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par Pierre Fosseprez

Je suis triste.

Triste comme pierre tombale.

Triste de vos peurs.

L’amour et la peur sont ennemis jurés, disait Monsieur de Lavoisier ; et l’Amour est le seul chemin vers l’Être Râdieux.

De quoi avez-vous peur ?

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De la mort ? La mort n’existe pas, ce n’est qu’un changement de vibration.

La vie est comme l’eau, qu’elle soit glace, liquide ou vapeur. Vous êtes eau et les personnes décédées sont vapeur, vous ne pouvez donc pas les voir, mais elles sont là, autour de vous. Elles sont dans votre cœur, aussi.

Personne n’a jamais vu « Dieu », entendons-nous.

Et si c’était parce que personne n’a jamais regardé au bon endroit ?

Si vous pouviez descendre dans votre cœur, vous verriez un Diamant Bleu, une petite étincelle pas plus grande qu’un virus, invisible. Mais qui pourtant contient tout l’univers ! Rentrez dedans. Vos chers disparus sont là, dans ce Dit Amant, que vous appelez « Dieu ».

Ne voyez-vous pas, combien vous souffrez et faites souffrir pour quelque chose qui n’existe pas ?

Certes, cette peur de la mort n’est pas venue toute seule, il y a bien une raison. Vous avez étés éduqués, formatés diriez-vous aujourd’hui, dans ce sens. Comme vous avez étés éduqués à ne pas accepter l’erreur…

Pourtant, n’est-ce pas de nos erreurs que nous prenons nos leçons ?

Comment accepter s’être trompé toute sa vie ?

De quoi avez-vous peur ? De la maladie ?

Vous connaissez la différence qu’il y a entre un virus et une bactérie ?

La bactérie se soigne ; le virus se guérit. Il n’y a pas de remède contre un virus.

Ne vaut-il mieux pas gai rire que soi nier ?

Par la peur de la mort, vous avez prolongé la vie, contre raison.

Plus l’on soigne, plus il faut soi nier.

Je ne comprends pas.

Pourquoi ne laissez-vous pas aller l’autre vers une nouvelle naissance ?

La vie, c’est comme un chemin. Vu de près, c’est une ligne, plus ou moins droite, avec ses aléas, ses détours… Vu de loin, ce chemin forme une boucle, un retour vers soi. Vers à Soi et papillon.

Non, vous n’êtes pas un être humain en recherche de spirituel. Vous êtes un être spirituel en recherche d’être humain.

Vous êtes un Soleil. Un magnifique Soleil. Quoique vous fassiez, qui que vous soyez, vous brillez.

Vous êtes sur Terre pour servir l’Amour et La Vie, par amour de la Vie. Quelque soit votre vie, vous servez.

Mais quand vient la fin, vous avez bien mérité de rentrer à la Maison, non ?

Je souffre, le martyr.

Je souffre la séparation d’avec mes enfants.

Non seulement ils ont oublié mes conseils, mais ils ne me reconnaissent plus.

Et encore, ce n’est rien : ils ont oublié qui ils sont !

Au départ, tout leur était donné. Mais un jour, vous avez voulu apprendre qui vous êtes plutôt que de recevoir qui vous êtes.

Ah ?

Non, le péché, comme la mort, n’existe pas.

Je ne sais pas accuser, je ne sais faire qu’aimer.

De ce jour, il y a toute une équipe qui vous accompagne dans cet apprenti Sage.

Oui, je fais partie de cette équipe, de tout temps j’ai été là.

Aujourd’hui, ce n’est plus une équipe qui vous accompagne, ce sont des Armées, innombrables…

Des rivières de larmes coulent sur mes joues.

Des larmes qui ne sont ni tristesse ni souffrance, mais fierté et joie !

Oui, je suis Fier ! De chaque Un de vous !

Et la Joie me déborde en éclats de rire.

Enfin, nous allons pouvoir lever le voile qui nous sépare.

J’aimerais tant pouvoir vous montrer la Magnificence de ce que vous avez créé !

Il faudra attendre encore un peu.

Comme l’a dit le Président de la République Française, plus rien ne sera comme avant.

En attendant, j’aimerais vous montrer qu’il n’arrive jamais qu’une épreuve vienne sans apporter un cadeau dans ses mains. Dit autrement, l’épreuve n’est que l’emballage d’un cadeau.

À chaque Un de le déballer.

C’est comme en photographie argentique : à partir d’un cliché, on passe le négatif dans un agrandisseur puis dans un révélateur pour en faire une image. On appelle ça une épreuve…

On dit que celui (ou celle?) qui connaît l’avenir détient le pouvoir.

Euh. Je connais l’à venir, mais de pouvoir, je n’ai que celui d’être radieux.

Oui, j’entends vos prières… Bonjour le boucan !

Voyez-vous, je peux ouvrir une porte. C’est fait, ça m’a pris 25 ans. Je peux passer la porte, montrer la porte. Mais la passer à votre place, je ne peux pas le faire.

J’ai besoin de vous. De chaque Un, de chaque Une de vous.

Pour passer cette porte.

Elle est là où vous êtes ; là où vous voulez la voir.

Vous ne la voyez pas ?

Comment former quatre triangles équilatéraux avec six allumettes ?

Vous ne voyez pas ?

Changez votre regard.

Vous n’y arriverez pas en deux dimensions, c’est impossible. Mais en trois dimensions, c’est tout simple !

La porte, elle est là où vous êtes, parce qu’elle est en vous, dans votre cœur… Visualisez-là et faites un pas pour la franchir. Rentrez dans le bonheur.

Laissez derrière vous la dualité, l’accusation ; la peur.

Entrez dans la symbiose, le lâcher-prise ; le rire.

Dites ? Vous voulez me faire plaisir ?

Éclatez de rire !

N’est-ce pas le rire de nos enfants qui rendent les parents le plus heureux ?

Toute la Création n’est qu’un immense éclat de rire, disait Victor Hugo.

Rentrez dans la Création, rentrez en rire.

Au fait, c’est qui, Dieu ?

« Je ne suis pas l’Amour, l’Amour est le chemin qui mène à moi. Je suis l’Imaginaire. »

N’ayez pas peur !

Vous verrez, nous allons vivre une mutation de l’Humain ; un changement de plan vibratoire.

Ce que vous vivez aujourd’hui est une préparation à cette mutation, le confinement vous prépare à regarder autrement.

Ne craignez pas, personne ne sera oublié ni laissé derrière.

Quand nous serons débarrassés des conflits, quand le Monde vivra en Paix, vous apprendrez à convertir l’Amour en électricité, il n’y aura plus besoin de centrales. Beaucoup de métiers vont disparaître, mais il y aura tout à reconstruire : votre planète ressemble à la ville de Varsovie en 1945 !

À tout de suite !

Pierre

Remis par l’auteur à la Presse Galactique