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Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron 

Se reconnaître soi-même dans sa divinité. Non pas l’ego qui accapare mais le cœur qui s’incline et reconnaît que puisque seul est le Divin, il faut bien que cet être que Je Suis ait l’humilité de lui rendre toute la place et de se reconnaître comme étant le Divin.

Se reconnaître comme étant le Divin, n’est pas un fait du mental, c’est un fait du cœur. C’est un fait de l’intellect le plus fin. C’est un fait des sentiments. Car s’offrir au Divin dans cette reconnaissance, est la plus belle des offrandes et la plus grande exaltation.

C’est aussi un fait du corps car le corps qui se reconnaît comme étant le Divin – notez bien, le corps qui se reconnaît comme étant le Divin, la reconnaissance dans le cœur des cellules, non pas le mental qui reconnaîtrait le corps comme étant le Divin mais du cœur des cellules – ce regard de la conscience qui reconnaît que la matière est conscience, que la matière est lumière, cela est la plus belle exaltation, la plénitude de l’incarnation.

En Cela, se fondent le temps et l’espace pour être maintenant cet émerveillement et maintenant projeter la création à l’image de Cela. C’est ainsi qu’est crée la Terre d’harmonie.

Les sages de tous les temps l’ont pressenti. L’heure est venue. L’heure est venue, les traditions s’unissent. Enfin, les traditions s’unissent. Et comprenez-le bien, comprenez la multidimensionnalité. Il est bien un plan, n’est-ce pas, où en apparence les traditions se déchirent. Le choix de l’être éclairé est de retirer toute son attention de cela pour créer cette réalité de la phase la plus vaste de la multidimensionnalité. Maintenant les traditions s’unissent pour créer l’émergence de l’être humain nouveau, de l’être humain divin.

La beauté est d’intensifier à un tel degré la relation de la conscience avec elle-même par l’attention.

Cette réalité que la matière est conscience, jaillit du cœur de la matière. Ce ne peut être un regard extérieur, celui du mental qui reconnaîtrait que seule est la conscience. Ce ne peut qu’être le regard de la conscience qui se reconnaît et réunifie. Alors la vie est établie à la source de toutes les traditions. Et la création unifiée émerge, la création d’harmonie. C’est ainsi que s’opère la transmutation cellulaire. Et c’est de par la transmutation cellulaire que le corps resplendit, corps de lumière, corps d’éternelle jeunesse.

Tout alors est perçu comme étant lumière. L’on ne peut voir que la beauté. Et ce qui est magnifique est qu’à contempler la beauté, on crée la beauté. C’est ainsi qu’un cercle de sages pourrait arrêter les guerres si tous choisissaient de contempler la beauté avec dévotion, ferveur et passion.

Voyez la beauté, la clef ultime est le regard et l’attention. Chérir la vision de l’être humain divin et offrir à cela toute son attention. L’humanité nouvelle, un autre paradigme. L’on ne peut le concevoir avec le mental car il ne s’agit pas d’un monde mental amélioré mais d’un monde lumière. Porter la vision est donner toute l’attention dans la plénitude du cœur.

Elle est bien réelle la fenêtre des possibles. Encore faut-il en faire le choix clair et conscient. Guérir la matière, lui redonnant sa nature de conscience en conscience depuis l’intérieur d’elle.

Les sages l’ont pressenti, en ont porté la vision, ont semé les graines. L’heure est venue pour que les graines s’épanouissent pleinement et que jaillisse la réalité, seule est la lumière. Tous les mondes alors s’unissent. Contempler cela. Contempler, c’est le créer. Et le créer implique faire des choix conscients de réinventer la vie, non selon des critères périmés un peu améliorés, mais selon l’éternel nouveau inhérent à la nature de la conscience. Il est exaltant de faire ce choix et de l’actualiser.

Auteur : Agnès Bos-Masseron

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