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Photo Arwen de La Réault

Première partie : QU’Y AVAIT-IL JUSTE AVANT L’AUBE ?

par Arwen de la Réault

À tous les marcheurs en Lumière,

Le pédalier principal sur lequel les forces involutives ont torsadé leur plan tyrannique n’est autre que la peur. Cette peur informelle et pourtant si compacte, contractée au premier jour d’une vie terrestre !

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Les catholiques intégristes sous l’Inquisition affirmaient que la peur de l’homme n’était autre que la crainte de Dieu. Lorsqu’on a converti le mot Dieu par celui de Lumière, c’est-à-dire Énergie du Flux, Amour, Vie, l’on réalise la pertinence de cette assertion. L’homme dans l’ombre de la matière froide a peur de la Lumière de sa propre Énergie. On lui a appris à redouter l’Amour dont il procède, parce qu’il ne s’en croit plus digne.

C’est pourquoi des Énergies très lumineuses, résidant dans les plus hauts plans de la Conscience universelle, acceptent de se relayer récursivement, de s’immerger là, dans la nuit d’en-bas, afin de contribuer à faire se hisser hors de l’immense et pestilentielle pataugeoire, tous ceux qui tendent la main pour s’en abstraire.

Progressivement, l’être humain cesse de s’évaluer telle une machine-outil, en termes de « plus » ou de « moins ». Ces estimations binaires instaurent les éléments constitutifs de la violence véritable, celle qui frappe partout sans qu’on la reconnaisse. Celle qui glisse en silence, si familière qu’on ne s’en méfie pas. Elle demeure l’anonyme passagère clandestine de vos embarcations de fortune.

L’homme en est arrivé à ne plus savoir départager les notions de positionnement ou de stature, contribuant à étoffer la substance de sa personnalité, de celles qui conduisent à obtenir par le débordement et la force.

Il lui faut réapprendre à être responsable. L’homme s’est éparpillé. Lorsqu’il ne peut plus ni identifier, ni rassembler et unir en lui-même ses talents, il trébuche et sombre dans la brutalité. Celle qui condamne pour condamner, de manière à satisfaire des besoins immédiats, sans que soit calculé le périmètre des retombées en chaîne, consécutives à tant de frénétique irréflexion.

Les individus se heurtent et se percutent comme des autos tamponneuses sur un manège forain.

Plus que jamais l’Énergie secoue le monde pour que des hommes s’élèvent au-dessus de la mêlée : « Ne voyez-vous pas ce qui se profile ? Resterez-vous encore longtemps les bras croisés tandis que vos semblables s’entredéchirent comme des anthropopithèques en colère ? » Message de juin 2017.

Toutefois, ce que nous vivons actuellement synthétise la résurgence des noirceurs que nous avions ensevelies dans la matière humaine. Elles doivent maintenant nous quitter. C’est ce qui advient à présent sous la Puissance des vagues de Lumière qui transforment le monde, parce qu’avant de reconstruire, il faut détruire ce qui n’a plus sa place et bloque l’avènement du Nouveau. Tel est le Principe.

L’homme est encore majoritairement oublieux des devoirs qui l’incombent. Trop peu précautionneux des ressources de sa planète, parce que trop peu averti des dommages qu’il engendre par la dénaturation de son identité intérieure. Les rognures mentales qui en dérivent maculent ses terrains, de méprises et de déloyautés. La tourbe qui s’en dégage les corrompt. De sorte que, quelle que soit la matière dont il veuille les ensemencer ensuite, la récolte se révèle infructueuse ou imparfaite. Ce n’est pas la graine qui est défectueuse, mais le lieu de la pensée qui n’a pas été suffisamment fertilisé.

L’être humain s’imagine qu’il suffit de mettre son passé dans sa poche et son mouchoir par-dessus, pour effacer toute trace des maladresses et autres négligences d’hier.

Il ignore que la Terre est une matrice vivante qui enregistre tout, absolument tout. L’homme est à peine en train de comprendre qu’il saccage sa terre. Il a beau vouloir apprendre davantage escomptant ainsi vivre plus confortablement, il est devenu incontinent de sa propre essence, malgré lui, il souille sa couche.

Quoi qu’il en soit, nous sommes tous appelés à terrasser l’obscurité marquant le début de toute chose, pour aller vers la clarté absolue, le divin Soi en chacun. Nous en sommes tous capables et les premiers libérés montrent joyeusement l’exemple aux plus hésitants, en les étreignant de leur Lumière, pour les encourager à reconnaître en eux ce même joyau.

Cependant, ce palier transitoire désempare autant les uns qu’il suscite l’enthousiasme des autres.

