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LES ONDES SCALAIRES NATURELLES

Il existe ce que les physiciens appellent un bruit de fond, qui est permanent et qui nous environne à chaque seconde : ce bruit de fond est en fait un cocktail d’ondes sans lequel aucune forme vie ne serait possible. Personne n’y échappe ; il vient du cosmos, du soleil, des roches, de la terre et des êtres vivants qui nous entourent.

Cette forme de lumière invisible nous est aussi indispensable que l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons ou encore les aliments qui nous nourrissent. De manière expérimentale, des lapins enfermés dans des cages de plomb épaisses, nourris, abreuvés, ventilés et éclairés artificiellement meurent pourtant en 8 jours de ce que l’on pourrait nommer « la faim cosmique » ! Ceci provient du fait qu’ils ont été privés d’une part importante de cette lumière aussi indétectable que vitale ! …

Des chercheurs de l’Université du Pirée avancent que notre métabolisme de base nécessite quelques 12 000 calories à fournir chaque jour, dont un quart au maximum proviendrait des aliments solides ; un autre quart serait tiré – grâce à nos mitochondries – de l’hydrogène de l’eau bue ! Et enfin 50% de nos besoins énergétiques seraient fournis par la lumière cosmique touchant la terre ! Certaines personnes seraient même capables de se passer de nourriture physique et de ne se nourrir que d’air, d’eau et de lumière ! …

Selon cette hypothèse, il serait donc bienvenu de se poser au moins la question de l’origine de cette lumière cosmique, de sa nature et de la façon dont nous pouvons en profiter, afin « d’animer » au plus proche de nos besoins, notre métabolisme de tous les jours ?

Les Grecs ou les Indiens parlaient de l’éther pour désigner ce rayonnement fondamental : mais c’est Nikola Tesla qui le premier put mettre en évidence par l’expérimentation l’existence d’ondes très pénétrantes et de puissance suffisante pour être détectée au moins dans la bande des fréquences radio. Ces ondes avaient des propriétés très différentes des ondes électromagnétiques découvertes par son contemporain Heinrich Hertz.

Le Pr Konstantin Meyl, un physicien allemand de réputation internationale, qui a continué jusqu’à aujourd’hui l’œuvre de Tesla, affirme que ce rayonnement est supporté par les neutrinos, les seules particules connues à ce jour pour pouvoir traverser la terre entière sans être déviées … encore que les Japonais ont montré que les neutrinos solaires arrivaient de nuit en quantité 2 fois moindre que ceux qui frappaient le sol durant le jour ; donc les neutrinos disparaissent bel et bien sur leur trajet de 12 000 km à l’intérieur de la terre ! Ce qui fait grossir la terre de quelque 19 cm chaque année selon les tenants de la théorie de l’expansion du globe terrestre depuis sa création il y a 4 milliards d’années ; la masse acquise ainsi serait de 8 tératonnes (10 à la puissance 12) par an, selon le Pr Meyl !

Il faut dire aussi que la dose de neutrinos reçue à la surface de notre planète est énorme, de l’ordre de 60 milliards de particules par cm2 et par seconde. Selon les physiciens les plus avancés dans ce domaine, les neutrinos sont de charge électrique … neutre, mais peuvent se dissocier en 1 électron, 1 positron et 1 ou des photons, lorsqu’ils sont ralentis ; en effet, les neutrinos cosmiques seraient capables de voyager à des vitesses supérieures à celle de la lumière ; produits par les trous noirs géants au centre de nos galaxies, par toutes les étoiles en activité, et surtout par les étoiles rouges ou bien par les supernovae, ils composent quelque 85% de la masse de l’univers, dont la fameuse masse noire.

Cette omniprésence de ces grains de lumière très discrets – qui possèdent de plus 4 visages interchangeables dénommés « saveurs » – devrait donc attirer notre attention ? Surtout si ces petites particules surabondantes dans l’univers nous nourrissent à chaque instant … en effet, si elles touchent chaque seconde par dizaines de milliards chaque cm de notre corps et le traversent facilement, dire qu’elles ne servent à rien relèverait de la bêtise la plus profonde ! Et pourtant qui en parle ?

