Puisque chaque signe a sa version « ange » et sa version « démon », mettez donc en exergue les qualités (angélique) de votre signe pour éviter de tomber dans ses plus redoutables travers (démoniaques).

Les parts d’ange et de démon du Bélier (21 mars – 20 avril)

Obélix… Tombée dès votre naissance dans la marmite de l’impulsivité, vous vous laissez mener par le bout du nez par vos velléités. Volontaire mais excessive, enthousiaste mais explosive, vous partez au quart de tour et ça finit par vous en jouer de mauvais (tours) : il vous faut souvent prendre le premier obstacle en pleine face, pour commencer à réfléchir aux façons de contourner le second. Le « rentre-dedans » est dans votre tempérament et on dirait que voir trente six chandelles vous aide à y voir plus clair. La bonne volonté ne suffit pas pour gagner : on ne vous le dira jamais assez.

Un tempérament de battant. La bête cornue qui symbolise le Bélier est surtout symbole de rapidité, de courage et de franchise. Vos improvisations sont brillantes et savent couper l’herbe sous le pied de ceux qui ne font que tergiverser. Vous prenez tout « au pied levé », vous êtes souvent « sur le pied de guerre » et cette indéniable spontanéité nous laisse totalement désarmés. Vous parlez vrai, vous riez franchement, vous aimez vraiment et la fraîcheur de vos élans ne peut que nous plaire autant. Tant pis pour les pacifiques et les collets montés, ce naturel fougueux et ce tempérament de battant forment bien la vraie face du Bélier.

Les parts d’ange et de démon du Taureau (20 avril – 21 mai)

Le Ruminant… Le Taureau est cet être fondamentalement « digestif », qui perd souvent en sérénité ce qu’il gagne à ruminer. Rancunes, remords, soupçons et autres obsessions incrustent vos neurones, vous prennent la tête et génèrent trop souvent des fixettes. Reines de la « masturbation intellectuelle », vous êtes les clientes rêvées des « psys », qui ne peuvent que s’éclater à dénouer l’écheveau de vos (trop) longs cheminements névrotiques. Les affres du taureau passent aussi par le sentiment : pas d’attachement sans tourments et vous en payez le prix à longueur de temps. Doutes, jalousie, possessivité et réminiscences du passé vous gâchent la vie : vos besoins viscéraux de stabilité et de sécurité ont décidément la dent dure.

Un vent de volupté permanent… Vous êtes de ces femmes qui font étonnamment rimer « beauté » et « sensualité » : la volupté vous a effleuré au berceau et votre vie est ce tracé de désirs, que vous poursuivez avec entêtement, pour ne jamais faire faux-bond au concept d’envie. Que les Taureaux restent ces bons vivants constants qui n’ont que « ça » dans le sang et ils sauront pourquoi ils sont toujours élus « meilleurs amants ». Vos cinq sens en ont bien donné un à votre vie… et c’est ainsi que vous passez allègrement de l’épicurienne à la jouisseuse, en restant toujours la meilleure des compagnies.Chez vous, la philosophie du plaisir s’accompagne d’un sourire et épilogue voluptueusement sur le « mourir de plaisir »..En bref, quand la libido prend lieu et place de l’ego, vous avez bien affaire à un Taureau !

Les parts d’ange et de démon du Gémeaux (21 mai – 21 juin)

Les Gremlins… Ambivalence, dualité, double jeu ou face cachée : un Gémeaux est souvent bien trop intelligent pour être 100% franc. Que l’on ne se fie jamais à la spontanéité feinte de ce tacticien né : il est déjà en train de mettre sur pied ses prochains actes manqués. Votre sincérité est trop masquée de pensées bien calculées, pour que l’on puisse s’y fier. Quand il s’agit d’être maligne, futée ou de superbement retomber sur vos pieds, vous n’êtes jamais la dernière-née. Vous ne laissez pas grand-chose au hasard, jouez votre vie comme une partie d’échec (toujours prête à nous damer le pion…) et ne vous laisserez croquer une dame que pour mieux nous laisser « échec et mat » ! Les dés de la destinée sont un jour tombés entre vos mains et il faudrait être bien trop malin pour les faire changer de mains.

Le charme de l’impertinence… Le charme de l’impertinence et le palmarès de la gaieté vous appartiennent de façon innée : flirtant d’une idée à l’autre et toujours prête à séduire le monde entier, vous prenez les artifices pour des grains de folie et surprenez toujours par vos innombrables facéties ! Intelligence rêvée, vivacité assurée, curiosité d’esprit à volonté et parole affûtée, vous faites de la matière grise votre fer de lance. Invariablement située entre espiègle et spirituelle, vous jetez du ludique dans tous les cas pratiques et, à vos côtés, la vie n’est plus qu’un jeu qui nous rend beaucoup plus heureux.

