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Par Steve Beckow

Nous avons des problèmes.

Les richesses du monde sont réparties de manière inéquitable.

Les hommes oppriment les femmes.

Les gens sont victimes de discriminations fondées sur la couleur, la religion et les opinions politiques.

Une petite élite mondiale veut contrôler le reste du monde et, comme tous les seigneurs de la guerre et les conquérants avant eux, elle est prête à entraîner le monde dans sa chute si elle échoue. “(Si je ne peux pas l’avoir, personne ne peut l’avoir.”)

Nous avons des problèmes.

Entre-temps, le cycle des conflits opère sur la scène internationale autant que sur le plan individuel. Après tout, ce sont les individus qui déclenchent les guerres – et qui les mènent.

Ce qui manque est clair. L’amour de dimension supérieure qui nous attend à l’Ascension. Avec lui, tout fonctionne ; sans lui, très peu de choses fonctionnent et, quand c’est le cas, les roues de la justice tournent lentement. Si elles tournent, c’est qu’elles tournent. Nous apprenons aujourd’hui que peu de roues de la justice tournent.

Outre la corruption des gouvernements que nous découvrons, nous sommes nous-mêmes endormis par les médias et atteignons un état que j’ai appelé la léthargie. (1) Lorsque nous nous désintéressons d’une question, nous la recouvrons de léthargie pour changer de direction.

Nous l’oublions instantanément, de même que tous les sentiments que nous avions à son sujet, et nous changeons de direction sans aucune considération. C’est comme si la question n’avait jamais existé.

Dans la société comme dans les relations individuelles, nous organisons les choses de telle sorte qu’une révolte, une révolution ou une guerre est presque nécessaire pour forcer le changement.

Où est la différence entre notre comportement international et notre comportement individuel ?

Ce carrousel (voir graphique ci-haut) n’est-il pas le même cycle dans les affaires individuelles que celui que nous suivons dans les affaires internationales ? Peut-être un peu plus habillé et déguisé derrière des courbettes et des poignées de main.

Nous vivons les derniers jours d’une société fondée sur des paradigmes inapplicables. (2)

Une société où les plus riches, les plus beaux, les plus puissants ont mis leurs talents en commun pour contrôler le monde. Et faire disparaître la majeure partie de sa population.

Voilà où cela nous a menés.

Je sais par expérience que les problèmes, vus à partir d’une expérience de dimension supérieure, disons d’amour ou de félicité, cessent d’être des problèmes et deviennent simplement des situations. Et puisque l’amour ou la félicité que nous ressentons répond à tous nos besoins et à toutes nos envies, rien ne nous presse ou n’induit la peur et la panique.

L’amour que nous ressentons est si nourrissant que notre satiété nous permet d’envisager un éventail d’options plus large que si nous venions du manque.

Ce qu’une telle expérience révèle, c’est que le problème n’est pas d’avoir des problèmes. C’est la façon dont nous les voyons et ce que nous en faisons qui l’est. Bientôt, nous ferons l’expérience de l’amour transformateur et transfigurateur qui fera aboutir tous les efforts en faveur de la paix et de la liberté. Il ne nous reste plus qu’à aller d’ici à là.

Notes de bas de page

(1) Sur la léthargie, voir :

“How the Fog of Lethargy Operates “, 6 juin 2024, https://goldenageofgaia.com/2024/06/06/how-the-fog-of-lethargy-operates/
“The Blanketing Mechanism Called Lethargy “, 2 octobre 2023, https://goldenageofgaia.com/2023/10/02/the-blanketing-mechanism-called-lethargy/
“Sortir du brouillard de la léthargie”, 7 septembre 2014, https://goldenageofgaia.com/2014/09/07/leaving-the-fog-of-lethargy/

(2) Notre société a été élevée dans le matérialisme empirique (seul ce que nous pouvons voir, entendre, goûter, etc. est réel) et soutenue par le darwinisme social (la vie est une lutte pour l’existence et seuls les plus forts survivent). Voilà où ces paradigmes nous ont menés.

English version : https://goldenageofgaia.com/
Traduit et partagé par la Presse Galactique