par Bertrand Duhaime
L’œil, cet organe physique de la vision, symbolise la perception spirituelle émanant du rayonnement de l’Intelligence divine, dite la vision juste ou intérieure ou la clairvoyance, mais il peut inclure aussi la perception purement intellectuelle. On l’associe aux notions de lumière, de connaissance, de fécondité, de conscience de l’âme, d’essence universelle des choses. On l’identifie diversement à la Conscience suprême, notamment dans son aspect d’omniscience, au Verbe ou Logos, au Principe créateur, le Grand Architecte de l’Univers. Par sa forme générale de forme ovale, image de l’Univers, portant en son centre la pupille, image du Point suprême ou central, il illustre le rayonnement animateur de la vie activé par le Soleil. En relation avec le centre frontal, il désigne l’imagination et la nourriture spirituelle. Il parle de beauté, de monde structuré, d’univers complet, de vie polyforme.
En psychologie, l’œil sous-entend un acte de compréhension existentielle. S’il rend mal à l’aise, il peut traduire un complexe de castration ou de culpabilité. Il réfère la plupart du temps à un besoin de vérifier une réalité par soi-même. En songe, l’apparition d’un œil établit un lien avec l’autorité qui juge et sanctionne, ce qui indique qu’on n’assume pas entièrement son autonomie de décision et sa faculté de choix. Apercevoir plusieurs yeux traduit une conscience étriquée et timorée, une âme craintive, porteuse de culpabilités éthiques ou morales, menacée de régression ou de dissolution. Un échange de regard éclaire une communication sympathique ou amoureuse, une action menée dans l’unité d’intention, la confiance mutuelle, l’aptitude à regarder droit devant soi, parfois la réception entre un homme et une femme, il évoque l’équilibre intérieur, le sentiment d’unité, l’amour universel, une perception juste de son orientation, la promesse d’occasions merveilleuses de succès, l’assurance que le chemin est ouvert et bien tracé pour soi, car la Providence y veille.
Mais il faut aussi parler des yeux, soit de l’organe pair de la vision physique. Les yeux symbolisent la réalité qu’il faut clairement percevoir en soi par rapport aux questions qu’on se pose, car les réponses sont déjà comprises dans ses questions ou son contexte de vie. Ils appellent à approfondir l’amour pour réaliser ses désirs les plus profonds et son idéal le plus authentique. Ils inspirent la force, le soutien, la compréhension, la compassion qu’il faut intégrer en soi pour mieux percevoir les réponses que la vie offre. Les yeux portent le regard, instrument des ordres intérieurs, chargé de toutes les ardeurs de l’âme, ce qui lui confère une prodigieuse efficacité. Ils sont l’instrument d’une révélation, car ils servent à déchiffrer et à dévoiler le monde des apparences pour y découvrir la vision du Créateur. La vision du Créateur appelle celle de l’homme et inversement, puisque la vision du Créateur et celle de la créature constituent l’enjeu même de la création : une vision de contemplation. On comprend alors que le Monde se comprend comme le propre jeu de la vision de Dieu qui se contemple et se démontre ses attributs.
Les yeux expriment la capacité de poser son regard sur tout pour y découvrir Dieu, l’autre soi-même. Avec le troisième œil, les deux yeux physiques forment un triangle prismatique grâce auquel les courants qui traversent l’être, avec les pensées et les sentiments, renforcent son champ magnétique et le rendent sensible au Monde divin, le Lieu des Origines. Ils symbolisent la connaissance, la compréhension, la conscience et l’illumination. Ils captent ce qui apparaît à la surface du monde et ils donnent la vision de la vie. Ils appellent à regarder la vérité en face.