Les parts d’ange et de démon du Cancer (22 juin – 22 juillet)

Le démon du caprice… Femme-enfant, aussi lunatique que capricieuse, vous ne savez en aucun cas masquer ces émotions qui mènent votre petit monde par le bout du nez, jusqu’à ce que vous en ayez autrement décidé ! Exagérément à fleur de peau, vous ripez au moindre bobo à l’ego : la météo de vos humeurs est des plus instables et vous faites allègrement la pluie et le beau temps dans votre environnement. Que l’on ne vous dise surtout pas « non » : c’est le mot maudit qui vous fait virer à l’orage. Bouder est toujours votre dernier chantage et, si l’on ne vient pas vous chercher, vous pouvez jouer très longtemps la sauvage. En bref, derrière votre apparente fragilité, vous ne cherchez jamais qu’à mettre le monde à vos pieds.

Un puits sans fond de créativité. Trop émotives, sensibles et rêveuses : les Femmes Cancer le sont toutes. Mais vous êtes souvent, en contrepartie, des puits sans fond de créativité et pouvez même vous révéler être de la trempe des plus fameux écrivains, des artistes les mieux inspirés, des musiciens de génie ou des créatives de folie. Le rêve et l’imagination sont chez vous ces dons qui parsèment la vie de poésie, transforment l’ordinaire en extraordinaire au gré de l’une de vos fantaisies et romancent toutes les histoires pour n’en faire ressortir que l’espoir. Entre muse et esquisse d’artiste, vous savez élever le romanesque en mode de vie bourré de tendresse.

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Les parts d’ange et de démon du Lion (22 juillet – 23 août)

Narcisse… La plus grande faiblesse de la femme Lion est cet ego surdimensionné qui la fait courir, toute sa vie durant, après ce grand amour chimérique, cette véritable Arlésienne : Elle ! Narcisse est bien votre facette caricaturale si peu camouflée. Taxée d’un orgueil démesuré, d’un ego envahissant et de ce besoin de toujours briller, vous passez pour une égoïste, quand ce n’est pas une égocentrique doublée d’une flambeuse. Avouez que vous adorez être le nombril du monde. Avec vous, il n’y a guère d’alternative : soit vous monopolisez l’attention, soit vous prenez la porte avec un gros chagrin d’amour propre.

Un personnage hors du commun… Star dans l’âme à coup sûr, la moindre de vos ambitions est de frôler la perfection. Ne jamais passer inaperçue et être parfaite de la tête aux pieds sont les challenges du quotidien que vous avez décidé de relever. Il nous fallait des femmes peu ordinaires pour élever le genre féminin… et le signe du Lion s’offrit comme remède à un monde (potentiellement) en déclin.Passionnée et généreuse, vous ne vous arrêtez jamais à mi-chemin et détestez le mesquin : vous abhorrez le vulgaire autant que les solutions intermédiaires, vous êtes la reine du beau geste et vous balancez quelques temps entre le superbe et le sublime pour toujours conclure avec panache.

Les parts d’ange et de démon de la Vierge (23 août – 23 septembre)

La fourmi (de la fable)… La Vierge est une pragmatiste pointilleuse, attachée au moindre détail, adepte du petit bout de la lorgnette et passant son temps à dénicher l’arbre qui cache la forêt. Ce qui est petit et mesquin ne vous fait pas peur : les petits sous font bien les grandes fortunes et les petits ruisseaux se jettent dans les grandes rivières. En attendant, pour vivre heureux, vivons petit : pas d’écart dans les dépenses, pas de laisser-aller dans les plaisirs. Economie et pingrerie viennent à bout de toutes vos envies. L’organisation aura également raison de tout : improvisation et fantaisie n’apparaissent pas dans votre dictionnaire et c’est pour ça que, vu de chez nous, votre vision de la vie n’est plus qu’un enfer.

L’intellectuelle du zodiaque… Rationnelle autant que raisonnée, nul ne peut vous surpasser quand il s’agit de structurer la pensée. A) b) c) : vos démonstrations sont bien carrées et il faudrait se lever trop tôt pour vous prendre en défaut. Tenants et aboutissants, cause à effet : votre logique est catégorique, votre raisonnement est logique, vos idées sont bien amenées, vos questionnements sont légitimés. Vous êtes de sacrées perfectionnistes auxquelles rien ne risque d’échapper et qui feront au besoin mettre genou à terre à tous les grands de cette terre. En bref, les bons seconds sont surtout de grands indispensables et ce n’est pas une Vierge qui affirmerait le contraire.

