Par Jean-Paul Thouny
Tous les êtres vivants communiquent grâce aux biophotons qui sont des ondes électromagnétiques de lumière de très faible intensité. Ces biophotons sont émis par toutes les cellules vivantes, qu’elles soient celles des minéraux, des végétaux, des animaux ou des humains. Si les biophotons ne sont pas visibles, en tant que tels, à l’œil nu, les émanations lumineuses qu’ils génèrent le sont et peuvent éventuellement être enregistrés grâce à des instruments spécifiques et visibles lors de lectures d’auras.
Fonctions des biophotons
Les biophotons ont été découverts pour la première fois en 1923, par le Professeur Alexander G. Gurvich, embryologiste russe, qui identifiat une émission extrêmement faible de photons ultraviolets au sein des tissus vivants.
Il les appela “rayons mitogénétiques“, supposant qu’elle avait un effet stimulant sur la division cellulaire. Dans les années 30, ils ont été largement étudiés en Europe et aux États-Unis, puis ont fait à nouveau l’objet d’études théoriques et expérimentales dans les années 70. Ainsi, dès 1974, le biophysicien allemand Fritz-Albert Popp pu prouver leur existence.
Popp a ensuite établi en 2005 une corrélation entre ce réseau de biophotons et les méridiens d’acupuncture, selon l’Institut international de biophysique de Neuss, Allemagne. (article : Biophotonique et infrarouge)
Les mémoires de nos cellules utilisent les biophotons pour stocker et transmettre l des informations. Les scientifiques ont ainsi démontrés que la lumière des biophotons est stockée dans l’ADN des noyaux des cellules de l’organisme. Un réseau dynamique de lumière constamment émis et absorbé par l’ADN peut ainsi connecter les organites cellulaires, les cellules, les tissus ainsi que les organes du corps et servir de système de communication principal pour l’organisme et de moyen de régulation pour tous les processus vitaux.
Les processus de morphogénèse, de croissance, de différentiation et de régénération peuvent également être expliqués par l’activité structurante et régulatrice du champ cohérent de biophotons.
D’après certains scientifiques, dont le neuro-physicien Karl Pribram, le champ holographique de biophotons du cerveau, du système nerveux, et éventuellement de tout l’organisme, pourrait aussi être à la base de la mémoire et d’autres phénomènes de la conscience.
Les propriétés de cohérence du champ de biophotons, similaires à celles de la conscience, sont, dans leur fondement, étroitement corrélées aux propriétés du vide en physique, indiquant un rôle probable d’interface entre les domaines non-physiques de l’esprit, de la psyché et de la conscience.
La recherche a montré que l’eau du robinet ne contient pratiquement pas de biophotons. Seuls des agrégats de molécules d’eau cohérents et parfaits permettent de transférer cette énergie directement dans les cellules du corps. Les biophotons déclenchent justement des réactions chimiques dans les cellules, au bon moment et au bon endroit.
Biophotons et Thérapie Énergétiques
Les thérapies énergétiques, qui comprennent des pratiques telles que les Soins Égypto-Esséniens, déjà connus à l’époque du pharaon Akhenaton, il y a 3500 ans, ou beaucoup plus proche de nous, à la fin du XIXe siècle : le Reiki. Les thérapies énergétiques ou quantiques, l’acupuncture… reposent sur le principe que le corps humain est traversé par un flux d’énergie appelé énergie vitale… lui permettant d’être vivant.
Les recherches en cours sur les biophotons révèlent une perspective fascinante : ces particules pourraient être les vecteurs de l’énergie vitale connue sous divers noms Mana, Qi, Prâna, Chi, Bioplasma – selon les cultures.
En tant que particules de lumière émises par les cellules, les biophotons sont envisagés comme des canaux par lesquels l’information et l’énergie sont transmises dans les différentes strates des corps animals et humains. Cette hypothèse suggère que les biophotons pourraient influencer ou être influencés par les techniques utilisées dans les thérapies énergétiques.
Ainsi, ils pourraient constituer un lien tangible entre les pratiques énergétiques ancestrales et les explications scientifiques modernes, offrant un pont entre les traditions spirituelles et la science contemporaine.
Biophotons, méridiens d’acupuncture et nadis
Les travaux de Fritz-Albert Popp et d’autres chercheurs ont ouvert des portes sur un monde où les biophotons, les méridiens d’acupuncture, et plus précisément les nadis semblent étrangement interconnectés.
Ces études suggèrent que les réseaux de biophotons pourraient en effet refléter les chemins des méridiens et les nadis de l’acupuncture traditionnels. Cette fascinante corrélation laisse entrevoir que les biophotons pourraient jouer un rôle essentiel dans l’efficacité de l’acupuncture, en agissant comme des conducteurs d’énergie le long de ces voies, contribuant ainsi à l’équilibre et à la guérison du corps.
