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Par le Passeur. 

Il est temps de parler de ceux qui vont sortir du bois. Mais pour cela revenons d’abord sur la notion de virus humain au sein de la matrice, dont j’ai déjà parlé. Le virus est un être qui pour une majeure partie de ses aspects n’est plus en adhésion à la matrice. Ce qui ne signifie pas qu’il n’est plus en interaction avec elle, mais qu’il en est de plus en plus conscient et n’est plus pour l’essentiel la proie des mécanismes de pensée, de croyance et d’action que la matrice nourrit en lui par le biais des programmes, des implants, des ondes, des ingestions diverses, mais aussi des illusions et des mensonges acquis jusque-là comme vérités.

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La réalité n’est ni une illusion ni une vérité. Elle est ce que nous sommes et que nous avons décidé d’imaginer. Et tout potentiel peut-être à tout moment manifesté et instantanément modifié. Un être devient un virus actif au sein de la matrice lorsqu’il a conscience de la puissance créatrice de son imagination et qu’à partir d’elle il modélise sa réalité dans l’espace-temps ou s’exerce son attention dans sa Présence. Pour cela, il doit avoir aboli les croyances qui le brident, le doute qui l’assaille et la peur qui l’enchaîne.

La déconstruction totale de toutes les croyances est le préalable à l’actualisation du potentiel de maîtrise. Et je dis bien, TOUTES les croyances, même celles, confortables, qui nous paraissent être des ouvertures sur l’ignorance et l’illusion. Car elles ne sont que de nouveaux enfermements et constituent simplement les nouveaux repères auxquels l’être adhère.
Bâtir un nouveau concept de notre condition humaine, aussi libérateur semble-t-il paraître par rapport au concept obsolète que l’on vient d’abandonner, n’est qu’une brique de plus dans la complexité structurelle de la matrice, qui s’en empare aussitôt pour l’intégrer au plan d’ensemble de sa stratégie de contrôle. Il n’y a pas d’issue dans la croyance à un concept, il n’y a d’éclairage que dans la conscience d’une création permanente ne reposant que sur l’auto-expérience illimitée de la Source en chaque particule de Vie. Expérience qui est pleinement la nôtre et pour laquelle il n’y a pas de frontière à l’expression de notre créativité.

Au sein de la matrice pourtant, il y a une limite temporelle due au processus entropique à l’œuvre. Pour le dire autrement, elle a une durée de vie. Durée liée à la complexité exponentielle de la création dont elle a le contrôle mais dont le nombre croissant des interactions finissent toujours à un moment du cycle par dépasser ses capacités d’ajustement. Ce qui la dégrade au point qu’elle crée des anomalies dans sa cohérence et finirait par planter totalement, comme tout ordinateur, si une remise à zéro, un reset, n’était pas effectué par les archontes et consorts qui en ont la maintenance. Nous approchons à grand pas d’une remise à zéro. Et comme au premier niveau d’un jeu vidéo, l’humanité piégée, implantée d’une mémoire conçue pour le nouveau scénario, se retrouvera au début d’une histoire qui s’auto-déterminera au fil du temps en fonction des outils et des connaissances mis à disposition.

Soyons clairs, je vous le dis ainsi, mais pour autant nul n’a besoin de croire en cela, car ce serait une nouvelle croyance sur laquelle très vite pourrait se cristalliser un concept par nature limitatif. Ce sont juste des mots qui portent le potentiel d’une libération en ceci qu’ils ouvrent une brèche au sein des constructions mentales et affectives qui figent l’être dans des boucles cognitives similaires à un disque rayé. Ne l’envisagez pas autrement, n’en faites pas un concept auquel chercher s’il faut ou pas y adhérer, lisez, n’y pensez plus, laissez juste le processus de déconstruction se faire seul en vous, s’il doit se faire, au rythme et à la manière qui vous conviennent.

Au-delà des théâtres croisés de nos scénarisations collectives matricielles, en se frayant un chemin par les brèches, il y a la vraie Lumière. Je ne parle évidemment pas de l’astral, le monde des morts, où rien n’est différent du monde des incarnés, mais qui est pourtant adulé par tant ici-bas qui voient sans discernement dans les manifestations de l’invisible l’expression de l’idée qu’ils se font du divin. L’astral n’est que l’usine de recyclage des âmes et le quartier général des manipulations occultes du monde des incarnés. Et il est présenté et glorifié de telle façon que ses entités sont vénérées, priées et remerciées en permanence pour leurs méfaits pris pour des grâces. Quelle dérision…

