Par Philippe François
La vague est intense dans la durée + de 30 heures (en cours) le corps d’Éternité est un corps de rayonnement gamma…
L’Amour est un FEU rayonnant, irradiant.
Le vécu du corps de lumière qui est une irradiation de rayonnement Gamma est palpable dans la chair… ce sont les piqures, les coups d’aiguilles, les embrasements qui sont des irradiations…
C’est une fusion, une surimpression des deux corps…
Le corps d’Êtreté émet un rayonnement qui ne fait pas vraiment plaisir au corps carboné, c’est la radioactivité qui est vécue, alors nous sommes contaminés…
Et quand tu es radioactif… tu es la lumière tout simplement…
La peau souvent réagit de manière diverse, des points brillants de lumière peuvent apparaître de-ci de-là… ce sont les particules adamantines qui tapissent alors la biologie… la couleur blanche apparaît, on est souvent blanc comme un linge… blanc pâle comme le Soleil en ces temps… l’aura prend cette couleur…
La radiation du Divin, qui sort de la forme, est de la pure Lumière nommée radioactive… l’intégration et le vécu de la lumière illumine et enlumine la forme…
La radioactivité a des effets délétères sur la matière biologique carbonée. C’est en ce sens que Celui qui est porteur est en retrait, en fond d’écran, abandonné à la lumière, il ne doit surtout pas utiliser cette lumière ou la digérer…
Elle ne se commande pas et ne se manipule pas… Il laisse la Présence et l’Intelligence de la Lumière œuvrer par elle-même… il y a donc un cheminement qui conduit à juste être présent et ne rien faire, à rester tranquille, juste être…
Vivre dans la Présence… la transparence…
C’est pourquoi il y a la disparition spontanée… certain disparaissent même toute la journée…
Lorsque tu disparais, la présence apparaît…
Il y a un seuil de tolérance à la Lumière au sein d’un organisme carbonée…
La Vérité est un Feu brûlant et dévorant, ça se vit et se constate dans la chair et la conscience…
Cerise sur le gâteau, le processus de translation fait que l’on s’ouvre à la dimension de l’Être, il y a donc des étapes, un vécu où nous sommes dans le sans forme… un être de lumière n’a pas de cerveau, d’organes, de poumons, etc… le corps n’a pas d’orifices…
Tout ceci se déroule en même temps. L’impression d’être une coquille vide, ou au contraire d’être une coquille prête à exploser sur le plan vibral, sur le plan de la conscience… Le désintérêt général grandit, la simplicité grandit… avec l’accueil de la Lumière, les choses se modifient d’elles-mêmes. C’est l’Intelligence de la Lumière, qui œuvre, on ne se sert plus de son mental, les projections deviennent impossibles, ce sont des étapes normales de la métamorphose… de la pénétration dans la dimension de l’Être… Les pertes de repères sont appelées des états de Grace.
Source : https://philippefrancois.com/