Les affections à l’œil ou aux yeux réclament une rectification au niveau de la perception de la réalité. Incapacité de voir la vie comme elle est; dégoût de sa propre vie; peur de l’avenir; ennui existentiel; stagnation prolongée. Vision déformante de l’ego. On se cache la réalité. On ne regarde pas bien les faits. On a longtemps entretenu un chagrin qu’on ne peut plus contenir. On s’apitoie sur son sort. On porte des œillères. On fait preuve d’étroitesse de vue. On a la vue courte. La vérité ne suscite plus sa confiance. On éprouve de l’angoisse dès qu’on cherche à se percer dans sa réalité ou sa vérité. Relation affective insécurisante qu’on entretient faute de pouvoir y mettre fin. On ferme les yeux sur les faits. On refuse de reconnaître un sentiment d’impuissance. La vision brouillée dénote la peur de se retrouver dans une situation difficile. On s’enfonce dans sa confusion. Un tic à l’œil droit décrit l’ennui profond envers le quotidien; la crainte de ne jamais parvenir au bout du chemin; le désir d’arriver rapidement à son but pour passer à autre chose.
ŒIL DE DIEU : La Sagesse divine infinie qui contient toute la connaissance de l’Univers. Associé au quaternaire, on l’illustre par un triangle pointé vers le haut et pointé en son centre. La Conscience divine omniprésente qui surveille et protège. On l’attribue parfois au Maître des Archanges solaires (Raphaël), le Dieu qui illumine tout par l’intérieur et explique le Soleil.
ŒIL DE FEU : En Égypte antique, il désigne la Vision de Ra et suggère une fonction contemplative.
ŒIL DE JUPITER : Le Soleil lui-même, ainsi appelé par arcane.
ŒIL DE LA LICORNE : Bien que la licorne établisse un lien avec Jupiter, cette expression réfère à la Lune.
ŒIL DE L’ÂME : La Lumière spirituelle.
ŒIL DE LA RÉVÉLATION : L’organe porté par le Taureau, le Gardien de l’Illumination, qui perçoit l’ensemble du Plan divin.
ŒIL DE LA TERRE : La Pleine Lune.
ŒIL DE LA VISION : Le troisième œil ou le centre frontal. Ils ont des yeux pour voir, mais ils ne voient pas.
ŒIL D’HORUS : Dans la Tradition égyptienne, l’Œil gauche d’Horus désigne un entraînement mystique de douze ans, axé sur le développement de l’hémisphère gauche du cerveau, intuitif et émotionnel. L’Œil droit d’Horus figure un entraînement supplémentaire de douze ans, dans l’École des Mystères d’Akhenaton, axé sur la compréhension du cerveau droit, associé à la connaissance pratique, à l’aspect logique de la Vie et de la Création. L’expression même d’Œil d’Horus réfère à la Loi de l’Unité et à la faculté de voir dans plusieurs mondes différents : le monde de l’éveil, le monde du sommeil, le monde de la mort et le monde du rêve. Il figure le Principe solaire, masculin, qui confère la protection contre la maladie et donne la vie. Cet Œil ne voit pas à travers les yeux d’un être humain, mais du point de vue d’un Dieu. Il donne la conscience de son histoire passée pour mieux comprendre son présent et mieux orienter son avenir. Il voit ce qui relie toutes choses et leur donne un sens. Cet Œil ancien ou antique est capable de voir simultanément à travers de nombreuses réalités et d’établir des liens entre les différents éléments du tableau qu’il perçoit, captant ainsi la réalité d’ensemble. Quand il s’ouvre chez un candidat, il lui permet de se brancher sur l’ensemble de son histoire personnelle, de l’histoire planétaire, de l’histoire universelle et de l’histoire cosmique. C’est l’Oujda.
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ŒIL DE L’ESPRIT : L’organe interne qui contemple l’Éternité en obtenant une vision transcendante des choses. L’œil qui sait voir au-delà des apparences.
ŒIL DE L’URAEUS : L’Œil dilaté du cobra dressé illustrant l’Œil brûlant de Ra (le Soleil).