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Le déni n’aide pas : ce monde de l’incarnation, sur cette plage de fréquences maintenue artificiellement basse, avec un ADN bridé et un corps littéralement en état de survie malgré son formidable potentiel, est un monde de souffrance et de douleur du Vivant. Mais la souffrance et la douleur n’ont rien de normal. Pourtant j’entends encore dire parfois que c’est aussi grâce à ça qu’on évolue, que c’est finalement un mal pour un bien, etc… Ah bon ? On évolue vers quoi ? Jusqu’où et jusqu’à quand ? Jusqu’au prochain reset où il faudra tout reprendre à zéro, avec l’oubli de ce qui a été mis en conscience et de nouvelles mémoires artificielles implantées ?
Vous qui êtes des virus dans la matrice, n’êtes pas là pour évoluer, vous êtes au-delà de ça, on vous a piégé dans une nasse et on vous a programmé à croire en votre évolution jusque vers un état d’être spirituel qui n’est au mieux qu’une bien pâle et grossière imitation de ce que vous êtes dans votre plénitude, loin de la Maîtrise pourtant à votre portée ici et maintenant. Souffrance et douleur ne sont en rien une fatalité, c’est juste ce pour quoi la matrice a été réorganisée par les archontes afin de les nourrir sous de multiples aspects. C’est aussi ce pourquoi la génétique des humains et des animaux a été reprogrammée par ceux qui en ont décidé ainsi. Il n’y a pas à juger, ils sont la caste d’Enlil et n’ont rien de différents de vous et moi, ils sont l’expression d’une Source qui s’expérimente en toute chose, peut-être parce qu’elle cherche elle-même à définir son identité; le sens métaphysique de cette expansion polymorphe de la Vie, s’il y en a un, nous échappe.

Ici en tout cas, on s’est bien diverti, mais le jeu est fini. Il faut désormais savoir regarder les choses pour ce qu’elles peuvent être, c’est à dire non pas pour ce qu’elles sont, mais pour ce que NOUS sommes. Car c’est cela qui détermine les choses. Sans notre regard rien n’existe, ce que la physique quantique nous a démontré. Et notre regard est le filtre résultant de ce que nous sommes au moment où nous regardons, impactant simultanément le déroulement de notre passé et notre futur, ce que la physique aborde mais n’aura probablement pas le temps de tout à fait démontrer en ce cycle. Nous sommes un seul et même champ de Conscience avec TOUT ce que rencontre notre regard.

Notre regard finalement c’est notre imagination. Il est d’ailleurs révélateur de voir comment l’imagination a été reléguée au rang des inepties, des enfantillages ou du divertissement. Alors que l’imagination est la force primordiale qui nous habite et qui a tout pouvoir sur plusieurs espaces-temps simultanément.

Imaginer et visualiser le fruit de son imagination, c’est une pure création que l’on modélise à des fréquences supérieures et qu’il ne reste, lorsqu’on en a conscience, qu’à actualiser dans la densité des fréquences plus basses où se meuvent nos corps physiques. Ce passage de l’insubstance à la substance peut se faire instantanément, mais la plupart du temps cela reste une modélisation perdue dans les limbes parce que notre inconscience, nos croyances ou nos doutes nous empêchent de les manifester dans le théâtre de Vie que nous scénarisons en continu. C’est pourtant un potentiel présent en chacun de nous, qui ira en se manifestant davantage au fur et à mesure de l’inéluctable entropie matricielle.

Cela prendra forme d’exemples observables qui serviront de catalyseur après la grande phase de destructuration de masse et de perte totale des repères. Phase qui a déjà débuté et va aller en s’intensifiant chaque jour un peu plus, proportionnellement à l’effritement des croyances collectives en vigueur, résultant de l’acquisition de nouvelles informations, dont la puissance de pénétration fréquentielle est le moteur de l’ouverture de la Conscience Cosmique balisant le cadre informel de la nouvelle ère. Ce processus est déjà très actif au sein de l’avant-garde des virus humains.

Ceux-là donc, venus d’origines non humaines ne sont pas là pour évoluer, mais pour se libérer individuellement du piège de l’incarnation et de la réincarnation et contribuer ainsi à une libération collective de plus grande ampleur grâce au niveau d’information injectée dans le champ de conscience unifié, où toute conscience liée à une forme est connectée, intriquée. Cette libération concerne la totalité du Vivant sur cette Terre, et même au-delà.
Les enfants d’Enlil le savent et ne peuvent à présent qu’essayer d’entraîner le plus grand nombre dans leur exode, pendant que leurs serviteurs sentent en eux grandir la peur et jouent leurs va-tout dans le théâtre du monde, essayant de déclencher des déflagrations et de convaincre les humains du bien-fondé de leur prédation.

Voilà où nous en sommes. Comme attendu, l’étau se resserre dans l’apparence du monde. Comme annoncé, la nature du regard que nous porterons sur tout ceci, sans déni de l’existant, dans un engagement vibratoire conscient mais sans engagement émotionnel, fera toute la différence.

Le nombre et la force cette fois ne sont pas du côté du démiurge. Des légions venues des véritables plans de Lumière au-delà de la matrice se sont incarnées, beaucoup ont été décimés de bien des manières, mais de très vieilles âmes géo-maîtrisent et alchimisent la mise en place du puzzle multidimentionnel au-delà des capacités perceptives de la grille matricielle, qui n’aura potentiellement ni le temps ni la puissance de calcul et de manifestation de s’opposer à Ce qui vient.

Cela est déjà structuré sur plusieurs plans et prépare l’ouverture des brèches dans le nôtre le moment venu. Cela se fera de la Terre par la main même des enfants d’Enki, revenus pour cela et présents dans les lieux originels où tout à commencé avec eux, et où sont ancrés depuis des éons les points d’émergence sur lesquels reposent la géométrie fractale de la trame matricielle.

« Le zéro est la plus grande métaphore. L’infini la plus grande analogie. L’existence le plus grand symbole. » Fernando Pessoa.

Fraternellement,

Source: http://www.urantia-gaia.info/

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