contribuer2

par Ginette Forget

Prendre le temps de VOIR à quel point on s’est attachés à nos souffrances, à notre passé, à certaines histoires, et comment on fait vivre ça encore ici (en soi) dans nos vies.

VOIR même à quel point ça a pu devenir notre sécurité ; à quel point, quand on arrive à sentir ça à nouveau, c’est comme si on pouvait enfin se déposer dans ÇA, comme si c’était rassurant parce que c’est connu, même si ce n’est pas ce que l’on souhaite sentir ou vivre.

VOIR ÇA, c’est juste énorme, c’est beau.

Pour moi, la paix, elle est là.

 

La paix arrive quand je peux faire la paix Ici, en moi, avec tout ça.

 

VOIR toutes les guerres que j’ai menées, toutes les guerres qui ont été entretenues, auxquelles j’ai cru et qui sont encore très vivantes en nous ; pas parce que c’est réel dans nos vies, mais parce que nous on continue de le porter ou de le réactiver régulièrement. Et on en arrive même à se sentir en sécurité dans ça parce que c’est ce qu’on connaît.

 

Au niveau hormonal, les scientifiques ont vu, ont trouvé à quel point – quand cette décharge hormonale se produit, tout à coup, on retrouve quelque chose de connu – c’est comme une décharge « d’être rassuré ».

C’est incroyable, on en arrive à être rassuré de sentir un ancien traumatisme parce que c’est tellement connu que cela fait « Ah… » (soulagement).

C’est ce qui fait que souvent on va réactiver certaines situations, certaines disputes avec des gens parce que quand ça se produit, on se sent vivant, on se sent en sécurité ; on se sent dans du connu donc, on peut faire « Ah… » (soulagement).

 

Je pense qu’il n’y a rien d’autre de particulier à faire, dans ça, que de le VOIR.

Se dire « Ah oui, je vois que je suis vraiment attachée à ça.

Attachée, pas parce que j’aime, mais parce que c’est du connu. D’une certaine façon, c’est devenu rassurant.

Juste VOIR ça, et prendre le temps de sentir ça, dire Oui à ÇA, dire « Ah oui… ».

Et tout à coup, la paix arrive. Tout à coup, ça peut se poser et cela fait « Ah oui… ».

 

Là, on peut respirer, puis on sent que la guerre est finie ici (en Soi).

 

On sent que ça peut se poser, on sent que ça peut se déposer là.

Puis, on prend le temps de sentir ÇA.

Pour moi, la paix, c’est ici (en Soi) que ça se passe.

 

On n’est pas en train de nier tout ce qu’il se passe à l’extérieur – parce qu’il y a cette conscience de ÇA qui se passe – mais ÇA met en lumière ma propre guerre intérieure.

 

Revenir ici (en Soi), prendre le temps de se poser ici (en Soi), venir régler ça ici, en moi, c’est faire la paix.

 

Pour moi, faire la paix ici (en Soi), c’est vraiment faire la paix dans le monde.

Retrouver cet espace où je peux me poser, et sentir que Ça sait ce que Ça fait.

La Vie, le Vivant sait ce qu’il fait même si moi, en ce moment, je ne sais pas pourquoi ça fait ça.

C’est beau. Il y a des mises en situation qui font en sorte qu’on puisse expérimenter ça. Moi, ça me donne confiance au Vivant, en la Vie de VOIR que Tout s’occupe de ça.

 

Faire la paix, c’est Ici que ça commence.

Est-ce qu’on peut faire la paix Ici ?…

 

Honnêtement, que je sois chez moi à m’inquiéter, à me tourmenter, cela ne change rien aux situations extérieures. Cela ne change rien d’autre que mon quotidien qui devient plein de ÇA et mon environnement qui va subir toute cette contrainte, cette contrariété, ces peurs qui sont vécues ici (en Soi). On ne fait que faire grossir tout ça en empoisonnant notre vie, notre environnement de cette énergie lourde et pénible.

 

J’ai envie de nous inviter à faire d’abord la paix ici, en Soi, à faire confiance que la paix, l’Amour, c’est ce qui porte le monde, au-delà de toutes ces illusions, ce film qui semble se passer.

 

Ici…

Retrouver la paix ici (en Soi),

Vivre cette paix,

Et partager cette paix avec notre environnement.

 

Extraits de la vidéo : SOIS le changement que tu veux VOIR dans le monde ! – Transcrite avec Amour par Dominique Lahaut


Avatar photo

Ginette Forget

Visitez mon site web: www.ginetteforget.com/ et partagez: ma chaîne Youtube - Me contacter ou lire mes chroniques