Les récentes découvertes dans le domaine des biophotons nous emmènent dans un territoire fascinant, où la science rencontre l’inexploré.
Le physicien japonais Kobayashi et son équipe ont réussi à capturer en image l’émission de lumière du corps humain, une lumière de biophotons indépendante de la température. Leurs découvertes révèlent plusieurs aspects fascinants :
Le corps humain émet une lumière invisible à l’œil nu, d’une intensité environ 1 000 fois inférieure à la limite de la perception visuelle humaine habituelle.
Cette émission lumineuse est constante et directe.
L’intensité de cette lumière atteint son pic en fin d’après-midi et diminue considérablement tard dans la nuit.
Les zones les plus lumineuses du corps humain sont le front, les joues et le cou, surpassant en intensité d’autres régions.
Les cellules tumorales émettent une lumière quatre fois plus intense que celle des tissus sains environnants, suggérant un potentiel diagnostic significatif.
Intéressant à noter, les zones les plus lumineuses en termes de bioluminescence ne correspondent pas aux régions les plus chaudes détectées par thermographie.
Biophotons et photographie Kirlian
Les biophotons, sont souvent associés à des domaines de recherche non conventionnels, notamment la photographie à effet Kirlian et les travaux du Dr. Konstantin Korotkov.
Captation de biophotons par la photographie Kirlian
La photographie Kirlian, développée dans les années 1940, est censée capturer l’aura ou le champ énergétique des êtres vivants, produisant des images avec un halo lumineux. Le Dr. Korotkov a étendu cette idée avec sa technique de visualisation par décharge de gaz (GDV), affirmant pouvoir mesurer l’état énergétique des individus.
La photographie à haute fréquence ou « électrophotonique », « redécouverte » en 1939, en Russie, par les époux Kirlian, permet de visualiser un halo lumineux ressemblant à une aura éthérique, large d’environ 1 à 3 cm, autour d’objets ou d’êtres vivants. Ce halo lumineux est expliqué par « une ionisation gazeuse engendrée aux abords immédiats du sujet plongé dans un fort champ électrique alternatif ».
Semyon Kirlian, inventeur russe d’origine arménienne a développé la photographie à effet Kirlian dans les années 1940. Cette technique d’imagerie permettrait de capturer l’image du biofield, de l’aura d’une personne.
Rien de magique là dedans, car tous les corps vivants ont la capacité de transmettre de l’énergie, ce faisant, libère un champ magnétique. Ainsi par exemple, lorsque nous recevons accidentellement une décharge électrique, notre corps produit de petites étincelles ; c’est un peu, en simplifiant, ce qui se passe lorsque l’appareil Kirlian envoie un courant électrique dans un corps. Par exemple, les doigts posés sur la machine, produisent une » lumière » que le papier photo va capturer.
Les paramètres de tension, de fréquences et d’intensité pour l’étude choisie, autorisent une certaine reproductibilité des données, ce qui nous permet dans une certaine mesure d’analyser les champs électriques humains et d’établir des bilans énergétiques. Ce dernier sera modifié selon l’état du sujet. L’excitation entre le bord de la plaque et la perpendiculaire des doigts entraîne un passage des électrons sur un spin supérieur, puis une chute qui provoque l’émission d’un photon, qui va marquer la pellicule. C’est pourquoi il est actuellement d’usage de parler d’électrophotonique ou de bioélectrographie.
Ce qui est photographié par l’appareil est encore mal connu, mais correspond aux émanations lumineuses du corps éthérique : l’aura éthérique, de l’être se prêtant à l’expérience.
Appareils existants (malheureusement, certains ne se fabriquent plus) :
Le Spectro-Mini2 d’Alain Lambin-Dostromon, basses fréquences (80 Hertz), pour les études sur l’humain, pré-réglage pour les mains et les pieds. Uniquement pour l’argentique.
Le GH30 de Georges Hadjo, avec des réglages possibles, pour les études sur l’humain et les études de produits, homéopathiques ou autres. Uniquement argentique. Fréquences de 1 à 360 Hz.
Le GH34, où l’image se fait sur une plaque directement reliée au PC. La résolution n’est pas aussi fine qu’avec le système argentique, mais est plus pratique, car cela élimine la nécessité d’avoir chambre de développement. On peut aussi l’utiliser avec une pellicule photographique. Nombreux réglages possible. Pour l’humain et les tests de produits. On peut traiter les images par des logiciels ad hoc. Cela permet des effets visuels supplémentaire
L’effet Kirlian pour observer l’intuition
Praticien de thérapie énergétique en action
Le Dr Korotkov a remarqué un lien étrange entre le biofield, et le fait que les gens soient capable de ressentir la présence d’une personne situés derrière elles. Ainsi, dans une expérience, le chercheur a demandé au participant de s’asseoir sur un siège pendant qu’une autre personne s’approchait discrètement derrière lui.