Les parts d’ange et de démon de la  Balance (23 septembre – 23 octobre)

La femme invisible… Entre diplomatie innée et sociabilité étudiée, impossible de vous trouver une aspérité de caractère. Plaire est votre leitmotiv préféré et vous décidez de vous effacer sans hésiter plutôt que d’entamer la sérénité apparente de l’air. Eternelle indécise et souvent incapable de vous impliquer, vous flirtez avec la transparence. A force de désirer faire l’unanimité, vous manquez surtout de densité. Et si l’on décide de gratter un peu ce désir de plaire (ou de ne surtout pas déplaire…), on découvre votre face (mal) cachée de statisme irrésolu ou de superficialité tirée à 4 épingles. Créature éthérée, vous possédez exactement ce qu’il faut pour passer inaperçue et vous pourrez jouer et rejouer le remake de « Trop belle pour toi » sans jamais comprendre pourquoi.

La planète Vénus s’est réincarnée… Tombée à l’origine des temps dans la marmite du charme classique, vous possédez la baguette magique qui intègre les petits défauts et les courbes imparfaites dans un ensemble qui sera, lui, idéalement net. e qui, au détail, pourrait déplaire à quelques uns s’estompe pourtant parfaitement dans votre globalité. Porte-drapeau du bon goût et du « bien sous tous rapports », vous jouez la carte du classicisme avec régularité : rien ne dépasse… et tous les autres trépassent. Si l’on ajoute à ce fac-simile du visage de Marianne une élégance innée, vous comprendrez que la planète Vénus qui régit votre signe s’est sans doute bien réincarnée.

Les parts d’ange et de démon du Scorpion (23 octobre – 22 novembre)

Le Scorpion… La face cachée du Scorpion est le piquant mortel de l’animal du même nom. On vous dit le pire des signes et derrière vous, on se signe… Un Scorpion se doit d’intérioriser un certain temps et d’encaisser longtemps, sans réagir vraiment. Mais la goutte de trop vous fera littéralement exploser de violence ou vous épancher soudainement dans un verbiage aussi virulent que méchant. Gare aux âmes sensibles car vous ne faites pas de quartier pour les laisser sur le carreau. Destruction, autodestruction, cruauté mentale se conjuguent (heureusement le plus rarement possible) pour le pire et vos ressources les plus démoniaques ne cherchent qu’à faire souffrir ceux que vous aimez. L’amour et la mort se confondent quelque part en vous et cela, malgré vous…

Une séduction unique… Votre cœur ne cesse de balancer et vous incarnez à tout moment la redoutable séductrice, tantôt animale comme une femme fatale. Votre personnage torturé, qui cultive l’illégalité comme clé de toute liberté ne pourra décidément jamais que nous fasciner. Prouvez-leur à quel point votre mystérieux charisme fait de vous des personnages facilement attirants, pour ne pas dire envoûtants. Bref, votre séduction unique suscite toujours la passion là où d’autres ne récoltent que le néant. Votre mystère n’est pas seulement dans vos grands airs car votre emprise relève d’un magnétisme qui provoque allègrement le fanatisme.

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Les parts d’ange et de démon du Sagittaire (22 novembre – 22 décembre)

King-Kong… Le Sagittaire est le roi de la grosse colère, l’anti-héros de la psychologie, le pataud à gogo. Vous êtes donc parfois cet éléphant dans un magasin de porcelaine : encombrante, déplacée mais jamais vraiment méchante. Mettre les pieds dans le plat, adepte de l’ingérence sous couvert de conseils à prodiguer, confondre copiner et materner : vous êtes phénoménalement envahissante mais peut-on vraiment vous le reprocher ? Votre grand idéalisme omniprésent ne demande jamais qu’à tout réparer, le moindre geste de bonne volonté est capable de vous amadouer et d’enrayer violence, agressivité et méfaits passés.

Noblesse de caractère… Si la flèche qui vous symbolise est tournée vers le ciel, c’est que vos conceptions sont hautement idéalistes. A l’opposé des matérialistes, vous visez à vous élever, mais les richesses dont vous rêvez ne sont pas de celles que l’on peut palper. Enthousiaste et noble de cœur, vos vraies raisons d’exister sont souvent pimentées d’un petit goût d’absolu et d’une pincée d’éternité. Les causes qui vous interpellent et vos belles envolées philanthropiques vous placent à un niveau d’humanité qui ne peut que faire évoluer les mentalités. Un regard plein d’étoiles qui suit un idéal à la trace ou atteinte d’une noblesse de cœur qui vous situe à l’opposé des matérialistes, votre secret le plus puissant est de ne laisser personne indifférent.

