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Par Foelia

Atena… Laina, Gabriel. Ce chemin qui mène plus haut, c’est vous qui le dégagez.

LAINA

Cela se fait. C’est tout. Tu n’es pas obligée de mentionner à chaque fois le processus. À force de l’accomplir en toi, il devient naturel. Le tout est de ne plus oublier tous les êtres qui concourent à le rendre praticable.

J’ai beaucoup de gratitude pour vous !

C’est exactement cet état d’ouverture du cœur qui permet l’ascension. Le chemin et le processus font un, une fois encore.

Tu voulais retrouver Atena ? Eh bien moi aussi ! Allons-y ensemble.

Avec joie !

ATENA

Te voici, Foelia. Je t’attendais.

C’est de l’humour ?

Oui, un peu. Jouer avec les concepts, jouer, c’est le propre de l’esprit.

Tu m’attendais parce que tu savais que je me connecterais ?

Je ne le savais pas, mais je t’appelais. Si tu apprends à concevoir les choses ainsi, tu comprendras bien d’autres conséquences. C’est moi qui t’appelle toujours.

Souvent, toi ou d’autres êtres de plans plus élevés m’ont dit que le pouvoir de l’humain était l’appel. Ici, tu me dis que c’est toi qui m’appelles. Comment combiner ces compréhensions ?

Lorsque tu appelles, tu viens de dire « oui » à un appel qui précède le tien. Le tien, celui dont tu es consciente et que tu attribues à ta volonté, est toujours l’écho d’un appel plus profond. Mais le choix te revient. Tu n’es jamais obligée, d’aucune manière, de répercuter mon appel à travers toi. C’est parce que tu fais le choix de dire « oui » que tu te retrouves à m’appeler. Tu comprends ? Lorsque nous disons que l’appel est le pouvoir de l’humain, nous pouvons être plus précis encore en disant que le choix de répercuter un appel intérieur est le pouvoir de l’humain. Tu vois, nous avançons pas à pas dans cette compréhension.

De plus, je m’adresse à toi comme si tu étais différente de moi. Or, au moment où nous fusionnons, parce que toutes deux nous souhaitons nous mettre en lien, nous ne sommes pas différentes. Tu deviens la caisse de résonance de ma volonté, qui n’est même pas la mienne, mais celle qui me parcourt depuis la Source et à laquelle, moi aussi, je réponds présente.

Donc, toi non plus, tu ne m’appelles pas ?

Si nous remontons le fil de notre unité, « je » ne t’appelle pas de ma propre volonté. Nous sommes Un, telle une chaine d’amour depuis la Source, depuis la volonté Une. Nous reconnaissons que nous avons la même volonté et un acte s’accomplit à travers toute la création en passant par les balises que nous représentons sur nos mondes respectifs.

Cela t’étonne ?

Non, mais il faut se faire à ces nouvelles manières de voir.

Oui, il faut que toutes tes cellules s’acclimatent.

Votre dévouée Foelia

Source : foelia.net