’un qui dirige l’homme, mais comme quelqu’un qui veille, qui éduque et qui prend soin de l’homme.

À l’intérieur de cette cité parfaite, l’initié ne sera que le gardien de la perfection, et l’homme qui aura parfaitement compris sa place d’après son rayon, sa spécialité énergétique, fera une parfaite fusion avec une des énergies cosmiques qu’il représente et une des énergies de terre qu’il représente aussi. Et ainsi, l’homme ayant uni les deux, étant donc la synthèse et l’intermédiaire, soit un pont dans la création, il va permettre à tout ce qui vient de la matière, à toutes les fréquences issues de la matière, de continuer leur évolution dans le monde invisible, soit le monde athmique.

L’homme est un chaînon entre la matière et le monde athmique, entre la matière et Dieu. Tous les atomes qui composent la matière et qui ensuite par cycle deviennent différents aspects de l’évolution, différentes manifestations, arrivent un jour au stade de l’être humain. Mais l’être humain n’est pas le summum de la création et de la transition de la création. L’homme n’est véritablement qu’un transit de la fréquence, qui vient depuis l’atome, jusqu’au soi supérieur. Et c’est pour cela que l’homme doit apprendre à vivre aussi bien avec la mère qu’avec le père, car il vient de la mère et a été un de ses atomes à l’origine.

À l’origine de l’univers il n’était que cela, un atome qui vibrait dans le ventre d’un volcan, ou dans le souffle des nuages. Et puis petit à petit, sa conscience s’étant développée, il a pu devenir, sous la forme physique qu’on lui connaît, un homme, c’est-à-dire une conscience qui peu à peu prend conscience justement.

Son voyage n’est pas terminé et le fait de devenir un maître ne représente pas le terminus de l’évolution d’un homme. Cela n’est qu’un transit. Devenir un maître cela ne représente qu’un pas et le premier, le premier dans la vie athmique. Là, cet atome de conscience commence sa vie cosmique.

L’humain, dans la création, n’est qu’une forme transitoire. Considérez-vous comme des fréquences, comme des sons, comme des atomes de conscience, et si vous vous dépolarisez de l’être humain, vous arrivez très bien à vivre toutes les notions de la vie sociale. Cela ne représentera plus une interrogation pour vous. Vous réajusterez chaque chose, et vous réajustant, la mère qui vous porte, qui vous permet de vivre, vous nourrit.

C’est le fait d’avoir les deux pieds sur le sol, que la terre vous donne un corps éthérique, qu’elle vous donne le rythme cardiaque, car c’est le corps éthérique qui entretien le rythme cardiaque. Ce n’est pas l’âme qui sait que son corps a un cœur qu’elle doit pulser. C’est le corps éthérique qui connaît les fonctions du corps physique et qui entretient chaque organe.

Le corps éthérique est un peu comme la bonne volonté de la terre, qui vient autour de chacun de ses enfants et les enveloppe pour les maintenir. Comme l’amour de votre mère qui crée une protection autour de vous quand vous partez sur le chemin de l’école. L’amour de la mère protège l’enfant et crée une coque autour de lui. De la même manière, lorsque la terre voit un nouveau- né apparaître sur son ventre, elle l’enveloppe de son amour et de sa volonté de vivre, et c’est ce qui crée le corps éthérique dans l’humanité. Que la terre cesse de vouloir donner la vie et d’avoir des enfants, le corps éthérique de l’humanité disparaît et l’homme lui-même meurt parce qu’aucun organe ne peut fonctionner. Le corps est quelque chose de très bête. On le croit intelligent, mais en fait il est très bête, parce que sans le corps éthérique, rien ne peut fonctionner.

Source: http://www.conscienceuniverselle.fr/

Partagé par la Presse Galactique

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