La physique unifiée de Nassim Haramein décrit la géométrie de l’espace elle-même comme ayant la structure fondamentale d’un tableau tétraédrique infini. Dans les relations d’octaves spécifiques, la structure forme une géométrie parfaitement équilibrée que Buckminster Fuller appelle l' »équilibre vectoriel ».
8 tétraèdres pointant vers l’intérieur vers un seul point (une singularité) forme la première géométrie parfaitement équilibrée avec 12 vecteurs radiaux qui vont vers l’extérieur. Lorsque vous connectez tous les points de fin des vecteurs radiaux pour former des bords, tous les bords de la géométrie sont tous de la même longueur et ils sont tous de la même longueur que les vecteurs qui sortent du centre : un parfait « équilibre vectoriel » appelé le Cube octaèdre.
A 64 tétraèdres le cube octaèdre devient imbriqué dans un autre cube octaèdre qui est deux fois plus grand – une relation d’Octave de géométrie. 64 est le plus petit nombre de tétraèdres dont vous avez besoin pour commencer à voir ce qui devient fractale infinie de la géométrie du vide. A 512 tétraèdres vous obtenez une autre octave et ainsi de suite…
Tout comme avec les fréquences (notes) en musique, quand on monte 7 marches et qu’on arrive à la 8 ème, le motif se répète et on arrive à L’Octave : un schéma analogue qui se passe dans la structure de l’espace comme on le voit dans La structure du son et des vibrations…