ŒIL DE SHIVA : Dans la Tradition hindoue, le troisième œil (marqué par le tisratil).
ŒIL DROIT: Associé au Soleil, il exprime l’énergie vitale de l’Esprit, la virilité, la créativité, l’activité, l’émissivité de la force électrique. Avec une majuscule, c’est la Montagne du Soleil.
ŒIL DU CŒUR : Expression des Soufis pour désigner la vision spirituelle et l’intuition. Ailleurs, cette expression identifie la lumière de l’esprit, autant la lumière de l’intuition, de la révélation, que de l’intellect. Pour certains, il s’agit de l’Amour qui permet à Dieu de voir l’homme et à l’homme de voir Dieu, unissant ainsi le Principe divin à sa Manifestation.
OEIL DU DÔME : C’est le Brahmarandha, l’ouverture du sommet du crâne, par où s’échappe l’âme du Sage délivré de la condition temporelle. Il désigne parfois le corps subtil né de l’Embryon d’immortalité. On l’appelle parfois la deuxième bouche.
ŒIL DU JOUR : Le Soleil.
ŒIL DU MONDE : Le Soleil. Il s’agit aussi de l’Œil du dôme, du trou au sommet du crâne illustrant le Regard divin qui embrasse le Cosmos.
ŒIL FARDÉ : En Égypte, l’Œil Oujda ou Oudjat, l’Œil d’Horus.
ŒIL GAUCHE : L’Œil lié à la Lune, à la passivité, au magnétisme, au passé, à l’intuition, à l’inconscient, au psychisme. Avec une majuscule, il s’agit de la Montagne de la Lune.
ŒIL N’A POINT VU (Ce que l’) : Dans la Cabale, il s’agit de Kether (la Couronne ou le Diadème).
ŒIL OUDJAT : En Égypte, l’Œil fardé d’Horus, symbole sacré considéré comme une source de fluide magnétique. L’Œil de Lumière purificateur.
ŒIL SIMPLE : L’Œil de la vision subtile, de l’unique vision juste et du devoir. Le centre frontal qui donne la discrimination (le discernement) salvatrice.
ŒIL SPIRITUEL : La glande pinéale, au centre du front, organe de la vision subtile et de l’imagination, figuré par un cercle d’or portant, à droite, un pétale bleu ou vert et, à gauche, un pétale rouge. Ces pétales peuvent être facilement confondus avec deux ailes miniatures figurant l’envergure de Hamsa, le Cygne ou l’Aigle spirituel. Il est associé aux mots Sheutadupa et Atlantis.
ŒIL UNIQUE : Illustré par un œil sans paupière, inscrit dans un triangle, il désigne le Grand Architecte de l’Univers, l’Essence, la Conscience divine, la Vision spirituelle omnisciente et omniprésente, l’Œil qui, seul, peut percer le Secret ou l’Arcane, car aucun écrit ne peut en dévoiler assez à son sujet. L’Unité primordiale d’où tout procède et à laquelle tout retourne. La Vision subtile de Dieu qui peut foudroyer. Le Savoir, la Connaissance, la Science spirituelle. Il sert de cachet pour sceller l’investiture céleste des Élus. Il exprime le Pouvoir spirituel de Celui qui voit tout, de la Conscience divine omniprésente. L’être humain qui veut suivre la bonne direction dans sa vie, doit permettre à la Lumière de cet Œil divin de l’entourer et de luire autour de lui, pour illuminer sa route. Car celui qui préside devant son Autel devient semblable à lui par Assomption. Autrement dit, celui qui suit le rituel sacré et se laisse guider par sa Conscience spirituelle finit par fusionner avec Dieu. Au sens culturel, l’œil désigne un chef. Il figure souvent l’étoile Aldéboran.