Les parts d’ange et de démon du Capricorne (22 décembre – 21 janvier)

« Les dents de la mer »… Votre facette « arriviste aux dents longues », qui ne démord pas de ses objectifs fixés, ne risque pas de faire l’unanimité. Cette face cachée vous rend souvent trop attentive au parcours des autres : ce qu’ils ont atteint et que vous n’avez pas encore vous met le diable au corps, jusqu’à ce que vous ayez enfin conquis le fruit de vos envies. Votre ambition dévorante ne doit jamais être prise qu’au second degré et, si vos dents rayent le plancher, ce n’est pas qu’une façon de parler. Le démon qui sommeille en vous est bien carnassier et il est totalement imprudent de se trouver sur le chemin d’un Capricorne en phase d’y arriver. L’ambition ne vous quitte décidément pas et qui vivra verra… bien de quel bois vous vous chauffez !

Carrée – structurée L’atout majeur d’un Capricorne est d’être un bâtisseur, d’avoir le sens du temps et d’en jouer pour voir loin et grand. Patiente, stable et déterminée, vous avez la vue très longue et êtes aussi ambitieuse qu’efficace : vos désirs sont déjà structurés avant d’être formulés et vos points de vue carrés excluent toute incertitude ou pointillés. La réussite n’a pour vous que le travail pour secret et votre sens des responsabilités n’a d’égal que votre fiabilité. Persévérante et courageuse, vous alliez toute votre vie durant patience, discipline et volonté pour réaliser vos objectifs et conquérir des sommets.

Les parts d’ange et de démon du Verseau (21 janvier – 20 février)

La Chèvre (de Monsieur Seguin…) La liberté (votre obsession magnifique), l’ennui (votre pire ennemi), la frivolité (votre activité préférée) et la facilité (votre chemin tout tracé) font du Verseau la caricature rêvée d’une illustre chèvre qui a fini par se faire dévorer. Vous n’aimez rien mieux que de ne rendre de comptes à personne et de disposer de votre liberté et d’un maximum d’indépendance. Les contraintes vous font prendre la poudre d’escampette et vous provoquez une flopée de conflits d’autorité tant vous n’en faites jamais qu’à votre tête. Allergique à tout cadre imposé et changeant de passion comme de chemise, vous faites souvent office d’ingérable, adepte des chemins de traverse et impossible à coincer dans la moindre forme de normalité.

La sérénité de caractère. La sérénité est votre choix de vie, rebondir votre style de vie, la compagnie votre première envie. « Demain est un nouveau jour… », « Plus on est de fous, plus on rit ! » et « Rien n’est grave ! » sont vos devises préférées : vos émotions se doivent d’être harmonieuses sinon rien. Pas d’étalage de passion ou de bourdon : gardons pour soi ce qui ne va pas et vive la gaieté, la vivacité, la liberté. Vous êtes originale, ouverte, tolérante : au feu les grands principes et les méchants préjugés. Vous vous désirez seulement moderne, fashion, libérée. Partager, écouter et donner vous rapprochent également du comble de la générosité.

Les parts d’ange et de démon du Poissons (20 février – 21 mars)

La guerre des savons. Reine du faux-fuyant, princesse des eaux troubles, amatrice de faux-semblants : vos vices cachés ne sont que peu apparents et vous savez à merveille contourner toute bonne foi pour mieux nous filer entre les doigts. Comme un vulgaire savon, vous nous faites faux-bond en toute occasion : vive les savantes échappatoires et les airs de ne pas y toucher. Avec vous : surtout ne pas se fier à l’eau qui dort, se rappeler que les murs ont des oreilles et que l’hypocrisie a longue vie. On vous donnerait le bon dieu sans confession et c’est bien là que se situe le vrai démon du Poissons.

Un certain 6e sens. Vous savez vous glisser dans toutes les situations et toutes les peaux. Cet effet « éponge d’ambiance » est très caractéristique d’un Poissons, qui ne peut vivre qu’en symbiose avec son milieu. Vous faites preuve d’une intuition remarquable, qui dérange les simulateurs et vous permet d’anticiper pour mieux esquiver le danger. Cette célèbre intuition est un véritable radar et qui ne se fie pas à l’instinct du Poissons, est déjà certain de n’avoir pas raison. Le 6e sens n’appartient qu’à vous. Sensible aux autres, à leurs émotions et à leur détresse, l’empathie est votre style de vie et vous êtes de ce fait le personnage le plus altruiste du zodiaque.

Source: https://www.marieclaire.fr/

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