Un peu comme si un poisson au fond de l’océan affirmait que l’eau n’existe pas, car il ne l’a jamais vue ? Les biologistes et les médecins sont en fait dans ce cas de figure aujourd’hui avec ces fameux neutrinos ? …

Le Pr Meyl nous apprend que les neutrinos voyagent sous la forme d’ondes dites scalaires, c’est-à-dire sans vecteur défini, et qu’elles s’orientent dans l’espace lorsqu’une résonance – c’est-à-dire une communication – s’établit entre la source et la cible ; ces ondes sont de forme spirale ou longitudinale et non pas sinusoïde ou transversale comme les ondes électromagnétiques, ce qui explique qu’elles soient très pénétrantes et qu’elles soient reçues par des antennes de même forme : or les ADN de chaque cellule d’un végétal, d’un animal ou d’un être humain sont de forme spirale ou hélicoïdale ; de même les protéines sous leur forme active. Chaque parcelle d’un corps vivant est donc un récepteur à ondes électriques spirales ou ondes scalaires. Et n’a que peu à faire avec l’électromagnétisme naturel (ondes visibles et ondes radio).

A grande distance entre les étoiles comme à très petite distance entre les ADN de chaque cellule, la communication physique se ferait ainsi par ces ondes spirales ; l’avantage est que l’information portée ne diminue pas avec la distance : Nikola Tesla avait il y a plus d’un siècle déjà démontré que les ondes en vortex étaient reçues avec un rendement supérieur à 1 ! La faute à d’autres ondes de même nature spirales et harmoniques de l’onde principale, « ramassées » dans l’environnement. Pas besoin donc d’envoyer un signal à forte puissance dans l’espoir qu’il soit reçu avant d’être amorti ? Il suffit d’envoyer quelques microwatts et le message porté sera amplifié jusqu’à son récepteur, grâce aux ondes harmoniques de l’environnement. Ce bruit de fond très riche constitue ce que l’on appelle « l’énergie libre », qui est certes de faible puissance, de l’ordre de quelques milliwatts disponibles, mais il est suffisant pour amplifier dans l’espace ce qu’émet ou reçoit chaque être vivant, qui lui fonctionne à quelques microwatts près !

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« Les arbres chantent » nous disent les aborigènes … traduite en physique, cette affirmation signifie qu’ils émettent en permanence un quota de ces ondes scalaires, typiques de l’espèce, de la longueur et du volume de l’arbre. Nous aussi, nous émettons des ondes en spirale ; les ondes émises par un cerveau en fonction sont des champs de torsion nous disent depuis 40 ans les chercheurs russes ; c’est-à-dire encore des ondes en vortex ; elles passent les cages de Faraday (à l’inverse de l’électromagnétisme toujours), augmentent leur puissance avec la distance et dès lors que la résonance est établie, elles sont reçues même à des milliers de kilomètres de distance, et ce à faible puissance !

La télépathie a pour support ce type d’ondes ; il n’est ainsi pas plus idiot ni ésotérique de développer ses dons de télépathie que de regarder la télévision ; dans les 2 cas, il s’agit d’un échange d’ondes entre un émetteur et un récepteur, sauf que la nature des ondes est différente, électromagnétique ou transversale dans le cas de la télévision, et scalaire ou longitudinale dans le cas de la télépathie.

Le fait que nous soyons transpercés chaque seconde de notre vie par ces ondes scalaires venant des étoiles et du soleil d’un côté, de la terre elle-même et des êtres vivants qui nous entourent d’un autre côté, nous fait penser qu’elles sont surement utiles à quelque chose ; si elles nourrissent effectivement tout corps vivant par résonance, en faisant vibrer ou osciller les ADN, les protéines, les métaux qui sont en nous, le fait de pouvoir « domestiquer » ces ondes pourraient en faire une source assimilable d’énergie et donc un moyen de thérapie. A condition d’en maîtriser la production et la puissance. Et de faire en sorte qu’une résonance certaine soit trouvée entre la source et la personne qui est censée en bénéficier ?

LA PREMIÈRE MACHINE À ONDES SCALAIRES, C’EST NOUS

La première « machine » à ondes scalaires utilisable en thérapie est – depuis la nuit des temps – l’être humain lui-même ; entre ses 2 mains en opposition se crée spontanément un champ d’ondes échangées entre sa droite et sa gauche, dont la charge électrique est différente. Si le thérapeute inclus entre ses mains ouvertes une personne malade qui par définition perd beaucoup d’énergie et donc en a besoin toujours plus, il faut et il suffit que le « magnétiseur » se relie à une source, qu’elle soit cosmique comme le soleil ou bien spirituelle comme un autre être humain et donc en étroite résonance avec lui-même, pour que l’énergie (neutrinos, électrons, photons) passe de sa source à son patient!

125390071Dans toutes les cultures, depuis des milliers d’années, l’homme-médecine est non seulement un connaisseur des plantes et des arômes, mais aussi un chaman capable de canaliser pour ses proches, l’énergie de type scalaire ou longitudinal de l’environnement. Ce flux existe (60 milliards de particules par cm2 et par seconde), il faut et il suffit de le concentrer.

