Message de l’Ami reçu par Agnès Bos-Masseron
Puisse l’humanité entendre. Quitter – nous vous y invitons avec fougue et ferveur – quitter ces voix des appréhensions, quitter ce fait de se laisser influencer par ces fausses nouvelles, par ces faux importants, par ces fausses voix, pour écouter la seule voix, celle de la confiance, celle de la puissance dans l’amour et la joie, celle qui offre cette vision d’une humanité honorant l’harmonie, de l’aura de la terre saturée d’amour, de respect, de lumière, de pureté, du corps humain triomphant et exultant de joie, de vitalité et d’harmonie.
Comprenez-le, la seule information, la seule connaissance sur laquelle on peut porter son attention et à laquelle on puisse donner le poids de son intention est cette évidence de l’éternel de la guérison et de la puissance d’autoguérison de chaque être humain, de chaque cellule, déterminant ainsi le retour à la puissance de l’autoguérison de la terre.
Puisse l’humanité l’entendre, la seule épidémie est celle de la peur et de l’addiction à se laisser influencer par les nouvelles que l’on sait fausses, faussées, manipulées. Et pourtant, les manipulateurs le savent, ils n’ont jamais eu les rênes de la puissance. Ce n’est que faire semblant, n’est-ce pas ? Et pourtant il suffit de regarder l’aura de la terre pour voir à quoi amène faire semblant. Le manipulateur, nous le savons, n’est jamais extérieur, n’est-ce pas, même si des apparences semblent le montrer.
Le manipulateur, chacun le sait, n’est-ce pas, c’est ces trois inséparables, ces trois lascars, l’ego, le mental et le corps des émotions. Quelle que soit la forme que prenne cette union des trois, qu’elle semble jaillir comme quelque génie ou quelque diable, elle n’est que la précipitation d’une fumée d’illusion. Le cœur le sait. Le cœur sait le triomphe de l’amour. Le cœur sait le triomphe de la joie, et ces deux facettes de la même réalité, amour et joie, sont l’énergie d’où jaillit l’éternelle autoguérison de chaque être.
Voyez à quel point belle est l’invitation. L’illusion est poussée à son paroxysme. Maintenant, à chaque être de choisir, sans perdre de temps à se croire victime de quelque virus ou de quelque puissance. Non. À chacun de choisir de retourner à son centre et de garder la vision pour soi, pour le collectif de l’humanité, pour l’aura de la terre, pour la création, la vision de l’harmonie, la vision de cette puissance d’autoguérison qui éternellement jaillit du cœur de chaque cellule et dont le jaillissement est si grandement facilité par la puissance de l’attention.
Certaines forces illusoires s’amusent à orienter le regard de ceux qui se croient moutons et qui croient devoir suivre. À regarder la peur, les illusions grandissent, n’est-ce pas ? À regarder petit virus pour voir comment il se développe, petit virus est nourri. À regarder par la dévotion offerte à la plénitude de l’être humain, à regarder cette infinie puissance d’autoguérison au cœur de chaque être, ce jaillissement de lumière verte, ce jaillissement de tous les rayons, la beauté du Rayon pourpre et or, la beauté des roses qu’éternellement Marie offre à la terre et à l’humanité, à regarder cette réalité, celle de la lumière, petit virus s’évanouit, se fond. Qui peut donner pouvoir à une illusion si ce n’est l’illusion elle-même ? L’illusion menée à son paroxysme invite à choisir inconditionnellement.
Jaillir et se dresser dans l’unité du cœur, et porter la vision de guérison, guérison de petit virus ou de quelque autre condition, et principalement guérison de l’addiction aux illusions, guérison de l’addiction à la peur, guérison de l’addiction à l’écoute de ces fausses nouvelles que l’on sait fausses, mais dont on laisse pourtant l’empreinte entrer dans l’aura, souillant ainsi l’aura de la terre.
Belle est cette période de retrait, n’est-ce pas, pour que chacun réalise, se pose et choisisse.
…Vous le savez, et si vous ne le savez pas comprenez-le, une intensité suffisante offerte à cette vision permettrait de sortir de toutes les histoires, de tous les courants du temps linéaire pour que la terre soit ce paradis de beauté, d’amour, de joie et de tendresse dans lequel la seule réalité est la santé parfaite, le confort, l’abondance et la dévotion offerte à l’éternelle source. Gardez la vision et très souvent, prenez au cœur du cœur tous ceux qui peut-être se sentent isolés, impuissants ou apeurés pour les nourrir de la tendresse des roses de la Mère, de la vitalité, de la santé, de la transmutation de chaque apparence en pure beauté au cœur du Un, simplement très souvent. Gardez la vision, incarnez-la.
Nous vous remercions.
Site : http://anandamath.org