Par Michel Canon
Dans la constance du tourbillon de la vie, la réalité s’affiche comme une fatalité pour la majorité des individus, comme une destinée dont on ne se défait qu’avec une lutte intensive sur soi-même.
Pourtant, le champ troublé de l’existence nous offre la clé pour ouvrir notre esprit vers une dimension plus large et plus sincère de la définition réelle du panorama de notre environnement.
Cette définition ne tient pas dans les pages d’un dictionnaire, mais dans la capacité d’appréhender la réalité comme une évidence en soi et non comme quelque chose d’extérieur et de tangible. En d’autres termes, elle vous appartient intimement puisqu’elle est une projection de l’esprit vers l’écran de la vie.
Cependant, le formatage sociétal a façonné la pensée personnelle et collective jusqu’à en faire une réalité à laquelle s’accrochent les croyances. Ce postulat entraîne une réalité qui ne vous appartient plus, mais à l’information qui en découle. Autrement dit, vous créez une réalité alternative que vous croyez être la vôtre et celle des autres.
Par conséquent, ce que vous expérimentez, au travers des diverses expériences personnelles, n’est que le fruit de la confusion. Seul le discernement permet de démêler l’écheveau afin de retrouver la réalité de votre âme et non celle qui vous a été inculquée.
Michel
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