C’est comme si un homme, après une journée habituelle de travail, rentrait chez lui, dans la maison qu’il habite depuis trente ans. Derrière la porte, qu’il ouvre avec ses propres clés, il aperçoit un intérieur qu’il ne connaît pas, où vit une famille totalement ébahie de le voir débarquer au milieu du salon. Des gens qui ne réalisent pas pourquoi l’intrus leur demande ce qu’ils font chez lui, alors qu’eux-mêmes affirment être établis là depuis des lustres !

En pareille mésaventure, n’importe qui serait terrassé d’effroi. L’on se sentirait écartelé, en pleine science-fiction.

Pour un cartésien qui découvre ce qu’est l’Énergie, se produit un peu la même sensation.

Au sortir de la nuit, l’on est confronté à des éléments inédits, présageant de dénouements atypiques, plaçant l’humanité au défi de devoir instaurer des modes novateurs d’élaboration mentale, comportementale et « politique » : des attitudes moins infantiles, moins timorées, moins conservatrices, et surtout beaucoup plus altruistes.

Toutefois, il peut paraître très effrayant de transgresser les lois, les cadres et les limites que l’on s’était fixés. Cela demande du courage pour pouvoir affronter un espace de détachement, de « solitude » et d’autonomie que certains ne sont pas immédiatement prêts à assumer. Il n’est pas toujours facile en effet, de tourner résolument le dos au passé, aux raisonnements et aux réflexes des vibrations inférieures, pour choisir de ne vouloir qu’Aimer et Servir cet Amour en toute chose et par-delà l’Univers !

La finalité consiste pourtant à avoir envie de marcher tous ensemble, sans oublier personne, dans un bel esprit de réelle fraternité (pas celle qui répond aux définitions linéaires telles qu’on les connaît encore), une fraternité inconditionnelle, fondée sur l’expression de la Vérité du Créateur, l’Amour et le respect de toutes les formes de Vie.

L’Amour, le Flux éternel et infini par lequel se manifeste toute chose, réside en le Cœur de chacun. Rien à proprement parler, n’existe à l’extérieur de soi. Tout ce qui vous permet d’être ou d’affirmer quelque chose ne peut procéder que de la Nature divine provisoirement déguisée sous l’apparence d’une structure corporelle. Chaque être a été ensemencé par la Conscience Source, nul n’en est dépourvu ou séparé. C’est pourquoi grâce à l’apport révélateur et à l’intensité de l’Énergie offerte au monde, beaucoup commencent à se souvenir de ce qui leur avait été confisqué : le fait qu’ils portent en eux la Richesse de la Création tout entière. Par conséquent, ils refusent d’abandonner leur magnificence intérieure à la gouvernance fantoche des hiérarchies matricielles, fondées sur l’exploitation malveillante de l’ignorance et de l’abêtissement programmés.

Si donc quelque chose vous manque ou vous insupporte, cela résulte de la manière dont votre mental a interprété la Connaissance qui vous habite, et comment celle-ci s’en est trouvée dénaturée, réduite, affaiblie, au point d’en devenir un outil instinctif d’autodestruction spontanée. Car, il est stricto sensu, impossible de manquer, de souffrir, d’être parasité ou toute autre chose du genre ! Seule la croyance enclose que cela fût possible, seule la ferme croyance en la probabilité d’un risque potentiellement concevable, en manifeste les formes dans la matière.

Cela, parce que vous êtes et appartenez au Tout. Or, le Tout (le Flux, la Source, le Créateur…), est indivisible, non morcelable, non sécable, entièrement relié, connecté, jamais vide, jamais rejetant ! Tous les aspects de ce que vous rencontrez, sont les expressions singulièrement diversifiées d’un seul et même Tout. Nous sommes des éclats individuels du même Tout, entier, non parcellaire, non dissociable, non différentiable, etc. Lorsque vous affirmez que vous souffrez, que vous manquez, que vous doutez, etc., vous reniez l’expression du Tout qui vous caractérise, bien que vous ne puissiez pourtant pas être autre chose que ce avec quoi vous vous prétendez « séparés ». Souffrir c’est reconnaître, admettre une posture de victimisation et s’y soumettre en y stagnant lorsqu’on se croit dans la « séparation ». C’est donc chose impossible pour tous ceux qui se perçoivent dans l’Unité. Dans ce cas, la souffrance peut être passagèrement ressentie, mais elle est toujours amendable et réformable.

Vous disposez donc de tous les éléments innés pour transformer en Lumière, la face non éclairée de cette Lumière (la Lumière étant Une, on ne peut pas définir l’ombre à proprement parler). C’est le but unique de votre incarnation et c’est la raison pour laquelle les énergies obscures se sont tant évertuées à vous interdire la précieuse Connaissance de cette Vérité.