Mais avant même de transmettre cette énergie à une tierce personne, il s’agit d’abord de se servir soi-même … simplement en ouvrant les mains pour soi ; c’est l’attitude naturelle d’une personne qui prie les mains jointes ou bien celle du sage qui médite les bras ouverts. Dans l’espace proche créé entre les mains, il est certain que le champ des ondes émises par une personne est de type scalaire, au moins à distance de la longueur de la main et du bras divisée par 2π, soit un peu plus de 6, disent les physiciens. Autour de ces ondes ainsi créées, s’enroulent la lumière scalaire de l’environnement proche, modulé par les battements du cœur du méditant et les différents rythmes produits par son cerveau au repos, grâce à un état de conscience modifiée très réceptif.

Toutes les religions et toutes les spiritualités du monde ont demandé à leurs pratiquants de prier et/ou de méditer ; car toutes les traditions savent depuis toujours que cette attitude renforce la conscience, le mental et le corps physique de l’adepte. Bien sûr, il n’y avait pas d’explication « scalaire » autrefois, mais la physiologie de ces ondes telle que formulée aujourd’hui permet de souligner au moins l’aspect physique bénéfique de ces pratiques.

L’exercice physique harmonisé par les asanas du Hatha Yoga ou bien par les enchaînements proposés du Tai Chi Chuan,  du Qi Gong ou de la … danse, est une autre façon de capter la lumière, cette fois par son corps en mouvement. Celui-ci produit à l’expir des ondes mécaniques et absorbe à l’inspir la lumière proche en vortex, harmoniques de la longueur de ses bras, de ses jambes et de l’ensemble de son corps. Il existe mille, voire dix mille exercices ou postures différent(e)s, permettant de tonifier toutes les parties du corps, de « gaver » ses cellules de lumière, et en même temps ainsi de renforcer sa conscience.

Remattez-vous donc à la prière et au chant, c’est bon pour votre santé ! Capter ces ondes proches en état modifié de conscience vous relie au cosmos et/ou au divin, cela recharge vos membranes au sens strict, apaise vos douleurs et réchauffe votre corps tout entier, et le purifie ..

Comment la méditation ou la prière fonctionnent-elles ?

Même que lorsqu’une personne prie ou médite, son rythme cérébral chute dans la « zone alpha (8-12 Hz) » par le simple fait d’avoir les yeux fermés ! si le méditant ou le priant calme sa respiration, et devient régulier autour de cycles d’ondes cérébrales de 8 Hz, il entre de facto en résonance avec la première fréquence Schuman, qui est de très exactement 7,83 Hz. Or cette fréquence est la première d’une série d’harmoniques qui sont caractéristiques de notre petite planète, de ses mensurations, de l’épaisseur de sa stratosphère et de sa vitesse de rotation.

Il y a toutes sortes d’informations qui circulent sur internet selon lesquelles cette première fréquence de Schuman de 7,83 Hz aurait changé et en serait à présent à des valeurs autour de 12, voire 13 Hz… ce qui fait beaucoup rire les physiciens comme le Pr Meyl ,car cette rumeur est parfaitement fausse, absolument impossible même : en fait la première fréquence de Schumann ne risque pas de changer avant longtemps puisqu’elle est le produit de la division de la vitesse de la lumière c dans le vide (=300 000 km/sec) par la circonférence du globe terrestre qui est d’environ 38500 km (2pRt avec un Rt de 6000 km). Or la terre « grossit » de 19 cm par an, donc avant que dénominateur de la division change vraiment, il va s’écouler pas mal de temps ! …

L’équation mathématique exacte des fréquences de Schumann est c x racine de 1 + n et divisé par 2pRt, où n est le numéro de l’harmonique considérée.

Ce qui est  vrai par contre est que le champ magnétique terrestre a chuté en 50 ans d’une valeur de 10 à 15%, ce qui est énorme ; un phénomène qui est annonciateur d’un changement des pôles magnétiques sur la terre ; ce qui arrive d’après les sondages géologiques tous les 250 000 ans ! Or il ne s’est pas produit sur terre depuis … 750 000 ans ! Donc nous y sommes, avec un cortège de signes annonciateurs comme des bouleversements météo et des éruptions volcaniques/tremblements de terre divers (autrement plus importants que l’influence des gaz à effet de serre). Le déluge, l’arche de Noé, la disparition de l’Atlantide, etc … toutes ces belles histoires de la mythologie, y compris les colères divines et l’apocalypse, tout cela doit avoir pour origine lointaine la mémoire de tels événements météo somme toute très banals une fois tous les quarts de millions d’années sur une planète qui a 4 milliards d’âges. J’espère que nous aurons le temps de les vivre ? il y aura sûrement beaucoup d’ambiance ? la seule chose que l’on ne sait pas est si ces changements de pôles ont lieu en 6 mois, 3 ans, 50 ans, 200 ans ou 1000 ans ? En bref, quelle est la durée de la phase de transition ? …