Pour certains, l’Œil unique réfère à un état assez primitif et sommaire des capacités de compréhension, identifiant la récession ou le commencement de l’intelligence, la perte de certaines dimensions ou de certains rapports. En ce sens, il exprime les concepts divins abstraits qui n’ont pas encore passé au creuset de l’expérience concrète. Mais il n’en implique pas moins la domination des forces obscures, instinctives et passionnelles, qui jouent un rôle destructeur, qu’il peut lui-même dissoudre.
ŒIL (Clin) : En général, il désigne un cycle de vie éphémère. Il invite à ouvrir simultanément ses yeux et son cœur en tout temps pour mieux comprendre les choses. Il établit le constat qu’on est toujours à la bonne place au bon moment pour la bonne expérience si on accorde ce qu’on vit à ce qu’on est et ce qu’on fait à ce qu’on dit. Il attire parfois l’attention sur une inspiration d’un Guide accompagnateur, témoignage d’amour, modeste et discret, qui démontre qu’on n’est jamais seul. Complicités.
ŒIL (Lumière de l’) : La lumière du Soleil.
ŒIL (Mauvais) : Dans la tradition de la sorcellerie, on dit que certaines personnes jettent le mauvais œil, ce qui porte malheur en attirant les foudres du Sort. On reconnaîtrait ces êtres à l’œil néfaste au fait qu’ils ont les pupilles entièrement apparentes, malgré leurs paupières quand ils ont les yeux ouverts. Autrement dit, leurs paupières ne recouvrent nullement leurs pupilles quand elles ont les yeux ouverts. Malheureusement pour les victimes qui ont été persécutées ou exécutées, cette vieille superstition identifie les personnes, surtout des femmes, affligées d’un trouble de la thyroïde (goitre ou hypothyroïdie), dont le regard prend un aspect particulier, comme insistant, parce que leurs réflexes physiques et leurs mouvements intellectuels fonctionnent au ralenti. Ces personnes pouvaient souffrir de mongolisme à divers degrés si leur état morbide provenait d’un problème congénital ou s’était développé dans l’enfance. Cette affection donne un faciès et un physique curieux qui pouvaient apeurer nos lointains ancêtres qui en tiraient naturellement des conclusions aberrantes. En lui-même, la mauvais œil comporterait la prise de pouvoir d’un être (personne, animal ou objet) par envie dans une intention malveillante. Certains prétendent que cette superstition aurait entraîné, à une époque, la mise à mort de la moitié de l’humanité. Cette superstition veut que nombre de praticiens de la magie noire puissent projeter par les yeux un rayon aux propriétés négatives pouvant occasionner des désordres, comme le sommeil, l’hypnose, la maladie, le mauvais sort, nombre d’effets psychotoniques pernicieux, voire la mort.
ŒIL (Troisième) : Le centre Ajna, au niveau du front, entre les sourcils, associé au signe du Verseau et à la lettre hébraïque Shin. C’est l’organe psychique qui correspond à la glande pinéale qui permet de capter les ondes lumineuses des plans supérieurs de la conscience, ce qu’on appelle la clairvoyance, le don de voyance ou la vision spirituelle, qui ouvre la porte à la conscience du trois. Car, sans la maîtrise de la Loi du Triangle, on ne peut espérer atteindre cet état supérieur de vision. Il s’agit de l’Œil unique qui extériorise l’Œil du cœur, associé à la vision synthétique, à l’imagination créatrice, à la perception unitive, qui capte le présent sans dimensions. Il se situe à la Limite de la Vacuité et de la Multiplicité, du Vide et du Plein, permettant de tout saisir simultanément. Il unit dans la conscience l’amour du cœur et la logique de la raison. Parfaitement immobile, il confère la vision globale, dite vision intérieure.