Les résultats ont démontré que lorsqu’un étranger s’approchait par derrière, dans la plupart des cas, le champ d’énergie de la personne assise ne changeait pas. Cependant, lorsqu’un membre de la famille, ou un proche, s’approche par derrière, leur champ d’énergie augmente immédiatement.
Pour Korotkov, il existe une véritable interaction du champ d’énergie entre les personnes.
Vous avez déjà surement rencontré dans votre vie, ce qu’on appelle une personne solaire. Ces personnes radieuses qui dégagent une aura positive, aux côtés desquelles vous vous sentez bien sans pour autant pouvoir l’expliquer.
Pourquoi la science « officielle » refuse la bioélectrographie
Il n’y a tout simplement pas de recherche scientifique sur ce sujet en France, cela remet sans doute trop de choses en question, personne ne veut se confronter à cette réalité, et ça n’intéresse aucune société. Et pour cause, il n’y a aucun médicament à inventer avec ça.
Dans la chine ancienne, les médecins avaient pour fonction de garder les gens en bonne santé, ils n’étaient payé qu’à partir du moment où les personnes étaient en parfaite forme physique.
Dans la médecine occidentale, nous procédons à l’inverse. Les professionnels de santé et les sociétés pharmaceutiques gagnent de l’argent quand les gens sont malades.
On peut facilement comprendre le manque d’enthousiasme pour étudier un sujet qui va à l’encontre de leur conviction, et qui de plus leur causerait du tort.
Toutefois, il existe une avant-garde de chercheurs et de praticiens qui reconnaissent le lien Corps/énergie qui ne sont pas toujours issu des universités « scientifiques » mais qui apportent quelque chose dans leurs domaines.
L’effet Kirlian permet de distinguer les émotions
L’effet Kirlian, nous montre l’impact que peuvent avoir les émotions sur le champ d’énergie d’une personne. En effet, le professeur Korotkov a constaté que les émotions négatives, comme la colère, l’envie, la jalousie détruisent le champ d’énergie d’une personne.
Mais le contraire est également observé : « L’aura d’une personne est renforcée par des sentiments positifs comme la joie, l’humour et l’amour »
Cependant pour le biophysicien cette « aura » affecte également les personnes aux alentours : « Les personnes malades ont plus de chances de guérir lorsqu’elles sont entourées de personnes aimantes qui peuvent envoyer des émotions positives et aider le processus de guérison. » K. Korotkov
Après 30 ans de recherche le Dr Korotkov est convaincu que nous ne sommes pas qu’un corps matériel.
Les conclusions de ce chercheur contemporain sont intéressantes, car elle valident le savoir des thérapeutes égyptien de l’époque du pharaon Akhenaton (env. 1350 av. J.C.), tout comme celui des thérapeute Esséniens, il y a 2000 ans…
Auras, biophotons et effet Kirlian
Les chercheurs cités plus haut : Alexander G. Gurvich, Alexander G. Gurvich, Fritz-Albert Popp, Kobayashi, et de nombreux autres, ont démontré que les biophotons étaient émis par les cellules vivantes ; ils seraient donc une manifestation de la Vie.
Ceci vient corroborer le savoir ancestral transmit par les Esséniens et avant eux, les thérapeutes Égyptiens de l’époque du pharaon Akhenaton.
À savoir que l’être humain est composé d’un corps physique et de corps subtils et que les cellules de tous les corps subtils, qui sont bien vivantes, mais à des niveaux vibratoires différents, émettent des biophotons.
C’est cette émanation de biophotons que l’on appelle « auras ».
Du fait que les corps subtils sont à des niveaux vibratoires différents, les émanations de leurs cellules : les biophotons sont donc différents et forment des auras totalement différentes.
Il y a donc une aura par corps subtil, ayant des caractéristiques différentes les unes des autres, en fonction du corps subtil concerné.
La photographie à effet Kirlian à ceci de particulier, qu’elle ne peut capter que l’aura du premier des corps subtil, le plus dense : le corps éthérique. De ce fait, il s’ensuit souvent une confusion en faisant le raccourci que l’humain ne possède qu’une seule aura. D’où des réflexion erronées du style : « Ton aura est … de telle couleur… ! ». La réponse juste à une telle mécompréhension est alors : « Ah oui ! mais de quelle aura s’agit-il ? » …
Par contre, la photographie à effet Kirlian s’avère juste pour les minéraux et les végétaux, qui tout en étant bien vivants, ne semblent posséder que le corps éthérique en matière de corps subtil. Mais vraisemblablement que dans un avenir plus ou moins proche, la technologie devrait nous permettre de capter les auras des corps subtils les plus denses, après le corps éthérique.
Aujourd’hui un thérapeute énergéticien entraîné est à même de capter, sans équipement particulier hormis ses propres sens, les informations transmises par les auras des autres corps denses et de les utiliser pour prodiguer un soin énergétique pertinent et efficace.
Source : energie-sante.net