Lorsque vous comprenez et réalisez ceci profondément en vous, les énergies involutives non seulement ne peuvent plus vous altérer, vous influencer, vous convaincre ni vous endoctriner (en aucun cas, quelle que soit la forme), mais encore, il vous est possible de tout observer dans votre vie, en surplomb…. Ce qui vous semblait inatteignable ou disproportionné devient d’un seul coup dérisoire.

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Vous comprenez que les choses vous paraissaient complexes et insurmontables parce qu’on vous les avait présentées ainsi et que votre esprit limité en 3D n’avait aucune alternative pour affirmer, ou encore moins oser expérimenter la preuve du contraire.

Le cerveau essaie de comprendre et de traduire ce à quoi il n’aura jamais accès, tandis que le Cœur Sait viscéralement comment réaliser la parfaite relation entre l’Amour des hautes sphères et son application dans le Service à la Vie, par l’interconnexion des mondes intérieurs et extérieurs dans l’Unité.

Votre cerveau résiste parce qu’il souffre de ne pouvoir comprendre ce qui émane des dimensions supérieures, quand lui, les décode avec un matériel intellectuel et psychologique correspondant à la 3D.

Lorsqu’une nouvelle information vous parvient, il vous faut pour l’intégrer, d’abord accepter en souplesse de quitter votre « réservoir » de croyances anciennes. Ces croyances sont tous les enseignements que vous avez dû subir, supporter, ingérer pour gagner votre place dans la société. De fait, lorsqu’une information nouvelle vous parvient vous vous sentez bousculés… Lorsque nous recevons un soin d’Amour et que nous sommes bousculés, comprenez bien que ce n’est pas nous qui sommes bousculés, ce sont nos résistances, toutes les racines génératrices de résistance.

C’est pourtant par votre Amour rayonnant sur toute chose, que vous transmutez les adversités supposées, les embûches redoutées, les digues les plus inexpugnables qui ankylosent et stoppent le Fux ! De sorte que vous cessez de vous adosser à l’ignorance, auxiliaire de la peur, comparse de l’échec. Ainsi se délitent et s’évaporent toutes les obstructions, les occlusions, les confiscations. Ainsi se réunissent harmonieusement les disjonctions, les dislocations, les déroutes de votre nuit passée. Votre nouvelle réalité devient conforme à la Vérité du Créateur au-delà de tout ce qui était fardé, interverti, truqué, distordu. Et cela dans la simplicité et la justesse de l’évidence qui dément le calcul, le raisonnement, l’effort.

Les êtres dont l’esprit se campe sur les références du mental inférieur ne peuvent pénétrer ou ressentir ce que l’on perçoit naturellement dans un plan de conscience plus élevé. Ultérieurement, l’expérience s’ils la choisissent, leur permettra de comprendre et de vivre à leur tour une élévation de leur positionnement.

C’est peut-être partiellement ce qui explique que dans un monde d’égarés où prévalent le médiocre et l’ordinaire, la falsification et le système « D », l’encensement de l’animalité, la starisation de la sottise, du vulgaire et du graveleux, la promotion du factice et de la robotisation, l’apologie de la plainte et de l’indolence, n’ayant pour toute réponse que le cliché populaire, la répression accrue, les diktats, le contrôle à tout prix, l’option du « tout sécuritaire », l’invocation du principe de précaution pour dénier l’impuissance à émettre la juste mesure appropriée…, le Sage alors, fait figure de marginal et d’inadapté. Il dérange tant qu’on l’évite, on le raille, on l’égratigne, on le disqualifie, on l’exile. Ce qui semble plus évolué est jugé comme inepte, ridicule, faux ou dangereux selon l’appréciation obtuse de l’immaturité.

Au lieu de vous concentrer sur ce qui vous déplaît ici-bas, au lieu d’essayer de lutter contre, concentrez-vous plutôt sur ce que vous Êtes à l’intérieur et qui vous plairait de manifester. À défaut de pouvoir déterminer quelque chose d’agréable sur quoi vous appuyer, soyez dans la Conscience du moment présent qu’il vous appartient de magnifier au lieu de le vilipender.

Réfléchissez au fait que dans ce qui vous déplaît, ce n’est pas la chose en elle-même qui vous gêne, vous contraint ou vous blesse, mais le tapage que fait votre mental en la considérant et en la jugeant avec tout le matériel de fausseté qui a été instillé au goutte à goutte dans les codes matriciels de l’existence en 3D.

Seul l’Amour Connaît le chemin et les moyens pour désincruster, laver, effacer jusqu’aux plus infimes traces de nos programmations cellulaires, de nos traumatismes émotionnels, des pactes autocontractés, des distorsions de toutes sortes qui nous ont mutilés à divers titres.