Pour en revenir à Schumann et au condensateur terrestre, tous les mammifères sur la terre ont un diencéphale qui est calé sur cette fréquence de 7,83 Hz, valable donc au ras du sol terrestre, là où tous les humains vivent ! c’est si vrai que lorsque les cosmonautes partent dans l’espace et tournent autour de la terre à 250 km d’altitude, ils souffrent du « mal de l’espace » et la NASA a du mettre au point un petit générateur d’un signal de 7,82 Hz, qu’ils placent dans les capsules spatiales et qui corrige cette affection.

Durant notre vie active au cours de la journée, nous sommes en rythme cérébral bêta, soit environ 25 Hz ; dès que nous nous couchons le soir pour nous endormir, nous passons par la phase alpha (8-12 Hz), puis thêta (6-7 Hz), puis delta (4 Hz) . Cet état modifié de conscience nous permet certainement de mieux absorber les ondes scalaires de notre environnement, même si elles sont la nuit 2 fois moins nombreuses que le jour ! ( 30 000 000 000 de neutrinos par cm2 et par seconde tout de même au lieu du double).

Si nous nous arrêtons par la prière ou la méditation à 7,83 Hz, nous entrons en résonance avec la terre et nous pouvons prendre cette énergie de l’environnement peut-être 2 ou 3 fois mieux que durant le jour où nous sommes actifs certes, mais dispersés ? les 5 prières des musulmans sont le moyen de capter l’énergie scalaire qui arrive sur terre a des moments précis ou le vortex de la Mecque est ouvert ,voilà la raison des prières a heures précises si l’énergie leur parvient effectivement a des heures aussi précise qui a pu leur indiquer ce secret ,certainement pas un

homme d’ailleurs très peu de musulmans ne connaissent ce mystère , que la science n’a pas encore exploré comme il le faudrait ,et ce n’est pas prêt d’arriver ,car on ne va certainement pas vous révéler a quoi sert la spiritualité spirite esprit et  un rituel pour respecter le processus nécessaire a la quête d énergie lumineuse et bienfaitrice…..c’est l’énergie vitale de toute créature vivante Tout ce qui est vivant ne l’est que grâce à l’énergie de celui qui est à l’origine de  toute vie …..

Donc ,le fait de prier ou de méditer, non seulement nous met en résonance avec la source d’énergie infinie et nous permet de nous synchroniser a tout ce qu’il y’a de vivant sur terre  – via le 7,82 Hz de la terre tous connectés par nos cœurs qui vibrent sur la même fréquence ..– , mais en plus, cela nous permet d’ouvrir nos mains-antennes et de concentrer ce champ ambiant tout proche de nous, bien plus que si ce geste était négligé …

œ posant leur front  sur le sol en direction du vortex il capte via leur  glande pinéale l’énergie scalaire indispensable a la vie et se régénère a la fois biologiquement et sur un plan éthérique  ….Si les hommes pouvaient voir cette lumière.

pénétrer leur corps et les purifier qui pourraient nier l’existence d’une source pure et bienfaitrice à l’origine de ce phénomène qui ne laisse aucune place au hasard de la survenue de la vie et de sa préservation .

amour

La méditation comme la prière sont donc des états de conscience modifiés qui nous rapprochent de notre planète d’une part, qui nous chargent littéralement en énergie telluro-cosmique par résonance. Au-delà, dans cet état de calme intérieur, une résonance plus spirituelle, donc plus spécifiquement humaine, peut être trouvée, ce qui correspond à un autre type de source d’énergie, plus mentale et moins cosmique, mais il s’agit bien là d’une énergie très concrète. Une source qui nourrit tout autant sinon plus … Mais autant le soleil est unique pour tous, autant chaque priant a une source spirituelle signifiante pour lui, avec laquelle il entre en résonance selon sa culture et son éducation, qui n’est pas forcément celle de son voisin ; quand votre coeur aime son créateur et vous pensez a lui votre cœur génère des ondes scalaires qui vous connectes instantanément a lui vous ressentez en retour une énergie si pure que vos yeux ne peuvent contenir leur larme c’est le signe que la connexion a bien été faite ,le temps n’existe que pour la matière, tout esprit et hors du temps, méditez et explorez les mondes qui sont cachés juste là ou on ne les cherche plus ….dans le cœur de celui qui croit  ,et dans cette croissance il s’élève à la hauteur de sa foi.

Source: http://simeria.lo.gs/