Par Régis Raphaël Violette
On est régi par des êtres sans conscience, quel que soit ce qui fait office de réalité.
Pourquoi en est-il ainsi ?
Voilà un grand signe de la fin des temps, qui passe par la dissolution de l’être, c’est-à-dire plus aucun voile, c’est ainsi que les hommes seront libres de leurs émotions, leurs propres besoins égoïstes (EGO).
Voilà pourquoi plusieurs personnes sont maintenant libres de leurs émotions, leurs propres pensées, croyances, prétentions et besoins égoïstes (EGO), qu’ils sont les précurseurs de l’intelligence absolue de la Présence Éternelle, qui ne sont plus dans l’être mais bien dans ce qui est de toute éternité et qui n’a pas besoin d’être pour être la lumière éternelle.
Voilà ce qui met fin à la bêtise humaine, qui en fait ont poussé tous les possibles, c’est-à-dire à la fin des temps.
La fin des temps qui occasionne beaucoup de souffrance, qui rend ce monde dans un tel chaos, représentatif de ce qui se passe dans chaque être humain, ainsi en est-il pour tout ce qui est.
Tout est permis pour assouvir leurs propres besoins égoïstes (EGO), sans se rendre compte qu’ils sont des acteurs de la fin des temps, la dissolution de l’être.
Et les précurseurs annoncent et révèlent la vérité absolue, la libération de l’être par le silence du cœur de l’amour absolu, non pas pour juger quoi que ce soit, agissant au service de l’intelligence absolue de la Présence Éternelle, un autre signe de la fin des temps.
Tout ce à quoi l’homme a fait référence, s’est identifié à ce qui a été, à ce qui est et à ce qui est à venir, ce qui représente le corps de souffrance, vit ses derniers instants d’être.
Réjouissons-nous, qu’importe ce que l’on a à traverser, qui occasionne tant de souffrances au corps de souffrance, c’est que la dissolution enlève les voiles de l’illusion, de ce qui n’est qu’un rêve éphémère.
Plus vous êtes identifié à ce qui a été, à ce qui est et à ce qui est à venir, faisant référence à l’histoire de l’humanité, à ces religions, croyances ou autres, tel que des enseignements qui briment l’homme dans sa quête à la vérité absolue.
Plus dur est la transition au corps de lumière, c’est-à-dire ce qui n’a pas besoin d’être pour être la lumière éternelle, cette Présence révélée par les précurseurs qui met fin à ce corps de souffrance, la dissolution de l’être.
Y a-t-il quelque chose à juger, à condamner ?
Non, tout est l’œuvre de l’intelligence absolue de la Présence Éternelle, tout a sa raison d’être, comprendre que le rêve éphémère de tous les possibles, n’a jamais existé, simplement dans l’illusion du temps, comme il en est pour cette forme humaine, ainsi pour tout ce qui est éphémère.
Sachez que la fin des temps, c’est le plus grand spectacle qui soit, tout ce qui a été, ce qui est et ce qui est à venir, se trouve être le même espace temps, c’est-à-dire le corps de souffrance, dans chaque rêve éphémère, il y a un commencement et une fin.
Voilà ce pourquoi et ce comment, la rencontre du corps de souffrance et du corps de la Présence Éternelle, celle de l’être à la liberté d’être dans le silence du cœur de l’amour absolu.
Ce rêve éphémère de tous les possibles était avant même d’être manifesté sur le grand écran de l’éternel présent, condamné à disparaître pour la simple raison que rien n’est réel.
Régis Raphaël Violette
Source : justeetre.blogspot.com