Mais tant que notre corps et notre esprit sont encore vibrants d’une quête de solutions dans la matière, l’éclairement des processus destructeurs ne peut intervenir.

Le Flux du Créateur fait feu de tout bois pour nous inciter à nous réveiller, à nous faire prendre conscience de qui nous Sommes. De la sorte, nous apprenons à procéder en son Nom. Ainsi patiemment, la Lumière forge et forme son véhicule de façon à ce qu’il la représente parfaitement sur Terre. C’est la raison pour laquelle avant de pouvoir acter en qualité de vecteur de Lumière, nous sommes nécessairement composés de matière brute et habités par les contenus qui la caractérisent. Nous devons répondre aux conditions inhérentes à la première partie du Chemin : l’apprentissage.

Ne considérez plus jamais une épreuve comme un encombrement, une contrariété, un obstacle…., au contraire, regardez-la comme ce qui permet de profondément guérir quelque chose en soi… Cela est plus facile que vous ne l’auriez imaginé si vous cessez de vous observer comme un être de matière. La matière (l’épreuve) ne peut donc plus vous porter atteinte. Par ailleurs, si vous avez accepté d’être pleinement l’Être de Lumière enfin reconnu, y compris par votre mental inférieur, alors vous savez que le souffle du Créateur se trouve derrière toute chose, et qu’au-delà du voile de l’apparence, réside nécessairement une indication fondamentale sur votre parcours d’Évolution.

En qualité d’étincelle vivante du Créateur, vous pouvez aborder toute difficulté avec Sagesse et Intelligence, vous servant de ces qualités comme tremplin pour accomplir un nouveau saut quantique et éradiquer la racine de l’ombre, chaque fois qu’elle se présente ou menace….

Vous ne pouvez pas vivre l’Unité tant que vous émettez jugements ou exigences vis-à-vis de certains aspects de vous-mêmes, en continuant à les réprimer. De même vous ne pouvez décréter la transmutation d’une situation, et simultanément continuer à vous fixer sur ce que vos yeux ou vos perceptions vous indiquent (nous verrons cela en détail dans la seconde partie, à propos de l’abondance).

Pour clore ce premier mouvement « LE JOUR APRÈS LA NUIT» (qu’y avait-il juste avant l’aube ?), voici un message du Collectif Céleste, que j’ai canalisé voici quelques années déjà, mais qui, vous le constaterez, n’a pas pris une seule ride.

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(Cliché ci-contre de la pleine lune de juillet)

« Il faut vous laisser conduire avec davantage de souplesse. Il faut vous débarrasser des déchets toxiques que produit le mental humain. Car tout cela vous encombre et vous empêche de recevoir avec fluidité.

L’homme doit se défaire de la rigidité de ses idées préconçues. Il doit se rendre libre à l’accueil du Flux. Alors, dépouillé des lourdeurs qu’il a lui-même et lui seul engendrées, il devient pure Énergie.

C’est cela «ETRE». L’homme ne vit plus, il n’existe plus, IL EST (je suis celui qui est). Ainsi il EST et devient le VERBE (au commencement était le Verbe-Vibration).

De sorte que l’Énergie de la Création peut venir le féconder, et tout ce que Celle-ci crée de cette façon s’avère indestructible.

L’homme prospère et se réalise selon les voies qu’il a choisies. Il peut vivre ce qu’il choisit d’être, et ce, à son gré. La Source divine ne pose aucune limite, aucune norme, aucune condition. Se sont vos cultures et vos éducations qui imposent les notions de valeur, de quantité, de mérite, de justice, de possible, etc.

Toute Création émane de l’Énergie. Toute forme, toute matière procédant de Celle-ci dans une Conscience éclairée et libre, ne cesse d’évoluer, de croître, de s’épanouir. Rien ne peut venir desceller la fertilité d’une Œuvre accomplie dans l’Union.

L’homme chemine dans la Main universelle, à l’abri et au-dessus de toute contingence dans la matière. Il progresse ainsi dans la Lumière, libre de ses choix, libéré de toute barrière dans l’AMOUR où tout foisonne et ne cesse de se réinventer, sans jamais tarir ».

On nous a confié une petite parcelle de l’Univers à Aimer (notre corps, notre vie), nous devons en prendre grand soin et la faire grandir en beauté. Car puisque nous sommes UN, ce que nous accomplissons pour nous-mêmes se réalise aussi pour l’Ensemble.

Merci d’avoir pris le temps de lire ce message. Je vous retrouverai dans la seconde partie de ce grand dossier « LE JOUR APRÈS LA NUIT » (Place à l’abondance).

Amour et Paix sur vous tous,

ARWEN de LA REAULT

Partagé par la Presse Galactique

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