Par Michel Canon
Le chemin qui mène à sa liberté de penser est celui d’être son propre SUIVEUR, en ne cherchant plus l’avis de l’autre ou d’hypothétiques guides issus de l’imagination.
Suivre ses propres intuitions, en découvrant les joies du discernement, est la clé qui ouvre la porte de sa souveraineté.
Écouter son soi supérieur (son cœur) autorise de lâcher un monde d’informations en prise avec les contradictions des uns et des autres.
Le soi supérieur est cette « voix » qui parle intérieurement lorsque l’on est centré entre le ciel et la terre. En dehors de ce centrage, c’est le mental qui régale en inventant des guides ou autres entités qui dicteraient une voie à suivre.
Le libre arbitre est le principe sacré de Liberté, la loi primordiale de l’Univers ; la Source est libre, donc sa création l’est également.
Personne ne peut dicter à autrui une manière d’être et d’agir.
À l’inverse, c’est la chute dans la dépendance à l’autre, une sorte de drogue qui rassure l’ego de l’adversité quotidienne.
Le monde de l’information a différentes composantes : cela peut être les médias traditionnels, les informateurs sur internet, les tarologues, les chamans, le cercle spirituel et stellaire, etc… Pourtant, le tri, parmi ces exemples, se fait grâce à la clairvoyance qui ramène la vérité vers soi.
Aussi, les » on m’a dit que » et » tu en penses quoi » sont l’empreinte émotionnelle qui affiche une certaine accroche à l’information, souvent anxiogène, et à un abandon de sa responsabilité. C’est ce manque de souveraineté personnelle qui caractérise les commentaires à la recherche d’une validation complice.
Le lâcher-prise du mental et le recul face aux événements, permettent de faire résonner ce qui doit l’être en soi.
Le cœur toujours le cœur.
Michel
Source : https://vk.com/id745482690