Par Philippe François
L’éternel féminin est de retour… c’est-à-dire que c’est l’heure de l’accouchement qui s’avance de plus en plus…
Dans ce monde dissocié de la Source ; la Dimension sacrée féminine
a été, de manière consciente, éliminée et éradiquée de la Vie 3D.
L’élément féminin, dans les Dimensions Unifiées, est ce qui permet de créer et ce qui permet de s’élever.
Ainsi, en abaissant le niveau Vibratoire, et donc la Conscience de l’humanité, du rôle de la femme, a aidé à éviter que le niveau Vibratoire de la planète remonte et échappe aux lois de l’électromagnétisme et donc, à la prison dans laquelle nous sommes enfermés.
Le retour de l’éternel féminin se fait par la Lumière bleue qui est à vivre.
C’est-à-dire la descente de l’Esprit Saint.
L’éternel féminin est en l’homme et en la femme, il est la part et le potentiel. Créateur que nous devons de nouveau manifester.
La femme n’est pas l’éternel féminin puisque c’est une dimension de l’Être qui est en nous tous.
Cette dimension qui a été retirée, à l’humanité par la coupure avec la Source a été faite aussi afin que les êtres ici-bas évitent de se comprendre en tant que Créateur…
C’est-à-dire que nous sommes créateurs et créateur et créature, en d’autres termes, on s’est engendrés nous-mêmes.
D’où le rapport avec le DOUBLE, les deux consciences dans l’intériorité, le dialogue intérieur, l’ambivalence, l’instabilité, les allers et retours, le transgenre, la transsexualité, la bisexualité, l’androgyne, l’âme tournée vers la personne et la matière ou l’âme tournée vers l’Esprit, vers sa dimension stellaire, la recherche de l’âme sœur à l’extérieur ou de la flamme jumelle, alors que celle-ci est en vérité notre Essence.à compétition est aussi et surtout un chemin d’éloignement de notre dimension féminine. Le yin et les yang. Etc.
La dualité de l’âme et de la vie ici-bas, produit chez beaucoup des troubles divers et variés importants chez la personnalité…
Sans parler du bien et du mal…
C’est super bien ficelé leur scénario pour que personne ne puisse voir, et s’apercevoir, puisque la conscience est bridée et que les dés sont pipés.
Mais bon ! on est au temps des révélations et tout apparaît les jeux, les scénarios, les mises en scènes, les tromperies, les mensonges, les manipulations, etc.
Au final, cela doit finir dans un grand éclat de rires, pour ceux qui auront dépassé en totalité la réalité humaine, puisque ce monde est une matrice.
Mais la vérité de la possibilité de l’expérience de ce monde dissocié de la source est qu’il ne pouvait en être autrement…
Car l’éternel féminin n’est jamais un Être de pouvoir, car pour créer, paradoxalement, il ne faut pas être dans le pouvoir, mais dans le don, sourire.
Et donc il ne pouvait en être autrement, le masculin privé du féminin sacré EST l’énergie de la falsification, et cela, dans les deux genres,
c’est cela la bête en l’Homme…
L’énergie masculine est parfaitement visible chez la plupart des consciences incarnées, le caractère, les jeux de pouvoirs, de séductions, de possessions, de dominations, de manipulations, etc.
Et nous naissons tous dans un monde falsifié ou dès la naissance, nous sommes élevés dans la falsification selon des modèles…
Cette dimension à nature yang, masculine, c’est toujours opposer à la féminité. Ainsi, le vrai pouvoir Créateur est, en fait, au sein de l’éternel féminin, et non pas du masculin, chose qui a été toujours déniée au sein de cette société.
Retrouver la dimension de la déesse Mère, de la Créatrice participe aussi au fait de devenir cocréateurs et créateurs de sa Vérité, destiné, devenir et du nouveau monde…
Au niveau énergie et fusion. Ou retour à l’androgyne primordial
L’Onde de Vie, qui monte de mère Gaia, tout être humain va la vivre parce que ça fait partie du processus alchimique final de la Transformation.
C’est la Rencontre entre l’Éternel Masculin et l’Éternel Féminin.
C’est le retour à l’Androgyne Primordial.
Donc ce n’est plus un rôle de descente de l’énergie, mais c’est
un rôle de remontée d’une nouvelle sève (dans le corps, dans la conscience, dans l’âme, dans l’Esprit) qui fait découvrir progressivement, quelle est notre propre nature :
C’est-à-dire cet Amour qui sous-tend (même dans l’illusion) la Création.
Il n’y a rien d’autre que l’Amour
Source : philippefrancois.com