La glande pinéale reçoit des informations des ondes lumineuses que la majorité des êtres humains ne peuvent reconnaître. Le sage doté de vision subtile reçoit ces informations sous forme d’images visuelles. Il perçoit les vibrations qui émanent des plus hauts registres cosmiques, non des ondes lumineuses telles que le conçoit le commun des mortels. Ces vibrations équivalent à des ondes psychiques. Le voyant est très sensible aux impulsions de pensées transmises dans l’éther, impulsions qu’il transforme en image visuelles dans sa conscience. Certains croient que les yeux d’un grand mystique ou d’un être grandement évolué sont reconnaissables à des caractéristiques particulières. Tant mieux si leurs illusions confirment leur foi, mais tel n’est pas le cas. C’est plutôt par l’intensité rayonnante de sa pensée concentrée qu’un tel être engendre chez certains un état de réceptivité particulière, cette conscience d’une puissance apparemment spéciale par rapport à celle d’une personne ordinaire. Cette puissance peut passer par les yeux, mais ne change pas les attributs physiques des yeux. Cette puissance se capte par le psychisme. Le rayonnement de la glande pinéale d’un être hautement évolué peut amener une personne de son entourage, affectée dans son champ magnétique (aura), à porter son attention sur ses yeux. Mais cette attention a été suscitée par une attirance magnétique qu’elle a ressentie psychiquement. Parce que la force vitale maintient la vitalité, elle peut donner du lustre, de l’éclat, de la vivacité, donc de la vie, au regard. Mais tout être en bonne santé peut obtenir les mêmes attributs dans son regard. Ainsi, ce que certains notent dans le regard d’un être éveillé spirituellement, ressort plutôt de son attraction super-consciente que d’une différence réelle dans son apparence. On ne peut nier toutefois que certains Maîtres aient reçu la mission de rendre évidente la Lumière spirituelle, mais en général, la Conscience cosmique révèle ses attributs de la façon la plus naturelle qu’elle le peut.
YEUX BANDÉS : Pour la justice, il s’agit d’un signe d’impartialité et d’objectivité. Dans la culture orientale, ils expriment une retraite contemplative. Dans certains contextes, ils signalent qu’on a les yeux fermés à la cupidité et à la curiosité. Très souvent, ils suggèrent l’aveuglement.
YEUX DÉTOURNÉS : Effort pour cacher ses sentiments.
YEUX INNOMBRABLES : Les Étoiles du Ciel. L’absorption de l’être dans le monde extérieur qui amène à exercer sa vigilance uniquement à l’extérieur de soi, d’où on peut être attaqué par l’intérieur.
YEUX MULTIPLES : La manifestation de l’omniscience et de l’omniprésence de Dieu à qui rien n’échappe et qui appelle le regard de l’homme à se tourner vers lui.
YEUX PAIRS : Dans la Tradition grecque, ils sont les attributs d’Athéna, la Déesse de la Raison.
YEUX (Deux) : La perception dualiste, donc mentale et extériorisée.
YEUX (Cligner des) : Refus d’une vision (ou refus d’y croire); désir de nier ses rêves; effort pour nier l’extraordinaire ou le merveilleux.
YEUX (Épier des) : On cherche à comprendre ce qui se prépare de nouveau au-delà de ses résistances. On est vraiment trop curieux. On ne se mêle pas suffisamment de ses affaires. Il faut vivre et laisser vivre.
YEUX (Grands) : La curiosité d’esprit sans retenue ou la capacité d’émerveillement.
YEUX (Lever les) : Se détacher des apparences pour faire confiance à la Puissance spirituelle en lui confiant sa foi. Considérer l’essentiel, Dieu.
YEUX (Ouvrir les) : Ouverture à la connaissance ou début de la conscience.
YEUX (Petits) : Signe de méfiance, de réserve, d’ennui, de médiocrité.
YEUX (Sept) : La vision multiple de «Kether», le Regard divin qui voit tout, placé au sommet de l’Arbre séphirique. Le Regard divin qui perce le sens des choses terrestres, selon la Cabale.
YEUX (Trois) : La vision triangulaire, de la puissance du prisme, qui confère à la fois la vision physique et spirituelle.
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